Analyse technique
THOMSON
Le titre affiche une évolution hésitante depuis fin mars dernier, oscillant dans une bande de fluctuation comprise entre 18,6 et 21,4 euros.
La pente désormais plate de la moyenne mobile à 150 jours suggère un biais neutre à moyen terme entre ces deux bornes. La tendance, négative au-dessous de 20 euros, se dégraderait en cas de rupture de 19,4 euros. On visera alors 18,1 et 17,1 euros comme cibles rapides.
(DC : 19,73 ; MM 50 : 20,18 ; MM 150 : 20,16 ; code : TMS ; Comp. A, SRD)
NOTRE CONSEIL
Dégradation en cas de rupture de 19,4 euros
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mareva
4ssii trop long
par mareva , Barjac, samedi 09 juillet 2005, 12:14 (il y a 7059 jours) @ mareva
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mareva
4ssii trop long
par yann, samedi 09 juillet 2005, 13:05 (il y a 7059 jours) @ mareva
Bisous toi
LEURS MULTIPLES DE CAPITALISATION SONT 20 % INFERIEURS A LA MOYENNE DES SERVICES INFORMATIQUES
Quatre SSII présentes sur des niches technologiques à forte croissance
par DELPHINE DESHAYES
Le moral des sociétés de services informatiques (SSII) est au beau fixe. Après être reparti de l'avant en 2004 avec une progression de 4 % de l'activité, le marché devrait bénéficier cette année encore d'une croissance comprise entre 4 et 6 %. L'ensemble des SSII est amené à profiter de la reprise des investissements informatiques, mais, dans un secteur atomisé où se côtoient un nombre important de prestataires, la concurrence continue de faire rage et de maintenir une pression sur les prix. Dans ce contexte, les SSII présentes sur une niche technologique ou sur un segment de marché très ciblé devraient davantage tirer profit de la croissance. C'est la raison pour laquelle Le Journal des Finances a sélectionné quatre sociétés positionnées sur des niches technologiques à forte croissance. Leur coeur de métier s'étend de l'informatique embarquée (c'est-à-dire l'informatique présente dans les objets du quotidien, comme les voitures) au Web-to-database (accès via Internet aux bases de données des entreprises), en passant par le conseil en haute technologie sur Internet. Derrière ce jargon technique se cachent des compétences technologiques pointues, permettant à des sociétés comme Groupe Silicomp, Infotel et SQLI de se distinguer des SSII plus généralistes. D'autres, comme Neyrial, se différencient en orientant leur offre exclusivement vers les petites et moyennes entreprises. Ces SSII rencontrent un nombre limité de concurrents et devraient bénéficier de la reprise des investissements des entreprises dans les services à forte valeur ajoutée. Les quatre valeurs de notre sélection devraient ainsi afficher une croissance de leur activité supérieure à celle du marché des services informatiques.
coucou mon yann !
par mareva , Barjac, samedi 09 juillet 2005, 13:07 (il y a 7059 jours) @ yann
je n'avais pas le temps tout à l'heure
et là on se bouscule
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mareva
coucou mon yann !
par yann, samedi 09 juillet 2005, 13:11 (il y a 7059 jours) @ mareva
je n'avais pas le temps tout à l'heure
» et là on se bouscule
bon je te laisse l'honneur et la place
J'ai faim
Bon we bisous
»
4ssii trop long
par yann, samedi 09 juillet 2005, 13:08 (il y a 7059 jours) @ yann
La publication des chiffres d'affaires du premier trimestre (en hausse de 5 % pour Neyrial et jusqu'à 21,4 % pour Groupe Silicomp) témoigne déjà du dynamisme de leurs ventes. Les sociétés prévoient également d'améliorer leur rentabilité en 2005. Outre le fort rebond attendu de leurs facturations, elles devraient récolter les fruits de leur politique de réduction de coûts mise en place pendant les années de vaches maigres, et profiter également du passage aux nouvelles normes IFRS, avec l'arrêt de la comptabilisation des amortissements d'écarts de survaleurs. Avec un multiple de capitalisation 20 % inférieur à la moyenne des services informatiques (17 fois environ les bénéfices attendus pour 2005), ces sociétés offrent un potentiel d'appréciation significatif en Bourse. Et ce malgré le très beau parcours accompli depuis le début de l'année, les titres SQLI et Infotel ayant gagné près de 15 % et ceux de Groupe Silicomp et de Neyrial, plus de 40 %.
SILICOMP
par yann, samedi 09 juillet 2005, 13:09 (il y a 7059 jours) @ yann
GROUPE SILICOMP Une croissance organique deux fois supérieure à celle du marché
Créée il y a plus de vingt ans, cette société de services informatiques réalise près des deux tiers de son chiffre d'affaires dans l'informatique embarquée. Il s'agit de toute l'informatique logée dans les objets du quotidien, que ce soit les appareils électroménagers comme les micro-ondes ou encore les voitures. Groupe Silicomp a, par exemple, mis au point un système de pendulation modulaire pour les TGV permettant de diminuer l'accélération latérale ressentie par les passagers lors des trajets à grande vitesse.
La SSII, essentiellement implantée en France, où elle réalise 80 % de ses recettes, rencontre peu de concurrents directs. Après deux années difficiles, en 2002 puis en 2003, durant lesquelles les entreprises ont stoppé leurs investissements, ces dernières sont aujourd'hui contraintes de rattraper leur retard technologique et de gagner de nouveau en productivité.
Elles profitent ainsi à présent d'une conjoncture plus favorable pour remplacer leurs produits vieillissants. En 2005, Jean-Michel Gliner, le président du groupe, vise une croissance organique de l'activité deux fois supérieure à celle du marché des services informatiques, attendue entre 4 et 6 %. La hausse de 21,4 % des recettes au cours du premier trimestre (23,6 millions d'euros) apparaît de bon augure. Par ailleurs, l'équipe dirigeante n'exclut pas une opération de croissance externe, que permet un bilan sain. L'endettement net est limité à 30 % des fonds propres. L'objectif de marge d'exploitation est quant à lui compris entre 5 et 7 % cette année. Groupe Silicomp est en mesure, selon nous, de multiplier par quatre son résultat net, à 2,95 millions d'euros, en 2005. Cette estimation est capitalisée 15,3 fois, contre plus de 62 fois en 2004.
sqli déjà mis
par mareva , Barjac, samedi 09 juillet 2005, 13:06 (il y a 7059 jours) @ mareva
LEURS MULTIPLES DE CAPITALISATION SONT 20 % INFERIEURS A LA MOYENNE DES SERVICES INFORMATIQUES
Quatre SSII présentes sur des niches technologiques à forte croissance
par DELPHINE DESHAYES
Le moral des sociétés de services informatiques (SSII) est au beau fixe. Après être reparti de l'avant en 2004 avec une progression de 4 % de l'activité, le marché devrait bénéficier cette année encore d'une croissance comprise entre 4 et 6 %. L'ensemble des SSII est amené à profiter de la reprise des investissements informatiques, mais, dans un secteur atomisé où se côtoient un nombre important de prestataires, la concurrence continue de faire rage et de maintenir une pression sur les prix. Dans ce contexte, les SSII présentes sur une niche technologique ou sur un segment de marché très ciblé devraient davantage tirer profit de la croissance. C'est la raison pour laquelle Le Journal des Finances a sélectionné quatre sociétés positionnées sur des niches technologiques à forte croissance. Leur coeur de métier s'étend de l'informatique embarquée (c'est-à-dire l'informatique présente dans les objets du quotidien, comme les voitures) au Web-to-database (accès via Internet aux bases de données des entreprises), en passant par le conseil en haute technologie sur Internet. Derrière ce jargon technique se cachent des compétences technologiques pointues, permettant à des sociétés comme Groupe Silicomp, Infotel et SQLI de se distinguer des SSII plus généralistes. D'autres, comme Neyrial, se différencient en orientant leur offre exclusivement vers les petites et moyennes entreprises. Ces SSII rencontrent un nombre limité de concurrents et devraient bénéficier de la reprise des investissements des entreprises dans les services à forte valeur ajoutée. Les quatre valeurs de notre sélection devraient ainsi afficher une croissance de leur activité supérieure à celle du marché des services informatiques.
La publication des chiffres d'affaires du premier trimestre (en hausse de 5 % pour Neyrial et jusqu'à 21,4 % pour Groupe Silicomp) témoigne déjà du dynamisme de leurs ventes. Les sociétés prévoient également d'améliorer leur rentabilité en 2005. Outre le fort rebond attendu de leurs facturations, elles devraient récolter les fruits de leur politique de réduction de coûts mise en place pendant les années de vaches maigres, et profiter également du passage aux nouvelles normes IFRS, avec l'arrêt de la comptabilisation des amortissements d'écarts de survaleurs. Avec un multiple de capitalisation 20 % inférieur à la moyenne des services informatiques (17 fois environ les bénéfices attendus pour 2005), ces sociétés offrent un potentiel d'appréciation significatif en Bourse. Et ce malgré le très beau parcours accompli depuis le début de l'année, les titres SQLI et Infotel ayant gagné près de 15 % et ceux de Groupe Silicomp et de Neyrial, plus de 40 %.
GROUPE SILICOMP Une croissance organique deux fois supérieure à celle du marché
Créée il y a plus de vingt ans, cette société de services informatiques réalise près des deux tiers de son chiffre d'affaires dans l'informatique embarquée. Il s'agit de toute l'informatique logée dans les objets du quotidien, que ce soit les appareils électroménagers comme les micro-ondes ou encore les voitures. Groupe Silicomp a, par exemple, mis au point un système de pendulation modulaire pour les TGV permettant de diminuer l'accélération latérale ressentie par les passagers lors des trajets à grande vitesse.
La SSII, essentiellement implantée en France, où elle réalise 80 % de ses recettes, rencontre peu de concurrents directs. Après deux années difficiles, en 2002 puis en 2003, durant lesquelles les entreprises ont stoppé leurs investissements, ces dernières sont aujourd'hui contraintes de rattraper leur retard technologique et de gagner de nouveau en productivité.
Elles profitent ainsi à présent d'une conjoncture plus favorable pour remplacer leurs produits vieillissants. En 2005, Jean-Michel Gliner, le président du groupe, vise une croissance organique de l'activité deux fois supérieure à celle du marché des services informatiques, attendue entre 4 et 6 %. La hausse de 21,4 % des recettes au cours du premier trimestre (23,6 millions d'euros) apparaît de bon augure. Par ailleurs, l'équipe dirigeante n'exclut pas une opération de croissance externe, que permet un bilan sain. L'endettement net est limité à 30 % des fonds propres. L'objectif de marge d'exploitation est quant à lui compris entre 5 et 7 % cette année. Groupe Silicomp est en mesure, selon nous, de multiplier par quatre son résultat net, à 2,95 millions d'euros, en 2005. Cette estimation est capitalisée 15,3 fois, contre plus de 62 fois en 2004.
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mareva
suite
par mareva , Barjac, samedi 09 juillet 2005, 13:06 (il y a 7059 jours) @ mareva
INFOTEL La marge d'exploitation dépassera 10 % cette année
Infotel n'est pas une société de services informatiques comme les autres. Non seulement elle est présente sur le marché des services informatiques (83 % du chiffre d'affaires), mais elle réalise aussi 17 % de ses facturations dans l'édition de logiciels de gestion de base de données. Cette structure bicéphale lui assure un niveau de rentabilité largement supérieur à la moyenne du secteur, le métier de l'édition étant particulièrement rémunérateur. Les performances d'Infotel dans les services informatiques sont toutefois elles aussi remarquables, comparé à celles du secteur. La SSII est spécialisée dans le Web-to-database, qui permet à des entreprises d'accéder par Internet à leur base de données via des pages personnalisées et conviviales. Cette branche d'activité a dégagé une rentabilité d'exploitation de 8 % en 2004, dans le haut de la fourchette de la profession. Grâce au positionnement dans l'édition de logiciels, la rentabilité de l'ensemble du groupe s'est établie à 10,3 %. Un niveau que la direction compte de nouveau améliorer en 2005, grâce à une croissance des ventes supérieure à 7,2 % (40 millions d'euros). Cet objectif a été confirmé lors de la publication du chiffre d'affaires du premier trimestre, qui a marqué une hausse de 12,8 % des facturations. Dans cette hypothèse, la marge d'exploitation pourrait, selon nous, avoisiner sans difficulté 11 %, et le résultat net 3,2 millions d'euros. Le titre capitalise 15,4 fois cette estimation de bénéfice pour 2005. D'ici trois ans, la société a pour ambition de doubler de taille. Des acquisitions sont à l'ordre du jour. La marge de manoeuvre de la SSII est confortable puisqu'elle dispose d'une trésorerie nette de 12,5 millions d'euros, soit 10,63 euros par action.
NEYRIAL Le titre se paie moins de 9 fois les résultats attendus en 2005
Cette société établie dans la région Rhône-Alpes réalise 30 % de son activité dans les services et 70 % dans la distribution de matériel. Les ventes de la division services ont bondi de 15 % au cours du premier semestre de l'exercice 2004/2005, qui sera clos le 30 septembre prochain. Neyrial se différencie de ses concurrents en ciblant une clientèle de très petites et moyennes entreprises, auxquelles la SSII offre une gamme complète de services allant de l'architecture de réseaux informatiques à l'intégration de logiciels et la maintenance. Pour l'exercice en cours, l'objectif de Philippe Neyrial, le président de la société éponyme, est de réaliser une croissance supérieure à 5 %. En plein retournement après deux années de crise des services informatiques et une réduction drastique de ses frais de structure, avec notamment l'allègement de 26 % de ses effectifs, Neyrial dispose d'un effet de levier significatif sur ses résultats. Nous anticipons pour cette année une augmentation de 9 % des facturations, qui permettrait une progression de 30 % du résultat net, à 0,81 million d'euros. Neyrial présente sans conteste les ratios de valorisation les moins élevés de notre sélection, puisque le titre capitalise seulement 8,6 fois notre prévision de bénéfice net, ce qui est moitié moins que la moyenne du secteur. Autre argument de taille : la société s'est engagée dans une politique régulière de distribution. Au titre de l'année 2004/2005, nous anticipons un dividende net de 0,27 euro par action, ce qui fait ressortir un rendement net de 3,3 %.
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mareva
merci a tous les 2
par velise, samedi 09 juillet 2005, 13:30 (il y a 7059 jours) @ mareva
Neyrial en résa hausse probable...
par jmp , Boulogne/Mer, lundi 11 juillet 2005, 14:40 (il y a 7057 jours) @ mareva
» NEYRIAL Le titre se paie moins de 9 fois les résultats attendus en 2005
»[...]
» Neyrial présente sans conteste les ratios de
» valorisation les moins élevés de notre sélection, puisque le titre
» capitalise seulement 8,6 fois notre prévision de bénéfice net, ce qui est
» moitié moins que la moyenne du secteur.
Ca a fait TILT!
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jean-marie