Oh que Voui voui voui……

par JanNo1, dimanche 09 avril 2006, 00:28 (il y a 6789 jours) @ mareva

Non je vous assure, je n’ai rien bu !

D’abord un petit bonsoir à tous les deux, et à tous ceux qui liront ce post.

Puis-je me permettre de me mêler à votre conversation >>>
Je m’y risque, j’espère que vous ne m’en voudrez pas ! C'est tellement tentant.

Cela me rappelle un post récent de quelqu’un sur bourso qui disait : ai-je bien fait d’acheter à 600 €, je crois >>>

Mon 1er achat sur Vallourec date de juillet 2005 pour un titre côté déjà à 265 €. Je me souviens d’être un peu furieux contre moi-même, car après l’avoir bien épluché à 80€, je l’avais laissé complètement de côté. Oublié, certainement ! Mais obnubilé par d’autres titres, c’est sûr.
Je dois avoir conservé l’article, mais déjà le JDF la conseillait à l’achat avec un super commentaire. Il faut leur rendre cet « hommage », car je ne suis pas toujours d’accord avec les analyses faites des journaux spécialisés.
Quand je n’y suis intéressé de nouveau elle était côté à 160€. De temps en temps, je regardais et elle montait sans cesse. C’est beau de regarder le train, mais le prendre en marche c’est quand même bien mieux. Je me suis donc décidé à 265 €, puis 300€ et encore un max à 600 et quelques euros.
Je n’ai tout de même pas un très très gros portefeuille ; cela me suffit. J’ai près de 55% de mon portefeuille sur Vallourec, et je n’aime pas trop (même pas du tout) miser que sur une seule valeur. Mais celle- là ! J’ai une confiance de mamouth. Je sais …. On dit plutôt une confiance aveugle, mais faut bien changer de temps en temps…


Ma confiance sur Vallourec est beaucoup plus importante maintenant qu’auparavant.
Je ne dis pas cela pour vous pousser à en acheter, car les gugusses qui poussent à l’achat quand ils sont chargés et qui poussent à la vente (et même à découvert) quand ils ont vendus, je trouve cela particulièrement dégu….. voir Bourso : c’est insupportable !
Je dis uniquement ce que je ressens. Je lis aussi beaucoup, je m’informe quoi !

A titre d’exemple voici une des dernières infos parues, et qui en dit long :

LE FIGARO - Vallourec vole de record en record
Anne-Laure Julien et Frédéric de Monicault
08 avril 2006, (Rubrique Entreprises) Industrie La valeur du fabricant français de tubes en acier a été multipliée par cinq en un an. Pour le plus grand bonheur de son principal actionnaire Vincent Bolloré.

MIEUX que les stars du CAC 40, ou que Google aux États-Unis, le parcours boursier de Vallourec fait des envieux. En 2005, l'action du fabricant français de tubes en acier, cotée sur l'Eurolist A, a enregistré la plus forte hausse du marché parisien en s'octroyant 328%. Poursuivant sur sa lancée, sa valeur a encore doublé depuis le début de l'année.

Même Vincent Bolloré, qui a parié sur Vallourec il y a trois ans et demi, à contre-courant d'ailleurs de la plupart des investisseurs, ne s'attendait pas à un tel succès. On dit même qu'il aurait réalisé là son plus beau coup financier. La plus-value qu'il a dégagée en vendant une partie de ses actions atteint déjà 764 millions d'euros, pour un investissement initial de 150 millions. Aujourd'hui, le groupe Bolloré détient encore 7,47% de Vallourec, valant 750 millions. Au total en quatre ans, il a multiplié par près de dix sa mise de départ.

Rumeurs de rapprochement

Il faut dire que depuis quelques temps le fabricant de tubes profite de nombreuses rumeurs. L'une d'entre elles, récurrente, évoque un rapprochement avec Teneris, son principal concurrent coté au Luxembourg, au parcours boursier similaire. En milieu de semaine, d'autres bruits laissaient supposer un intérêt de la part de Exxon. Info ou intox, toujours est-il que Vallourec aurait mandaté la banque américaine Goldman Sachs pour sa défense.

Au-delà de ces spéculations, la conjoncture économique porteuse de Vallourec, liée notamment à l'envolée du prix de pétrole, justifie en grande partie, l'engouement du marché pour le titre. L'an dernier, ses bénéfices ont ainsi doublé pour atteindre 473 millions d'euros, tandis que ses ventes – 4,3 milliards d'euros – progressaient de 42%. D'un point de vue stratégique, le groupe a pris un virage de plus en plus marqué vers l'énergie. Cette branche, recouvrant à la fois les activités tubes pour le forage et l'exploitation des puits de pétrole et de gaz et les tubes pour les centrales électriques, représentait 34,6% de l'activité en 2000 : l'année dernière, elle a frôlé les 60%.


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