de la part de herr.w : fin

par rv, lundi 04 juillet 2005, 08:25 (il y a 7064 jours) @ rv

Positionné sur un secteur défensif (valorisation
énergétique des déchets, maintenance et réhabilitation de
chaudières industrielles, traitement de l'air…), le groupe
participe parallèlement au respect de l'environnement
(l'énergie contenue dans les déchets est transformée en
électricité ou en chaleur, maîtrise des émissions dans le
cadre de la lutte contre le changement climatique…). Un
thème qui est loin d'être épuisé…. A titre indicatif, le
titre se paye 8 fois en 2006, contre 12 fois pour le
secteur.

Rappel du dernier fait économique
L'an dernier, Cnim a enregistré un résultat d’exploitation
de 24,2 millions d'euros (+7,5%) pour un chiffre d’affaire
en repli de 4,20% à 554 millions d'euros. Pour 2005, le
groupe reste prudent compte tenu des perspectives
économiques générales tant en France qu'en Europe. A moyen
terme, la stratégie de Cnim est de poursuivre les efforts
en vue d'accroître la rentabilité.

Total est l’une des valeurs préférées des analystes HSBC au
sein du secteur pétrolier. Ce point de vue est notamment
motivé par les multiples de valorisation affichés par le
groupe français, un constat encore plus évident, selon eux,
si l’on tient compte de la possibilité d’une vente de la
participation détenue dans Sanofi Aventis.

Si une vente est exclue à court terme, les conditions
fiscales à horizon 2007 font que le groupe n’aura
probablement pas à s’acquitter de taxes sur les plus-values
à cette échéance. Pour les analystes HSBC, la sous-
valorisation du groupe sera perçue de manière croissante
par le marché à mesure que l’hypothèse d’une vente de cette
participation se renforce. Cette participation est estimée
à environ 20 euros par titre Total par HSBC.

Pour les analystes, Total est ainsi la major européenne
disposant du plus important potentiel d’appréciation du
secteur (de l’ordre de 15%). Au chapitre des risques, ils
citent notamment l’ambitieux objectif d’une croissance
annuelle de la production de 4% jusqu’en 2010 qui dépendra
essentiellement des acquisitions que réalisera le groupe
sur la période. Parallèlement, ils relèvent la
surexposition des actifs du pétrolier français (dans
l’amont) à des pays non-OCDE, ce qui fait porter à la
valeur un profil de risque politique supérieur à la moyenne.


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