Comment placez vous vos liquidités? (Securibourse)
Bonjour,
Les soubresauts répétés du marché m'ont décidé à mettre 100% liquide mon pea.
J'ai une coquette somme en liquide dessus, un peu plus d'1/2 million d'euros.
Je n'ai pas besoin de cet argent dans l'immédiat mais je n'ai plus envie de prendre de risques, je me contenterai d'1 maigre % sans risque.
Que me conseilleriez vous>
Cloturer le pea et mettre sur des livrets à 3%> Peut on faire mieux.
Ou garder le pea ouvert et mettre les liquidités sur des monétaires> J'ai l'impression que c'est assez désastreux, le seul intérêt c'est peut être de le garder ouvert pour si jamais l'envie me démangeait de revenir sur le marché.
Merci d'avance pour toute réponse, suggestion.
Manu
p.s. mon pea > 8ans
Comment placez vous vos liquidités?
bonjour ,
déjà il faut garder le pea ouvert , c'est un principe de base.
Autrement comme toi j'aimerais aussi rémunérer mon pea correctement , mais bon je ne connais pas de produits intéressants et éligibles au pea.Ou si certains produits existent , il faut payer des frais d'HA et après de revente.
Concernant le marché , il semble que l'on va avoir une correction assez importante ( dans les 20 % >...).
@+
ayrton
Comment placez vous vos liquidités?
casser un pea est une erreur absolue si l'on croit aux vertus de l'investissement boursier. je suis toujours sidéré lorsque j'entends des professionnels conseiller une telle option. le pea est à garder, au besoin il sert de garantie pour obtenir des crédits chez le banquier ou le courtier s'il a le statut d'etablissement de crédit.
on peut faire travailler la trésorerie en pea avec des stratégies proches de l'arbitrage. mais c'est un vrai métier et la concurrence est très rude.
plutôt que de s'escrimer pour gagner quelques %, le plus simple est d'attendre en cash les vraies opportunités qui surviennent toujours à un moment ou un autre.ce n'est pas très excitant sur le papier, un peu comme s'asseoir sur une bonne valeur et ne jamais la vendre ou presque.mais d'experience, les stratégies les plus contre nature sont souvent aussi les plus performantes.
Comment placez vous vos liquidités?
A la S.G. on trouve "sérénité" sans droit d'entrée.
Comment placez vous vos liquidités?
Bonjour Tristus ,
quelle est ton opinion du marché >
Perso je suis baissier, je m'attends à une correction forte , mon objectif étant de réinvestir quand les mouvements de panique apparaitront.Ce qui n'est pas le cas actuellement.
Et toi >
merci d'avance.
Comment placez vous vos liquidités?
--
Comment placez vous vos liquidités?
Bonjour Ayrton,
mon opinion est plutôt réservée, c'est une attitude normale je pense si l'on possède de l'experience (une vingtaine d'année déjà...) et que l'on pratique un style de gestion assez classique, façon "value"
j'ai donc pas mal de cash et des positions assez défensives selon le cahier des charges idéal déjà donné ici : faible expo à l'international, à la conjoncture et au dollar, bon historique de management, génération de cash +situation financière saine, rendement intéressant si possible,liquidité acceptable, enfin possibilité d'une sortie par opération financière. mes principales lignes sont sanofi, FTE, casino, vivendi, un panier de ssii "moyennes". pas de financières, d'industrielles, de matières premières, de PER astronomiques.
je n'ai pas compris vraiment les rebonds de certaines séances récentes du cac.
cela étant, il ne me viendrait pas à l'idée de me mettre 100 % cash. il est assez facile d'analyser les fondamentaux, de sentir le marché à court terme,l'aversion au risque, les themes de la rotation sectorielle en cours etc. à moyen terme, c'est un exercice assez aléatoire même si j'ai évidemment mon idée sur la tendance.
plutôt que de trader le bX4 comme un fou, je trouve plus intéressant de travailler à la marge mes positions de fonds de portefeuille, et de rester sélectif dans de nouveaux achats que j'opére souvent en plusieurs fois pour diluer le risque et pour profiter comme toi d'éventuelles ventes de panique.
» Bonjour Tristus ,
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» quelle est ton opinion du marché >
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» Perso je suis baissier, je m'attends à une correction forte , mon objectif
» étant de réinvestir quand les mouvements de panique apparaitront.Ce qui
» n'est pas le cas actuellement.
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» Et toi >
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» merci d'avance.
Comment placez vous vos liquidités?
Je suis assez d'accord avec Bobo!! Plus sérieusement la gestion d'un patrimoine dépend de plusieurs facteurs :
- le premier est l'âge du titulaire (en tant que placement moyen-long terme contineur un PEA au-delà d'un âge 65-70 ans est un non sens, le compte à terme rémunéré à 5,5% par an si maintien pendant 5ans est un meilleur placement), à moins de 50 ans d'âge d'accord avec ce qui est dit ailleurs,
- tu te rapproches de l'ISF -patrimoine supérieur à 748000 euros >- (d'ailleurs tu le paies peut-être déjà >) la il s'agit de choisir des produits réduisant la pression fiscale (donation par exemple, investissement dans petites entreprises locales qui le méritent donc enquête sérieuse du marché et contact averti avec les chefs d'entreprise),
- ton tempérament, mais j'ai cru comprendre que tu cherches plutôt la tranquillité...pourvu que ça rapporte et là je suis d'accord avec les livrets..
Il y a certainement d'autres idées, mais comme dans toute bonne gestion de patrimoine une bonne diversification est nécessaire, rien ne t'empêches à tout âge, de garder ce PEA ouvert et de continuer à "jouer" en bourse en choisissant 2 à 3 valeurs inégales face au risque, d'ouvrir une assurance-vie (surtout dans de rares cas professionnels comme la santé et le bâtiment qui offre des rendements au-dessus du livret A; dans tous les cas je te renvoie au paragraphe précédent.
Soit faire confiance à un gestionnaire privé qui t'offre un rendement assuré (il en existe des sérieux pour cette somme là!!!)
Il s'agit que d'avis d'un non professionnel de la finance, en espérant t'avoir donné quelques pistes.
Cordialement Doc
Même avis que Tristus Dolor
Je suis, concernant le PEA, strictement du même avis que Tristus Dolor: un PEA (tant que la fiscalité reste avantageuse) ne se casse pas. Au besoin, les liquidités nécessaires à autre chose peuvent être empruntées et être couvertes en garantie par ce même actif.
Concernant les liquidités sur le PEA, encore même avis:
-des stratégies d'arbitrages sont possibles pour rémunérer ses liquidités excédentaires mais c'est difficile à réaliser. Pour ma part, je ne suis pas compétent et je m'interdis le plus souvent d'y avoir recours. Comme Tristus Dolor, en ce moment, je travaille à la marge les lignes que je détiens en fond de portefeuille à LT (même si je ne suis pas convaincu que l'on puisse faire grand chose de terrible avec cette tactique, au moins cela comble un peu le vilain besoin d'activisme). De même, je crois comme lui que le mieux reste d'attendre, plutôt que de s'escrimer le plus souvent en vain à gagner quelques misérables pourcents. En effet, on ne peut guère obtenir plus de 3% de rendement annuel en produits sûrs. Attendre un peu qu'une action de qualité déjà faiblement valorisée (par exemple Vivendi) baisse de 10% à 20% plutôt que d'être investi compense plus qu'il ne faut cette baisse de rentabilité sur le papier. Je rajouterai que je me défie grandement des monétaires éligibles au PEA. Elles usent à outrance des produits dérivés et optionnels. Le risque de contrepartie défaillante en ce moment est grand, un peu à l'instar de ce qui s'est passé sur les monétaires dynamiques, sans doute même plus encore. Pour exemple, mon PEA est à 2/3 liquide et j'attends patiemment sans songer seulement à être rémunéré par des fonds monétaires éligibles.
Concernant les placements de Tristus Dolor, sans néanmoins avoir les mêmes (pour cause d'horizons et d'objectifs de placement différents), je suis convaincu que ses choix sont parmi les meilleurs, soit:
-grosses capitalisations
-CA essentiellement en euros et concentrés sur l'Europe
-Marges élevées
-PER faibles
-pas d'internationnal, pas de devises étrangères, peu exportatrice.
-dividendes préférentiellement importants
Je rajouterai un point: faible croissance recommandée. Pourquoi> Justement parce que ce sont ces mêmes sociétés qui ont des valorisations modérées et que pour les autres la croissance a été survalorisée en terme de PER.
Je pense, à l'instar de Tristus Dolor, que ce genre d'actions passeront bien mieux la crise actuelle (que je suppose durable) et jouiront d'une prime de sûreté dans l'avenir qui permettra, quand les autres auront bien baissé, de saisir des opportunités en matière de valeurs de croissance à des prix dépréciés par arbitrage avec les plus-values des premières.
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Graham
Avis contrariant
» je suis convaincu que ses choix sont parmi les meilleurs, soit:
» -grosses capitalisations
» -CA essentiellement en euros et concentrés sur l'Europe
» -Marges élevées
» -PER faibles
» -pas d'internationnal, pas de devises étrangères, peu exportatrice.
» -dividendes préférentiellement importants.
Investir Hebdo (Investir-1766_p26-27) ne semble pas de ton avis ou bien ils sont vraiment trop en avance! :
"Jouer les valeurs $ pour anticiper un rebond du billet vert"
avec leur 5 choix de sociétés:
CGG (GA) expostion du CA au $: 98% / PER 2008: 19
Dassault Systems (DSY) expostion du CA au $(ou monnaies liées): 41% / PER 2008: 20
EADS (EAD) expostion du CA au $: 88% / PER 2008: 22
ESSILOR (EF) expostion du CA au $: 42% / PER 2008: 21
SPERIAN PROTECTION (DAL ou SPR) expostion du CA au $: 46% / PER 2008: 11
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Extrait:
Jouer les valeurs $ pour anticiper un rebond du billet vert
Un double avantage lié à la conversion et à lexploitation
La baisse du dollar approche peut-être de son terme et le billet vert pourrait redresser la tête au cours des prochains mois.
Parmi les valeurs du SRD, nous avons sélectionné 24 groupes dont le pourcentage de chiffre daffaires réalisé dans le billet vert est supérieur à 40 %.
Cinq nous paraissent particulièrement intéressants à jouer dans la perspective dune reprise du dollar.
Depuis plusieurs semaines, leuro vole de plus-haut en plus-haut face au dollar. Vendredi 9 novembre, il a enregistré un nouveau record à 1,4752$ (début 1995, sa composante la plus forte, le Mark, avait coté 1,37 DM pour 1 $, ce qui correspond à un euro à 1,45 $ et, début 1980, le franc au plus haut a coté moins de 4 francs pour 1 dollar, ce qui correspond à un euro à 1,64 $). Depuis le début de lannée, il progresse de 10 %, ce qui fait grincer des dents les industriels européens. Mais les arbres ne montent pas jusquau ciel et les industriels pourraient avoir leur revanche.
Les rangs des économistes prévoyant une reprise du dollar commencent à grossir. Ils rappellent que le billet vert a entamé son cycle baissier en 2002 et que ce type de mouvement dure habituellement six ans. La valeur théorique de leuro-dollar, fondée sur les pouvoirs dachat, sétablit à environ 1,20 $, et la parité fluctue généralement de + 20% à 20 %. Le plafond se situerait alors à 1,44 $.
Parallèlement, les déficits commerciaux et publics américains se réduisent, ce qui permet une appréciation du dollar.
Enfin, après la crise de liquidité de cet été, la Réserve fédérale américaine a réduit ses taux dintérêt directeurs, mais elle pourrait être moins accommodante dans le futur. « Le consensus du marché pour le dollar est très baissier. Il se base sur des anticipations excessives dassouplissement des taux dintérêt directeurs de la Réserve fédérale américaine (Fed), explique Alain Bokobza, stratégiste à la Société Générale. Le recul du billet vert a déjà dépassé notre prévision de fin dannée de 1,38 $ et il y a une énorme incertitude pour le reste de lannée. Nous sommes moyennement haussiers pour le dollar en 2008. Nous pensons que la croissance américaine va repartir et que la Fed va vraisemblablement changer de politique monétaire. Le billet vert va alors se stabiliser puis se diriger vers 1,30 $ fin 2008. »
Dans cette optique, il pourrait être intéressant de profiter du courant majoritairement vendeur sur les valeurs sensibles au dollar pour se positionner et anticiper une reprise du billet vert. Nous avons sélectionné les groupes du SRD qui réalisent au moins 40 % de leur chiffre daffaires dans cette monnaie. Nous les avons interrogés pour connaître aussi le pourcentage de leur résultat dexploitation facturé dans cette monnaie et limpact dune variation du billet vert sur leur profit. Cinq valeurs nous paraissaient particulièrement intéressantes pour jouer dans une perspective à moyen terme les effets dun rebond du dollar.
Une vaste zone dollar
Le pourcentage de chiffre daffaires réalisé en dollars sexplique par la zone géographique, mais, pour certains secteurs comme les semiconducteurs et le pétrole, les ventes sont libellées dans le billet vert quelle que soit la région. Certains groupes facturent aussi une partie de leur chiffre daffaires en monnaies ayant une parité fixe ou liée au dollar (Chine, Hongkong, Pakistan, Singapour, émirat dAbu Dhabi, Syrie, Egypte, Iran, Qatar, Koweït, Arabie saoudite, Jordanie
), ce qui accroît leur sensibilité aux variations du billet vert. Tous seront avantagés par une hausse du dollar par rapport à leuro, qui améliorera leurs comptes une fois la conversion en euros effectuée. Si ces entreprises ont des coûts en euros ou si le montant de leurs coûts en dollars est inférieur à celui de leurs ventes en dollars, elles bénéficieraient doublement dune appréciation du billet vert grâce à une amélioration de leur marge dexploitation.
En valeur absolue, EADS, avec sa filiale Airbus qui construit ses avions en Europe et les vend en dollars, est particulièrement concerné : une baisse de 0,10 $ de leuro devrait lui faire gagner 1 milliard deuros ! Et lui permettra déconomiser ses couvertures de change à la baisse du dollar.
Néanmoins, les groupes implantés dans une « zone dollar » contractent souvent des dettes dans la monnaie. Cest le seul point négatif : en cas de reprise du billet vert, le montant des dettes sera gonflé (le bilan est converti au taux de clôture et les comptes de résultat au taux moyen).
Solange Maulini
avec la rédaction financière
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attitude de prudence face au danger
Je ne suis pas spécialiste des rapports de change entre monnaies et par conséquent je ne m'estime aucunement compétent pour en parler. Me refusant à toute attitude spéculative, je me contente d'éviter un risque. Un des risques primordiaux actuellement concerne le dollar. Il existe quantité de placements alternatifs intéressants. Je ne vois donc pas pourquoi je serais contraint à opter pour une telle attitude spéculative quand tout m'en dissuade. A ce titre, je remarque:
-que presque toujours les économistes se trompent dans leurs projections.
-que les banques centrales peinent à stabiliser et à régulariser un marché monétaire désormais durablement défaillant
-que W.Buffett mise contre le dollar depuis plusieurs années et continue à le faire actuellement.
Tout cela me conforte dans le choix d'éviter tout ce qui a rapport au dollar actuellement, d'autant que les valorisations actuelles outre atlantique restent élevées alors que les effets de la crise ne sont qu'à leur début et n'ont pas été pleinement réalisés.
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Graham
Comment placez vous vos liquidités?
» Les soubresauts répétés du marché m'ont décidé à mettre 100% liquide mon
» pea.
» J'ai une coquette somme en liquide dessus, un peu plus d'1/2 million
» d'euros.
» p.s. mon pea > 8ans
Bonjour,
amha, il y a deux types de solution.
1-option investissement sur les marchés:Celles préconisées par tristus et graham, bien que très cohérentes, comportent tout de même un risque, en cas de chute violente des marchés suivi d'une panique généralisée, (scenario peu problable au demeurant, mais bon...)bien peu de valeurs ne chuteraient pas lourdement.
2-100% liquide en restant sur le PEA, cela demeure stérile... mais sécurisant
-souscrire des soi-disants "placements liquides" sur le PEA n'existe pas. c'est contraire à la règlementation même du PEA, de tels placements sont dangereux et ne profitent au final qu'aux établissements financiers qui les emettent.
-casser le PEA ou même simplement en sortir partiellement pour un rendement de 2 ou 3%, n'est guère satisfaisant.
il ne reste qu' a innover et négocier une solution avec le teneur du PEA, si cela est possible
par exemple: maintien du PEA liquide
- ensuite contracter un crédit court terme garanti par nantissement du PEA si l'établisssement financier accepte de faire un taux dérisoire (1% l'an maxi par exemple) et enfin - placement du montant de ce crédit en OPCVM monétaire strictes sans droits d'entrée-sortie, ou beaucoup mieux EN CERTIFICAT DE DEPOT. Voila qui peut satisfaire tous les intervenants, mais n'est valable que pour des sommes rondelettes, évidement, et seulement si le différentiel taux réel des certificats de dépot(après frais de banque et prélèvements fiscaux)d'une part - taux du prêt bancaire
d'autre part est significatif.
Comment placez vous vos liquidités?
» Bonjour,
»
» Les soubresauts répétés du marché m'ont décidé à mettre 100% liquide mon
» pea.
» J'ai une coquette somme en liquide dessus, un peu plus d'1/2 million
» d'euros.
» Je n'ai pas besoin de cet argent dans l'immédiat mais je n'ai plus envie
» de prendre de risques, je me contenterai d'1 maigre % sans risque.
» Que me conseilleriez vous>
» Cloturer le pea et mettre sur des livrets à 3%> Peut on faire mieux.
» Ou garder le pea ouvert et mettre les liquidités sur des monétaires> J'ai
» l'impression que c'est assez désastreux, le seul intérêt c'est peut être
» de le garder ouvert pour si jamais l'envie me démangeait de revenir sur le
» marché.
»
» Merci d'avance pour toute réponse, suggestion.
»
» Manu
»
» p.s. mon pea > 8ans
Manu, tout dépend de ton opinion sur les marchés sur le LT (horizon > 2 ans).
Si tu crois comme beaucoup d'intervenants ici que la crise actuelle sera passagère, ne provoquera pas de grosse récession et de marché baissier de longue durée, ne casse pas ton PEA : si tu le peux oriente toi alors vers la solution proposée par robert129.
Si au contraire tu crois dans une crise plus importante et dans l'arrivée prochaine d'un marché baissier de plusieurs années, alors ça vaut le coup de casser le PEA pour investir en placements d'abri, et réouvrir un PEA ensuite :
monétaires strictes, livret, ou pour avoir un peu plus de rendement : OAT à taux variable ou indexées sur l'inflation proches de la maturité, certificats de dépôt...
Un bon produit que je vais étudier dès la cloture de mon PEA en juillet prochain : l'OAT TEC10 (FR0000570673).
par ce que si la crise arrive, les taux courts (et les taux des monétaires ou livrets) vont baisser rapidement (ça a déjà commencé aux US) et devenir très proches de 0.
Perso, mon PEA aura 5 ans en juillet prochain. Je vais alors le casser sans aucune hésitation, et en rouvrir un dans la foulée (pour ne pas perdre de temps sur le nouveau délai de 5 ans).
Tant pis pour les 11% de CSG, de toutes façons il faudra passer à la caisse tôt ou tard.
Objectif : rééquilibrer mon patrimoine avec une part enfin significative hors PEA disponible pour les placements d'abri (au moins les 2/3) et un peu de spéculation baissière, tout en ayant un PEA ouvert sur lequel je reverserai des liquidités quand la situation s'améliorera...
Cette stratégie est logique dans mon cas, j'ai un PEA moins important (40% du tien), et je crois dans une crise profonde et durable (objectif à 3000 sur le DOW et 1700 sur le CAC à horizon de 3-4 ans). Et ne suis pas prêt à courir le risque de perdre tout ce que j'ai gagné depuis 2003 dans un contexte où les déséquilibres se situent à un niveau sans précédent depuis plus de 60 ans.
Les plus-values réalisées sur la période 2003-2006 me permettent de patienter plusieurs années si nécessaire...soit que la crise arrive effectivement, soit que la situation s'améliore et que les risques actuels deviennent moins grands.
Mais de toutes façons j'ai besoin d'y voir plus clair, impossible pour moi d'investir sereinement à LT dans le contexte actuel.
--
Merci à tous
Merci à tous pour vos réponses multiples et variées.
Vous m'avez aidé à progressé dans ma réflexion.
Je souhaite définitivement prendre moins de risque à l'avenir que dans les années précédentes, je m'oriente donc vers un retrait partiel, je garderai ~100KE sur mon PEA ou je me contenterai de garder le PEA de ma femme.
Sinon concernant le marché, je pense que les années qui viennent pourraient être assez difficile boursièrement, j'avais assez mal traversé les années 2000 à 2002. Je pense certes avoir progressé depuis mais je ne suis pas à l'aise dans un marché baissier, j'aime jouer la hausse.
Encore merci pour vos interventions et une bonnes fin de we.
question:
bonsoir:
tu dis que tu vas laisser 100K (liquides)sur ton PEA perso. Mais si je me souviens bien, une fois que tu as fait des retraits, ce qui serait ton cas, tu ne peux plus arbitrer dessus. Ca sert à quoi de garder 100K bloqués(= non arbitrables)>
J'ai mal compris ou quelque chose m'échape.
Si, si
on peut toujours arbitrer.
Si l'on fait un retrait avant 8 ans, le PEA est cassé. Par contre, après 8 ans, on ne peut plus rajouter des liquidités sur le PEA, mais on peut toujours faire des opérations.
Je trouve aussi très dommage de casser un PEA, surtout si les PV sont importantes. Même si l'on prévoit plusieurs années "noires", pourquoi ne pas se contenter d'en sortir une partie, quitte à conserver un montant de liquidités important >
Pierre
Retraits sur PEA
» tu dis que tu vas laisser 100K (liquides)sur ton PEA perso. Mais si je me
» souviens bien, une fois que tu as fait des retraits, ce qui serait ton
» cas, tu ne peux plus arbitrer dessus. Ca sert à quoi de garder 100K
» bloqués(= non arbitrables)>
Tu veux dire quoi par bloqués=non arbitrables> J'ai déjà fait trois retraits sur mon PEA: plus de 8 ans après son ouverture, j'ai retiré le double de ce que j'avais mis à l'origine et il reste dessus encore beaucoup plus. Rien n'est bloqué, tout est arbitrable comme avant les retraits. Je ne comprends pas pourquoi vous voulez casser le PEA. C'est le seul moyen que je connais pour ne payer que 11% d'impôt sur les plus-values quel que soit leur montant...
C'est moi qui dis là:
J'ai mal compris ou quelque chose m'échape.
--
jean-marie
Comment placez vous vos liquidités?
» - le premier est l'âge du titulaire (en tant que placement moyen-long
» terme contineur un PEA au-delà d'un âge 65-70 ans est un non sens, le
» compte à terme rémunéré à 5,5% par an si maintien pendant 5ans est un
» meilleur placement), à moins de 50 ans d'âge d'accord avec ce qui est dit
» ailleurs,
Ah non alors!
Comparer un compte à terme rémunéré à 5.5% (donc imposable) à un PEA, ça c'est un non-sens. Quel que soit l'âge du titulaire, le PEA sera quasiment toujours un meilleur placement qu'un compte à terme.
--
jean-marie
Merci à tous
Bonjour et bon dimanche,
Merci d'avoir posé cette question. Je l'avais moi même posée il y a quelques temps étant dans la même situation que Manu sans avoir le même capital. On constate qu'aucune solution ne se détache clairement. J'ai dépassé les soixante ans et pour certains (Doc) ce n'est plus un âge pour détenir un Pea. Je cherche aussi une solution de repli moins stressante que la bourse au quotidien. Je serai intéressé par la solution que vous aurez prise pour la somme retirée du Pea. Merci.
jk2r22
» Merci à tous pour vos réponses multiples et variées.
» Vous m'avez aidé à progressé dans ma réflexion.
»
» Je souhaite définitivement prendre moins de risque à l'avenir que dans les
» années précédentes, je m'oriente donc vers un retrait partiel, je garderai
» ~100KE sur mon PEA ou je me contenterai de garder le PEA de ma femme.
»
» Sinon concernant le marché, je pense que les années qui viennent
» pourraient être assez difficile boursièrement, j'avais assez mal traversé
» les années 2000 à 2002. Je pense certes avoir progressé depuis mais je ne
» suis pas à l'aise dans un marché baissier, j'aime jouer la hausse.
»
» Encore merci pour vos interventions et une bonnes fin de we.
Retraits sur PEA
j'avoue ne pas comprendre non plus...fermer un pea après 5 ans me parait incompréhensible, à plus forte raison pour en ouvrir un autre et réinitialiser le compteur.
géré finement après 8 ans, le pea fonctionne pratiquement comme un compte courant, avec une fiscalité unique de 11 % et uniquement en cas de retrait. le seul fait de se contenter de ratisser tous les gros coupons qui traînent doit être avantageux.
avec le BX4, on peut assurer le portefeuille sans problème désormais. rien qu'en faisant un mix cash pour les soldissimes/valeur défensives, il est possible de construire un portefeuille très, très robuste.
le fait que le pea entre dans l'actif de l'isf ou les successions n'est même plus un problème avec les mesures sarkosy . plus fort encore : sans retrait et sous certaines conditions, on même faire jouer le bouclier fiscal ! on cherche un volontaire pour le demander avant le 31 décembre...
de mon point de vue la principale faiblesse du pea, c'est quil s'agit une niche tellement avantageuse qu'il faut s'attendre à quelques points de csg en plus ou un plafonnement des avantages fiscaux un jour ou l'autre.
»
» Tu veux dire quoi par bloqués=non arbitrables> J'ai déjà fait trois
» retraits sur mon PEA: plus de 8 ans après son ouverture, j'ai retiré le
» double de ce que j'avais mis à l'origine et il reste dessus encore
» beaucoup plus. Rien n'est bloqué, tout est arbitrable comme avant les
» retraits. Je ne comprends pas pourquoi vous voulez casser le PEA. C'est le
» seul moyen que je connais pour ne payer que 11% d'impôt sur les plus-values
» quel que soit leur montant...
» C'est moi qui dis là:
» J'ai mal compris ou quelque chose m'échape.
Merci PBourdon .
JMP: j'entends par non arbitrables le fait qu'on ne peut plus vendre une valeur pour en ACHETER une autre.
Je croyais que une fois franchi le pas, on ne pouvait que vendre et faire des retraits.
La réponse de PBourdon est claire, on passe à un PEA plus petit, mais pour le reste rien ne change.
Dollar: çà commence à s'agiter!
AFP, le 11/11/07 à 09:52
Face à la chute du dollar, l'idée d'une intervention gagne du poids
La chute incessante du dollar inquiète de plus en plus les marchés, au point que l'idée d'une intervention concertée pour enrayer son déclin gagne du poids, même si ce scénario reste pour l'instant hypothétique.
"La dépréciation du dollar s'accélère, et ce qui jusqu'à présent était une correction ordonnée risque de dégénérer en correction plus violente", estiment Stephen Jen et Charles St-Arnaud de Morgan Stanley.
Si le phénomène devait se poursuivre, les coûts potentiels annuleront rapidement les bénéfices d'un dollar faible. C'est pourquoi "il n'est pas trop tôt pour commencer d'envisager la possibilité d'interventions coordonnées de la part du G7", ajoutent les analystes dans une note.
Selon eux, il faudra encore plusieurs semaines au moins pour que les sept premières économies mondiales trouvent un terrain commun, en dépit de la divergence de leurs intérêts.
Mais il faudra peut-être en arriver là car "au cours des trente dernières années, les interventions coordonnées se sont avérées déterminantes pour infléchir les tendances de fond des grandes monnaies", notent-ils.
Ce qui pourrait accélérer le processus est la rapidité avec laquelle le dollar est en train de perdre de la valeur: il s'est dévalué de 5,4% face à l'euro et de 6,8% face au yen au cours des trois mois finissant en septembre.
La baisse, déjà alimentée par la crise immobilière et financière aux Etats-Unis, s'est nourrie ces derniers jours des déclarations de responsables chinois annonçant une réduction de la part du dollar dans les énormes réserves de changes du pays.
Et les analystes commencent à voir les désavantages d'un dollar faible.
Certes, une monnaie moins forte permet aux Etats-Unis de vendre plus à l'étranger et d'améliorer leur balance commerciale. En septembre, son déficit s'est réduit de 0,6% à 56,5 milliards de dollars.
Mais le dollar faible renchérit les produits importés, et sa vulnérabilité est accrue par l'énormité des réserves de billet vert détenues à l'étranger. Celles-ci "mettent l'économie américaine à la merci des politiques de banques centrales étrangères", note Noble DraKoln de Liverpool Derivatives Group.
Aussi les appels à l'action commencent-ils à apparaître dans les milieux financiers.
"Les Etats-Unis doivent mettre un terme au grand huit des changes", estimait vendredi David Malpass, chef économiste de la banque d'affaires Bear Stearns, dans le Wall Street Journal.
"Il ne serait pas difficile de renforcer le dollar si le Trésor américain imposait la faiblesse du dollar dans les discussions du G7, et si la banque centrale américaine soulignait que c'est une inquiétude", ajoutait-il.
Pour l'instant Washington fait la sourde oreille.
Jeudi, puis vendredi, le secrétaire au Trésor Henry Paulson a réaffirmé son message ambigu soutenant, en apparence, un dollar "fort" quoique "déterminé par les fondamentaux des marchés".
Le président de la banque centrale Ben Bernanke s'était peu auparavant montré confiant sur le dollar, affirmant qu'il allait demeurer la monnaie de réserve "dominante".
Mais à l'étranger les signes d'impatience se multiplient.
En visite à Washington, le président français Nicolas Sarkozy a appelé mardi à un dollar fort, en affirmant qu'"une grande économie doit avoir une grande monnaie". Mercredi c'est le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet qui jugeait "malvenus" les récents mouvements sur les changes.
Les grands argentiers auront sans doute l'occasion d'en parler dès la semaine prochaine, lors de la réunion du G20 (les 20 premières économies mondiales) qui se tient en Afrique du Sud. La faiblesse du billet vert devrait dominer les échanges, a assuré le ministre canadien des Finances Jim Flaherty.
© 2007 AFP
---------------------Mais les banques vont plomber l'ambiance!---------------
AFP, le 11/11/07 à 09:57
Banques américaines: le flot des mauvaises nouvelles s'amplifie
Le secteur bancaire américain a eu droit à un nouveau lot de mauvaises nouvelles cette semaine, avec des révélations en série sur le montant des pertes et des dépréciations rendues nécessaires par la prolongation de la crise sur le marché des instruments financiers complexes.
Quatre grandes banques ont préparé le marché à de nouvelles mauvaises nouvelles, via quelques paragraphes prospectifs glissés dans leurs rapports trimestriels d'activité, qui ont attisé l'extrême nervosité du marché.
Morgan Stanley, JPMorgan, Bank of America et Wachovia ont reconnu qu'elles allaient probablement devoir procéder à de nouvelles dépréciations d'actifs au 4e trimestre, après un 3e trimestre déjà bien douloureux.
Ces révélations surviennent une semaine après la démission des PDG de deux banques prestigieuses, Citigroup et Merrill Lynch, payant le prix d'une stratégie agressive sur les placements à risques qui a conduit à des pertes encore plus lourdes que celles initialement annoncées aux administrateurs.
Dans le détail, Morgan Stanley a prévenu que son bénéfice net serait amputé de 2,5 milliards sur les deux premiers mois du 4e trimestre, à cause de nouvelles dépréciations sur la valeur des titres adossés à des prêts hypothécaires à risques et d'autres produits structurés.
Au 3e trimestre, Morgan Stanley avait déjà déprécié pour 940 millions de dollars, et accusé un recul de 7% de son bénéfice net. Cette baisse avait été jugée relativement modeste par rapport à la chute de 57% des profits de Citigroup ou de la perte nette de 2,4 milliards de dollars de Merrill Lynch.
De son côté, Wachovia a évalué à 1,1 milliard de dollars sur le seul mois d'octobre le coût de la crise financière, et veut passer au 4e trimestre entre 500 et 600 millions de provisions, après 350 millions au 3e trimestre.
Bank of America, qui a déploré une chute de 32% de son bénéfice au 3e trimestre, n'a pas voulu donner de chiffres pour les mois à venir, mais n'a pas caché son pessimisme. "Nous nous attendons à ce que les perturbations du marché des crédits structurés se poursuivent", ce qui "devrait impacter négativement nos résultats au 4e trimestre", a noté la deuxième banque américaine.
JPMorgan, qui s'est était bien tiré au 3e trimestre, a reconnu détenir encore un portefeuille "substantiel" de crédits à risques, avec la somme colossale de 40,6 milliards de dollars - là où d'autres ont avancé plus vite, comme Morgan Stanley qui a réduit son exposition à 6 milliards.
JPMorgan a du coup averti de possibles nouvelles dépréciations - après les 1,3 milliard du 3e trimestre - "si les conditions de marché devaient se dégrader pour cette classe d'actifs".
Ces révélations spontanées des banques surviennent alors que le régulateur boursier SEC avance de son côté dans l'examen des comptes de ces groupes pour évaluer de manière indépendante l'ampleur des dégâts de la crise bancaire.
Merrill Lynch est d'ailleurs la première banque a avoir reconnu officiellement, jeudi, que le gendarme de la bourse enquêtait sur ses comptes.
Selon des estimations récentes du cabinet CreditSights, il faut s'attendre au 4e trimestre à des dépréciations de 9,4 milliards de dollars pour Merrill Lynch, de 5,1 milliards pour Goldman Sachs, de 3,9 milliards pour Lehman, de 3,8 milliards pour Morgan Stanley et de 3,2 milliards pour Bear Stearns.
© 2007 AFP
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Retraits sur PEA Question Tristus
Après mure réflexion je vous rejoins toi et les autres personnes qui ne voit pas de raison de fermer le pea.
A un moment tu dis:
«le fait que le pea entre dans l'actif de l'isf ou les successions n'est même plus un problème avec les mesures sarkosy»
De quelle mesure s'agit il>
Comment placez vous vos liquidités?
Merci à tous
Je pense placer la somme que je vais retirer de mon PEA sur un livret, boursorama banque propose apparemment un livret à 3.5 garanti avec l'argent disponible à tout moment, c'est pas le Pérou mais ça me me parait ok en attendant que j'ai les idées plus claires sur ce que je veux faire, projet immobilier ou retour en bourse.
Si vous avez d'autres plans sympas sans risque pour les liquidités donc hors pea je suis preneur bien sûr.
Superlivret à 6%
Je viens de découvrir une bq luxembourgeoise qui fait du 6% pour un compte ouvert en ligne avant le 30 novembre:
http://www.advanziakonto.com/fr/index.php>f=defrak
"Sur votre Livret Advanzia vous percevrez un taux effectif global annuel (TEG) de 6,00%* avec rémunération mensuelle des intérêts dès le premier euro. Il ny a ni frais de compte ni frais de transaction ni de durée minimum de dépôt. Lintégralité de vos fonds est disponible quotidiennement"
Le Fond de Garantie des dépôts est de 20 000 euros au Luxembourg comme aux Pays-Bas avec IngDirect contre 70 000 euros pour les banques françaises.
Je ne connais pas les conditions de transfert vers un compte à l'étranger, ni les problèmes d'imposition.
Si l'un d'entre vous a un avis.
J'ai pris des obligations Belvédère
à hauteur de 20% de ma trésorerie (de boite) à la suite du message de lacamp sur le forum Taux d'en face:
http://www.boursorama.com/forum/message.phtml>file=363667213&pageForum=3
Le rendement est assez intéressant (au cours actuel de 90.75%, il est proche de 8.5%) et le risque me parait faible si on va jusqu'à l'échéance ou au remboursement anticipé puisque c'est alors le risque de défaillance de Belvédère. Par contre, la possibilité de revente à un cours supérieur au cours d'achat n'est pas assurée (la preuve, j'ai un PRU légèrement supérieur à la valorisation actuelle). La liquidité du placement est assez bonne puisqu'il y a des échanges tous les jours. La fiscalité pour un particulier est à 29% (ou bien 11% + IRPP) sur le coupon et à 27% sur l'éventuelle PV.
Je compte les garder jusqu'à l'échéance ou au remboursement anticipé ce qui n'en fait pas un placement court terme mais plutôt moyen/long terme.
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jean-marie
Comment placez vous vos liquidités?
» Cloturer le pea et mettre sur des livrets à 3%> Peut on faire mieux.
» Ou garder le pea ouvert et mettre les liquidités sur des monétaires> J'ai
» l'impression que c'est assez désastreux, le seul intérêt c'est peut être
» de le garder ouvert pour si jamais l'envie me démangeait de revenir sur le
» marché.
»
» Merci d'avance pour toute réponse, suggestion.
»
» Manu
»
» p.s. mon pea > 8ans
Comme indiqué tout au long de ce fil, c'est bien dommage de casser un PEA, toutefois, on peut toujours faire un retrait partiel (taxation à 11% sur les PV récentes, un peu moins sur les PV anciennes), et continuer le PEA avec le solde dans les mêmes conditions, sauf qu'il ne sera plus possible d'effectuer de versement sur le PEA.
Pour un rémunération des liquidités hors PEA (de qq jours à qq mois), dès lors que le montant est conséquent, la solution optimale sécurité / rendement est le CERTIFICAT DE DEPOT NEGOCIABLE. Absolument liquide, sans risque autre que celui de la défaillance finale de la banque emettrice, fiscalité forfaitaire, rendement brut proche du marché...
Retraits sur PEA Question Tristus
la loi dite TEPA publiée au jo cet été et la loi de finances 2008 comportent des mesures allégeant les droits de succession et l'isf. il devient assez facile d'effacer une grande partie de l'impôt. il est crée par exemple, une déduction de 75 % des investissements réalisés par ak dans les pme non cotée, dans un plafond de 50 000 euros d'investissement. le plafond de la loi correspond à un patrimoine net de l'ordre de 5 meur, cela doit correspondre à ce que rapportent les 6 numéros du loto
» Après mure réflexion je vous rejoins toi et les autres personnes qui ne
» voit pas de raison de fermer le pea.
»
» A un moment tu dis:
»
» «le fait que le pea entre dans l'actif de l'isf ou les successions n'est
» même plus un problème avec les mesures sarkosy»
»
» De quelle mesure s'agit il>
Thx jmp
merci pour l'info. Je vais en prendre une louche aussi