Kindy : c'est étrange la cotation de la valeur semble
par value , venezuela, vendredi 15 avril 2005, 10:14 (il y a 7166 jours)
être en continu. C'est nouveau > Il me semblait que c'était un double fixing.
Et puis aussi :
par value , venezuela, vendredi 15 avril 2005, 10:16 (il y a 7166 jours) @ value
KINDY : "Nous ne sommes pas textile mais produit de grande distribution"
Le président du directoire du groupe Kindy, Joël Petillon, a déclaré ce matin, lors du débat organisé par Actus et Euroland Finance sur les valeurs du textile, quil essayait de sortir de la classification « Textile ». « Kindy nest pas une valeur dite textile, mais produits de grande distribution. On est casé dans ce compartiment textile, alors que jessaie den sortir », a-t-il précisé.
Sur louverture des quotas face aux importations chinoises, le président de Kindy a tenu à pondérer les inquiétudes des marchés. « Cela fait onze ans que laccord entre lUnion Européenne et la Chine a été signé, et tout le monde à lair de nen prendre conscience quaujourdhui. Tout ceci nest pas très sérieux », a-t-il noté. Kindy a ouvert une succursale à Shanghai il y a déjà deux ans et se félicite de la réussite de cette stratégie. « Il ne faut pas aller à contre-courant », a-t-il précisé sur linfluence croissante de la Chine à travers le monde. La société conserve une partie de sa production en Turquie afin déquilibrer les risques. « On ne peut pas avoir toute sa production à un mois et demi de bateau, donc nous conservons notre usine en Turquie », a avancé Joël Petillon.
De plus, face aux copies chinoises, la société avance que lun des critères le plus importants de son industrie réside dans linnovation. « Nous recherchons beaucoup à nous développer grâce aux innovations. Nous avons notamment lancé les chaussettes hypoallergéniques aux Etats-Unis, qui ont remporté un franc succès », a-t-il noté, ajoutant quil évitait tout de même de fabriquer ses produits nés de linnovation en Asie.
Enfin, sur la question de la croissance externe, le groupe a précisé que des opérations étaient envisageables si les critères de permanence, de circuit de distribution et de développement à linternational étaient réunis. « Le premier et unique atout dêtre introduit en Bourse est que nous pouvons faire appel au marché, si une opportunité se présente. Cest la seule raison pour laquelle on reste en Bourse », a-t-il indiqué.
Lucie Morlot
Tu as raison
par jmp , Boulogne/Mer, vendredi 15 avril 2005, 10:19 (il y a 7166 jours) @ value
» C'est nouveau > Il me semblait que c'était un double
» fixing.
Jusqu'à hier, c'était un double fixing. Elle est en continu depuis ce matin.
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jean-marie