la fonction poster des messages de mon pseudo a été désactivée car j'ai osé critiquer artprice.Mais où va-t-on >

Boursorama est une boite privée (filiale de la Société Générale) qui a passé des accords avec Artprice. Ils ont le droit de faire ce qu'ils veulent sur leurs forums et bien évidemment ils peuvent éliminer tous ceux qui disent du mal d'eux ou de leurs partenaires. Tu n'es pas obligé d'y poster, c'est un service qu'ils t'offrent gratos!
Si un olibrius s'amusait à dire du mal de tes amis sur ton site et que cela porterait atteinte à tes revenus je pense que tu ferais de même!

Il serait plus que temps que les boursorameurs s'en rendent compte.

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jean-marie

oui mais tu sais très bien qu'une boite qui cote 10 fois son ca et fait toujours des pertes , c'est de l'arnaque.Bourso participe à une escroquerie.

» oui mais tu sais très bien qu'une boite qui cote 10 fois son ca et fait
» toujours des pertes , c'est de l'arnaque.Bourso participe à une
» escroquerie.

Je pense qu'ils savent jusqu'où ne pas aller. Il n'y a pas que sur des sociétés partenaires que le censeur taillade joyeusement, et c'est bien souvent à la tête du client, et c'est d'ailleurs pour cela que certains ne postent plus chez eux.

Si ce qu'on a à dire est essentiel (c'est à dire quasiment jamais ), on peut toujours le dire ici

» » oui mais tu sais très bien qu'une boite qui cote 10 fois son ca et fait
» » toujours des pertes , c'est de l'arnaque.Bourso participe à une
» » escroquerie.
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» Je pense qu'ils savent jusqu'où ne pas aller. Il n'y a pas que sur des
» sociétés partenaires que le censeur taillade joyeusement, et c'est bien
» souvent à la tête du client, et c'est d'ailleurs pour cela que certains ne
» postent plus chez eux.
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» Si ce qu'on a à dire est essentiel (c'est à dire quasiment jamais ),
» on peut toujours le dire ici

j'admire ta phylosophie de la vie , car moi ca m'a mis en colère.

Sur le net, ce n'est pas ce qui manque. D'où la nécessité de se retrouver en terrain de confiance comme ici...

D'un autre côté, Boursorama publie un CONTRAT D'UTILISATION DU SERVICE BOURSORAMA où il est écrit ça:
"
Le MEMBRE s'engage à ne pas poster de liens hypertextes pointant sur des sites non conformes à la législation en vigueur ou de nature à nuire aux intérêts ou à l'image de BOURSORAMA ou de toute société du groupe auquel elle appartient.
"

et ça

"
3.2 : Contrôle exercé par BOURSORAMA

BOURSORAMA se réserve le droit de supprimer sans préavis tout message qui serait notamment non conforme à l'article 3.1 précité ou bien qui serait susceptible d'enfreindre les droits ou de heurter les droits d'un tiers ou de BOURSORAMA.
"

A partir du moment où tu utilises leur service tu es tenu de respecter le contrat d'utilisation, non>

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jean-marie

» Sur le net, ce n'est pas ce qui manque. D'où la nécessité de se retrouver
» en terrain de confiance comme ici...
»
» D'un autre côté, Boursorama publie un CONTRAT D'UTILISATION DU SERVICE
» BOURSORAMA où il est écrit ça:
» "
» Le MEMBRE s'engage à ne pas poster de liens hypertextes pointant sur des
» sites non conformes à la législation en vigueur ou de nature à nuire aux
» intérêts ou à l'image de BOURSORAMA ou de toute société du groupe auquel
» elle appartient.
» "
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» et ça
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» "
» 3.2 : Contrôle exercé par BOURSORAMA
»
» BOURSORAMA se réserve le droit de supprimer sans préavis tout message qui
» serait notamment non conforme à l'article 3.1 précité ou bien qui serait
» susceptible d'enfreindre les droits ou de heurter les droits d'un tiers ou
» de BOURSORAMA.
» "
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» A partir du moment où tu utilises leur service tu es tenu de respecter le
» contrat d'utilisation, non>

je respecte la charte et je ne diffuse pas d'infos mensongères , donc il y a abus.

je dirais même que c'est grâce aux forums de discution que des investisseurs non avertis peuvent trouver des infos pertinentes , alors si on censure ces infos pour ne laisser que les spammeurs manipulateurs , le forum n'a + lieu d'être.Car je me rappelle en 2000 , des infos diffusées par certains forumistes bien informés ( puisées au coeur de l'entreprise ) m'ont évité 2 faillites.

Boursorama peut effectivement et "légalement" éliminer les posts qui "nuisent à son image, etc..." et cela reste à son libre arbitre... qui peut être arbitraire car ton post Ayrton n'était pas diffamatoire mais informatif. Pour moi, c'est donc bien de la censure. Cela nous rappelle quand même au passage que les territoires de "libre-expression" sont limités, même sur Internet.

» je respecte la charte et je ne diffuse pas d'infos mensongères , donc il y
» a abus.

Ils savent très bien que tu n'iras pas en justice défendre ton point de vue.
Tu connais l'histoire du pot de terre et du pot de fer>
Ils pratiquent la censure depuis suffisamment longtemps pour avoir acquis une bonne expérience. La seule arme dont tu disposes c'est de convaincre les autres boursorameurs des forums que tu fréquentes de vous retrouver ailleurs. Mais cela prendra du temps, la notoriété de Boursorama ne s'est pas construite en un jour. Et si les infos que tu y trouves te permettent d'éviter des erreurs d'investissement, la seule chose que tu peux dire c'est "Merci Boursorama"!

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jean-marie

» j'admire ta phylosophie de la vie , car moi ca m'a mis en colère.

... et je te comprends, être censuré c'est pour le moins avoir le sentiment d'avoir perdu son temps !

Ceci dit je suis tout à fait d'accord avec toi et ce que tu dis est vrai : la censure Boursorama c'est souvent n'importe quoi, n'importe comment.

Heureusement qu'ici on peut y aller pour crier : Artprice est une monstrueuse daube de compétition !!!

n'auront pas la même chance que j'ai eu à l'époque.Ils seront victimes d'une escroquerie organisée.

JM a raison pour la lettre mais dans l'esprit ayrton a raison, aussi, c'est à chier (tiens, là, il faut que je m'autocensure).

Thierry Ehrmann (ARTPRICE) est bien évidemment derrière la société Boursorama (donc une banque !) pour obliger Bourso. à contrôler les posts.

Evoquer simplement le terme "augmentation de capital" (même au conditionnel) conduit de manière systématique à la suppression du post. Bien évidemment, on peut se poser la question : pourquoi >

On sait tous qu'au 30 juin 2004, il restait 200K€ dans les caisses d'Artprice... et j'attends avec beaucoup d'impatience les résultats annuels.

Essayez de trouver sur ArtPrice le calendrier de publication d'ailleurs... Pour noyer le poisson avec des publications euphoriques sur les +40% d'audience ceci, sur la fulgurante ascension de cela... Thierry Ehrmann est très fort, mais pour s'exprimer sur l'évolution de sa tréso. (essentiel sur une boite internet qui paume du pognon depuis TOUJOURS) là ils sont Plus discrets.

Mais attendez de voir la suite.... On va bientôt rigoler un peu avec ArtPrice. J'ai des infos sérieuses qui me font regretter de ne pas pouvoir vader cette valeur.

j'espère bien que l'on va bientôt rigoler , le problème c'est que de malheureux petits épargnants ( mal informés et n'ayant pas les connaissances nécessaires )vont perdre de l'argent et ceci avec la complicité de boursorama.

» Thierry Ehrmann (ARTPRICE) est bien évidemment derrière la société
» Boursorama (donc une banque !) pour obliger Bourso. à contrôler les
» posts.
»
» Evoquer simplement le terme "augmentation de capital" (même au
» conditionnel) conduit de manière systématique à la suppression du post.
» Bien évidemment, on peut se poser la question : pourquoi >

Apparemment ils se sont calmés, cause mon post "Augmentation de Capital" a déjà une durée de vie de 20 heures (excellent score). De toute façon, il est clair que les coupures et censures Boursoramiques, même si elles ne me gênent pas plus que ça, finissent par énerver tout le monde. Aussi certains censeurs auront compris que la révolte n'est plus très loin et laisse béton la guillotine

oui mais ...mon pseudo est passé de ayrton14 à ayrton16.....bon c'est vrai j'ai de la marge ....

boursorama a des amis peu recommandables. le patron d'artprice est quand même un curieux personnage. capable d'attaquer ses introducteurs en bourse pour l'avoir "spolié"d'une plus-value. pas une larme bien sûr pour les petits porteurs ruinés par ses prévisions fantaisistes. Voir ci dessous (article de 2003)

La bulle Internet rebondit au tribunal
Artprice accuse ses banques de l'avoir spoliée lors de sa mise en Bourse.

Flash-back sur la bulle Internet au tribunal de commerce de Paris. Trois ans après son introduction en Bourse, Artprice, une start-up spécialiste du marché des cotations d'oeuvres d'art, demande des comptes à ses banquiers.

L'audience un peu surréaliste s'est déroulée vendredi. Au centre du conflit, les conditions de son introduction sur le nouveau marché début 2000. Thierry Ehrmann, le fondateur d'Artprice, dont il possède 63 % du capital, en veut aux «coquins», les banquiers d'affaires qui ont «spéculé» derrière son dos. Il les accuse de lui avoir caché l'immense engouement qu'a suscité la mise sur le marché de sa société, et, in fine, de l'avoir spolié. Le jugement a été mis en délibéré.

Exubérance. L'histoire remonte à janvier 2000, lorsque Artprice se met à lever des fonds et que l'Internet est en train de gonfler sa bulle. Il suffit alors de coller une étiquette Internet sur un projet pour que tout le monde - fonds de capital-risque, banquiers d'affaires et boursicoteurs - se dispute son financement.

Artprice fait ses premiers pas en Bourse en pleine exubérance. Thierry Ehrmann veut mettre sur le marché 18 % du capital de sa société, soit 1,15 million d'actions. Il confie à Oddo, Pinatton et KBC le soin, en tant qu'introducteurs teneurs de marché (ITM), de mener à bien l'opération. Une fourchette de prix est établie, entre 17,53 et 19,06 euros. Les trois introducteurs font alors le tour de leurs clients institutionnels et consignent dans un «livre d'ordres» leurs intentions d'achat pour la fourchette de prix établie. L'appétit des acheteurs est tel que le prix final du titre sera fixé d'un commun accord - et en avance sur le calendrier - dans le haut de la fourchette, soit 19,06 euros. La mise en Bourse confirme l'attrait des investisseurs. Le grand public, auquel sont réservés 30 % des titres, réclame presque dix fois 94 fois [erratum libération rectification 30/09/03] plus d'actions que leur quota.

Au final, pour Artprice, tout se déroule selon les standards de l'époque. Les titres s'enlèvent comme des petits pains, puis changent à toute allure de main - 1,18 million de titres en trois jours - tandis que le cours bondit à 55 euros. Sur le coup, Artprice n'a pas l'air mécontent de l'opération puisque, précise-t-on chez Oddo-Pinatton, Ehrmann va confier à la firme, huit mois plus tard, le soin d'introduire en Bourse une autre société de son groupe, Tracing Server.

Expertise. Il n'empêche, presque trois ans après l'épisode, Artprice se réveille. La société a englouti, selon son créateur, 18 millions d'euros d'investissement pour construire ses bases de données mais elle peine à atteindre la rentabilité. Ehrmann récuse aujourd'hui le prix fixé pour l'introduction en Bourse. A l'entendre, son entreprise, sous-valorisée, aurait pu lever les mêmes fonds sans ouvrir autant son capital.

Vendredi, son avocat, Me Alain Jacubowicz, a réclamé devant le tribunal une expertise du processus et surtout la remise en mains propres du fameux livre d'ordres. Il veut y trouver la preuve que la fourchette de prix de 17-19 euros fixée a priori était beaucoup trop basse. Il dénonce le placement «friends and family» («en famille») des titres d'Artprice auprès des investisseurs chouchous d'Oddo, Pinatton et KBC, de façon à leur faciliter la culbute. Au final, il chiffre le préjudice subi par Artprice et ses actionnaires à 41 millions d'euros, soit le montant de la plus-value réalisée sur les titres Artprice les trois premiers jours. La démonstration se veut provocatrice.

Le juge a finalement repoussé la demande d'expertise et de remise du livre d'ordres. L'avocat d'Artprice a désormais l'intention d'intenter une action sur le fond. «Il n'est pas exclu que nous allions au pénal», faisait-il savoir samedi. Chez Oddo-Pinatton, on justifie le prix d'introduction de 19,06 euros retenu à l'époque. «C'est un chiffre argumenté, construit à partir d'une analyse financière de la société.» Un chiffre qui aujourd'hui pourrait sembler prudent. Vendredi à la clôture de la Bourse, l'action Artprice s'échangeait à 0,91 euro. En recul de 11,65 % sur le début de l'année.

Catherine MAUSSION

Je ne mettais pas en doute le fait que Artprice est une bande d'escrocs. Je faisais simplement remarquer qu'on ne peut pas attendre d'un prestataire de services (Boursorama) qui a de tels amis de laisser libre cours à ceux qui révèlent cet état de fait. Boursorama n'est plus (s'il a jamais été) un espace de libre expression et il appartient à chacun d'en tirer les conclusions qui s'imposent.

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jean-marie