Avatar

5 déçus ?????????

par mareva @, Barjac, samedi 02 avril 2005, 08:58 (il y a 7179 jours)

MONEYLINE
Retour aux bénéfices en 2004.
Chorère AINEJIAN

Le redressement de MONEYLINE est confirmé. L'an dernier, le fournisseur de terminaux de paiement et de solutions de traitement de chèques a renoué avec un profit net de 3,4 millions d'euros, contre une perte nette de 1,5 million d'euros en 2003, et de 5,18 millions d'euros en 2002.

Cette performance s'explique, comme nous le souligne Marc Le Mouel, le directeur général du groupe, « par les restructurations menées depuis 2002 ainsi que la montée en puissance des activités de services, qui dégagent une marge brute de 95 %, comparée à 50 % dans le matériel ».

Les marchés financiers ont salué ces bons résultats puisque le cours de l'action a été multiplié par plus de quatre depuis notre recommandation d'achat du mois de novembre 2005.

La société a également retrouvé une situation financière solide puisque ses capitaux propres sont redevenus positifs de 3,37 millions d'euros et qu'elle dispose désormais d'une trésorerie nette de 3,2 millions d'euros. Par conséquent, le projet d'augmentation de capital, dont nous avait informé Marc Le Mouel en novembre, « ne revêt plus de caractère urgent ».

Ce projet est d'autant moins urgent que la société ne souhaite pas renouveler l'expérience de rachat d'entreprise. En revanche, des rapprochements sont encore possibles dans le métier, comme l'illustre l'opération de croissance externe réalisée au Royaume-Uni par l'israélien Lipmann, concurrent d'Ingenico et de Moneyline.

Pour l'ensemble de l'année, la direction vise une progression de 10 % du chiffre d'affaires, à 30 millions d'euros et une marge d'exploitation de 10 %, contre 11,35 % en 2004. Le bénéfice net devrait avoisiner 2,2 millions d'euros. Cette baisse des profits est à relativiser puisque le résultat net de 2004 intègre l'activation d'un report de déficit fiscal de 0,8 million d'euros. Par ailleurs, la société va investir 12 % à 13 % de son chiffre d'affaires dans la recherche-développement, soit une enveloppe proche de 4 millions d'euros.

En dépit du rebond de l'action, la valorisation boursière de MONEYLINE reste attrayante. La société se paie moins de 8 fois notre estimation de bénéfice net pour 2005, et 7 fois à peine les profits estimés pour 2004.

Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs bénéfices et conserveront le solde en visant 20 euros.

Comp. C ; code FR0000054298 (MOL) ; cotation Continu ; cours au 31/03 18,5 € (121 F) ; cours extrêmes sur un an 2,35-21,07 € ; BNPA 2004, 2005 et 2006 estimés 3,74, 2,42 et 2,75 € ; PER 2004, 2005 et 2006 estimés 4,94, 7,63 et 6,71 fois ; rendement nul ; moyenne quotidienne des transactions 14.000 titres ; capitalisation boursière 17 M€ ; activité principale Terminaux de paiement.



NOTRE CONSEIL
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES

--
mareva

oui un peu .mais:

par pasca711, dimanche 03 avril 2005, 12:01 (il y a 7178 jours) @ mareva

regarder l interwiew du dg bloomberg sur le site de moneyline. ( ca rassure).
elle reste tres tres faiblement valorise pour une techno en monetique. a comparer avec ingenico ou axalto. si on lui applique les memes ratios elle triple. perso je n en demande pas autant.

» MONEYLINE
» Retour aux bénéfices en 2004.
» Chorère AINEJIAN
»
» Le redressement de MONEYLINE est confirmé. L'an dernier, le fournisseur de
» terminaux de paiement et de solutions de traitement de chèques a renoué
» avec un profit net de 3,4 millions d'euros, contre une perte nette de 1,5
» million d'euros en 2003, et de 5,18 millions d'euros en 2002.
»
» Cette performance s'explique, comme nous le souligne Marc Le Mouel, le
» directeur général du groupe, « par les restructurations menées depuis 2002
» ainsi que la montée en puissance des activités de services, qui dégagent
» une marge brute de 95 %, comparée à 50 % dans le matériel ».
»
» Les marchés financiers ont salué ces bons résultats puisque le cours de
» l'action a été multiplié par plus de quatre depuis notre recommandation
» d'achat du mois de novembre 2005.
»
» La société a également retrouvé une situation financière solide puisque
» ses capitaux propres sont redevenus positifs de 3,37 millions d'euros et
» qu'elle dispose désormais d'une trésorerie nette de 3,2 millions d'euros.
» Par conséquent, le projet d'augmentation de capital, dont nous avait
» informé Marc Le Mouel en novembre, « ne revêt plus de caractère urgent ».
»
» Ce projet est d'autant moins urgent que la société ne souhaite pas
» renouveler l'expérience de rachat d'entreprise. En revanche, des
» rapprochements sont encore possibles dans le métier, comme l'illustre
» l'opération de croissance externe réalisée au Royaume-Uni par l'israélien
» Lipmann, concurrent d'Ingenico et de Moneyline.
»
» Pour l'ensemble de l'année, la direction vise une progression de 10 % du
» chiffre d'affaires, à 30 millions d'euros et une marge d'exploitation de
» 10 %, contre 11,35 % en 2004. Le bénéfice net devrait avoisiner 2,2
» millions d'euros. Cette baisse des profits est à relativiser puisque le
» résultat net de 2004 intègre l'activation d'un report de déficit fiscal de
» 0,8 million d'euros. Par ailleurs, la société va investir 12 % à 13 % de
» son chiffre d'affaires dans la recherche-développement, soit une enveloppe
» proche de 4 millions d'euros.
»
» En dépit du rebond de l'action, la valorisation boursière de MONEYLINE
» reste attrayante. La société se paie moins de 8 fois notre estimation de
» bénéfice net pour 2005, et 7 fois à peine les profits estimés pour 2004.
»
» Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de
» novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs bénéfices
» et conserveront le solde en visant 20 euros.
»
» Comp. C ; code FR0000054298 (MOL) ; cotation Continu ; cours au 31/03 18,5
» € (121 F) ; cours extrêmes sur un an 2,35-21,07 € ; BNPA 2004, 2005 et 2006
» estimés 3,74, 2,42 et 2,75 € ; PER 2004, 2005 et 2006 estimés 4,94, 7,63 et
» 6,71 fois ; rendement nul ; moyenne quotidienne des transactions 14.000
» titres ; capitalisation boursière 17 M€ ; activité principale Terminaux de
» paiement.
»
»
»
» NOTRE CONSEIL
» PRISE PARTIELLE DE BENEFICES

5 déçus ?????????

par stephane, dimanche 03 avril 2005, 17:20 (il y a 7178 jours) @ mareva

le JDF est en totale contradiction

"la valorisation boursière de MONEYLINE » reste attrayante"
et
"Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de
» novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs bénéfices"

ca c'est du conseil : si la valo est attrayante, pourquoi prendre ses bénéfices !
vraiment il ne se mouille pas, le journaliste !

» MONEYLINE
» Retour aux bénéfices en 2004.
» Chorère AINEJIAN
»
» Le redressement de MONEYLINE est confirmé. L'an dernier, le fournisseur de
» terminaux de paiement et de solutions de traitement de chèques a renoué
» avec un profit net de 3,4 millions d'euros, contre une perte nette de 1,5
» million d'euros en 2003, et de 5,18 millions d'euros en 2002.
»
» Cette performance s'explique, comme nous le souligne Marc Le Mouel, le
» directeur général du groupe, « par les restructurations menées depuis 2002
» ainsi que la montée en puissance des activités de services, qui dégagent
» une marge brute de 95 %, comparée à 50 % dans le matériel ».
»
» Les marchés financiers ont salué ces bons résultats puisque le cours de
» l'action a été multiplié par plus de quatre depuis notre recommandation
» d'achat du mois de novembre 2005.
»
» La société a également retrouvé une situation financière solide puisque
» ses capitaux propres sont redevenus positifs de 3,37 millions d'euros et
» qu'elle dispose désormais d'une trésorerie nette de 3,2 millions d'euros.
» Par conséquent, le projet d'augmentation de capital, dont nous avait
» informé Marc Le Mouel en novembre, « ne revêt plus de caractère urgent ».
»
» Ce projet est d'autant moins urgent que la société ne souhaite pas
» renouveler l'expérience de rachat d'entreprise. En revanche, des
» rapprochements sont encore possibles dans le métier, comme l'illustre
» l'opération de croissance externe réalisée au Royaume-Uni par l'israélien
» Lipmann, concurrent d'Ingenico et de Moneyline.
»
» Pour l'ensemble de l'année, la direction vise une progression de 10 % du
» chiffre d'affaires, à 30 millions d'euros et une marge d'exploitation de
» 10 %, contre 11,35 % en 2004. Le bénéfice net devrait avoisiner 2,2
» millions d'euros. Cette baisse des profits est à relativiser puisque le
» résultat net de 2004 intègre l'activation d'un report de déficit fiscal de
» 0,8 million d'euros. Par ailleurs, la société va investir 12 % à 13 % de
» son chiffre d'affaires dans la recherche-développement, soit une enveloppe
» proche de 4 millions d'euros.
»
» En dépit du rebond de l'action, la valorisation boursière de MONEYLINE
» reste attrayante. La société se paie moins de 8 fois notre estimation de
» bénéfice net pour 2005, et 7 fois à peine les profits estimés pour 2004.
»
» Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de
» novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs bénéfices
» et conserveront le solde en visant 20 euros.
»
» Comp. C ; code FR0000054298 (MOL) ; cotation Continu ; cours au 31/03 18,5
» € (121 F) ; cours extrêmes sur un an 2,35-21,07 € ; BNPA 2004, 2005 et 2006
» estimés 3,74, 2,42 et 2,75 € ; PER 2004, 2005 et 2006 estimés 4,94, 7,63 et
» 6,71 fois ; rendement nul ; moyenne quotidienne des transactions 14.000
» titres ; capitalisation boursière 17 M€ ; activité principale Terminaux de
» paiement.
»
»
»
» NOTRE CONSEIL
» PRISE PARTIELLE DE BENEFICES

oui c est aussi ce que je pense.

par pasca711, dimanche 03 avril 2005, 17:35 (il y a 7178 jours) @ stephane

.

» le JDF est en totale contradiction
»
» "la valorisation boursière de MONEYLINE » reste attrayante"
» et
» "Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de
» » novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs
» bénéfices"
»
» ca c'est du conseil : si la valo est attrayante, pourquoi prendre ses
» bénéfices !
» vraiment il ne se mouille pas, le journaliste !
»
»
»
» » MONEYLINE
» » Retour aux bénéfices en 2004.
» » Chorère AINEJIAN
» »
» » Le redressement de MONEYLINE est confirmé. L'an dernier, le fournisseur
» de
» » terminaux de paiement et de solutions de traitement de chèques a renoué
» » avec un profit net de 3,4 millions d'euros, contre une perte nette de
» 1,5
» » million d'euros en 2003, et de 5,18 millions d'euros en 2002.
» »
» » Cette performance s'explique, comme nous le souligne Marc Le Mouel, le
» » directeur général du groupe, « par les restructurations menées depuis
» 2002
» » ainsi que la montée en puissance des activités de services, qui
» dégagent
» » une marge brute de 95 %, comparée à 50 % dans le matériel ».
» »
» » Les marchés financiers ont salué ces bons résultats puisque le cours de
» » l'action a été multiplié par plus de quatre depuis notre recommandation
» » d'achat du mois de novembre 2005.
» »
» » La société a également retrouvé une situation financière solide puisque
» » ses capitaux propres sont redevenus positifs de 3,37 millions d'euros
» et
» » qu'elle dispose désormais d'une trésorerie nette de 3,2 millions
» d'euros.
» » Par conséquent, le projet d'augmentation de capital, dont nous avait
» » informé Marc Le Mouel en novembre, « ne revêt plus de caractère urgent
» ».
» »
» » Ce projet est d'autant moins urgent que la société ne souhaite pas
» » renouveler l'expérience de rachat d'entreprise. En revanche, des
» » rapprochements sont encore possibles dans le métier, comme l'illustre
» » l'opération de croissance externe réalisée au Royaume-Uni par
» l'israélien
» » Lipmann, concurrent d'Ingenico et de Moneyline.
» »
» » Pour l'ensemble de l'année, la direction vise une progression de 10 %
» du
» » chiffre d'affaires, à 30 millions d'euros et une marge d'exploitation
» de
» » 10 %, contre 11,35 % en 2004. Le bénéfice net devrait avoisiner 2,2
» » millions d'euros. Cette baisse des profits est à relativiser puisque le
» » résultat net de 2004 intègre l'activation d'un report de déficit fiscal
» de
» » 0,8 million d'euros. Par ailleurs, la société va investir 12 % à 13 %
» de
» » son chiffre d'affaires dans la recherche-développement, soit une
» enveloppe
» » proche de 4 millions d'euros.
» »
» » En dépit du rebond de l'action, la valorisation boursière de MONEYLINE
» » reste attrayante. La société se paie moins de 8 fois notre estimation
» de
» » bénéfice net pour 2005, et 7 fois à peine les profits estimés pour
» 2004.
» »
» » Toutefois, ceux qui ont suivi notre recommandation d'achat du mois de
» » novembre, à moins de cinq euros, prendront une partie de leurs
» bénéfices
» » et conserveront le solde en visant 20 euros.
» »
» » Comp. C ; code FR0000054298 (MOL) ; cotation Continu ; cours au 31/03
» 18,5
» » € (121 F) ; cours extrêmes sur un an 2,35-21,07 € ; BNPA 2004, 2005 et
» 2006
» » estimés 3,74, 2,42 et 2,75 € ; PER 2004, 2005 et 2006 estimés 4,94, 7,63
» et
» » 6,71 fois ; rendement nul ; moyenne quotidienne des transactions 14.000
» » titres ; capitalisation boursière 17 M€ ; activité principale Terminaux
» de
» » paiement.
» »
» »
» »
» » NOTRE CONSEIL
» » PRISE PARTIELLE DE BENEFICES

ce que je pense

par nounours, dimanche 03 avril 2005, 18:12 (il y a 7178 jours) @ pasca711

Il est évident que lorsque l'on a acheté une valeur à 5 et qu'elle vaut aujourd'hui 19, on peut prendre une partie de ses bénéfices, celà me parait etre de la bonne gestion.
Ceci dit, le PER 2004 n'est pas égal à 7 mais plutot 5, et celui estimé de 2005 est égal à 8.Il me semble donc que la valeur n'est pas chère et offre encore un beau potentiel.

Fil RSS du sujet
powered by my little forum