33% de liquidités - je trouve tout trop cher (Securibourse)
par svallene, lundi 08 janvier 2007, 15:26 (il y a 6533 jours)
vous pensez que c'est grave >
25% pour moi.
par ..., lundi 08 janvier 2007, 15:42 (il y a 6533 jours) @ svallene
» vous pensez que c'est grave >
Non. Mais d'autres te diraient le contraire. Je maintiens scrupuleusement 25% de liquidités depuis 12 mois, ce qui implique des arbitrages dans cette borne.
Je ne dirai pas que tout est "trop" cher. Le marché étant toujours à son prix à l'instant 'T'... Il est vrai néanmoins que c'est toujours difficile de revenir à l'achat sur une ligne que l'on a vendu plus bas.
Exemple... J'ai vendu il y a un an AGF à 94.5 avec une plus-value de 180%. Aujourd'hui, j'aurai du mal à en racheter à 121 !! (ça tombe bien, je n'en ai pas l'intention )
Je crois cependant que les meilleures opportunités sont sur les smalls, dont certaines sont réellement peu 'chères'.
0% pour moi...
par PBourdon , Levallois, lundi 08 janvier 2007, 16:37 (il y a 6533 jours) @ svallene
Mais je compte bien les augmenter prochainement.
Une idée à CT : Plastivaloire commence enfin à monter et vient de dépasser les plus hauts de 2006 (plus haut du jour à 23.75, plus haut 2006 à 23.70, à l'instant, il y a un ordre de près de 5000 titres en vente à 23.60).
Le CA 2006 était en hausse de +13.6%, les résultats seront annoncés le 23 janvier et il y avait le commentaire suivant dans le communiqué de publication du CA :
"La croissance devrait permettre une forte amélioration du résultat opérationnel par rapport à lexercice dernier".
Avec la baisse du prix du pétrole, j'espère qu'il y a un effet de levier sur les résultats.
Pierre
merci Pierre
par svallene, lundi 08 janvier 2007, 17:10 (il y a 6533 jours) @ PBourdon
c'est vrai que je l'avais notée...
Plastivaloire : les 5000 titres ... achetés ce matin
par PBourdon , Levallois, mardi 09 janvier 2007, 09:23 (il y a 6533 jours) @ svallene
... en un seul ordre. Pas par moi !
Pierre
J'avais un peu plus de 1% de liquidités
par jmp , Boulogne/Mer, mardi 09 janvier 2007, 16:15 (il y a 6532 jours) @ PBourdon
J'en ai joué la moitié sur PVL!
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jean-marie
Euh, les 0,5% de liquidités ...
par PBourdon , Levallois, mardi 09 janvier 2007, 19:16 (il y a 6532 jours) @ jmp
c'est pour la première ligne de 5000 titres, les 2 lignes de 5000 ou la quasi-totalité des 17000 du jour > En tout cas, merci ! tu nous as propulsé le cours au plus haut depuis 1 an et avec un beau volume.
J'espère qu'après une éventuelle petite consolidation, on va repartir vers des cours nettement plus hauts.
Pierre
J'en ai pris beaucoup moins que ça!
par jmp , Boulogne/Mer, mardi 09 janvier 2007, 19:30 (il y a 6532 jours) @ PBourdon
Mon PEA n'est pas encore à 7 chiffres mais si j'arrive à maintenir les retraits en dessous des gains, tous les espoirs sont permis. C'est à mon retour au bureau en début d'après-midi, quand j'ai vu qu'une ligne de 3000 était partie en plus de celle de 5000 que tu avais signalée, que je me suis dit que ça devait être un coup à jouer. Je suis de toute façon incapable de garder des liquidités.
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jean-marie
Une autre idée : COHERIS
par Villas / Minos, lundi 08 janvier 2007, 21:22 (il y a 6533 jours) @ PBourdon
Bonjour et bonne année à tous
Cela fait longtemps que je ne suis pas intervenu mais comme RV j'ai pris du "recul". Mon objectif 2006 était d'améliorer mon rapport PV/temps passé. J'ai fini à 18.5 %, plutôt en dessous de mes résultats depuis 2002, date à laquelle j'ai appris la bourse à l'école rendementeuse de RV/Ramibourse et assuré plus de 20 % annuel depuis... Malgré mes envies, je n'ai jamais pris le temps de me mettre réellement à l'AF et donc me fait mes idées en surfant sur les forums + "analyse" des journaleux et autes.
Bon, bref. Depuis l'automne, je me constitue mon portif 2007, sachant que je pense larguer pas mal de choses en mai pour "go away" en attendant une consolidation CAC. Je me focalise un peu sur les actions ayant fortement baissé sans raison apparente (dans mes lectures). CFF en octobre à 24.1, Finuchem à 16.5 en octobre, PDJ à 70 en décembre, ITS à 5.10 en décembre (en espérant refaire le coup du printemps 2006 Pierre, du PVL à 21.50 en novembre, Esker à 5.5 en septembre... (bon j'ai aussi quelques taules que je garde car j'y crois toujours: ACAN à 4.1 (5 % de rendement en attendant); AURS à 23,5 (6 % de rdt en attendant reprise de croissance avec relais allemand et anglais; CV à 2.1 en attendant jackpot >)
Bon bref, j'ai acheté Coheris ce matin à l'open. Pourquoi > Parce qu'elle réponds à qq critères basiques qui m'ont bien réussi depuis l'automne :
- baisse de 12 % depuis début novembre
- assez liquide
- ratios pas délirant (PER +/- 16; CB/CA < 0)
- perspectives bonnes et avis convergents des journaleux (cf dessous)
- dans les valeurs appréciées par certains forumistes
Cf ci-dessous les avis. Désolé mais je n'ai pas mes propres calculs. Mais bon, c'est juste une idée...
A +
PS : RV, cela m'a fait plaisir de te relire !!
Vu par Investir en novembre
par Villas / Minos, lundi 08 janvier 2007, 21:23 (il y a 6533 jours) @ Villas / Minos
Achat, Objectif 8.5 euros
CONFIANCE POUR 2006
Le chiffre d'affaires à 9 mois de Coheris a progressé globalement dans la lignée du premier semestre. L'éditeur de logiciels se montre confiant pour l'ensemble de l'année.
Le chiffre d'affaires de Coheris a progressé de 21% à 23,67 millions d'euros au terme des neuf premiers mois de l'exercice 2006. Hors activités cédées, les facturations sont même en hausse de 37%, à 22,67 millions (+13% en organique). L'activité d'édition de logiciels monte de 59% à 16,25 millions d'euros, tandis qu'elle augmente de 2% à 6,42 millions dans les services. Les agences de Strasbourg, Rennes et Aix ont ainsi été cédées au cours du premier semestre de l'exercice rappelle l'éditeur de logiciels dans son communiqué.
Le groupe se montre optimiste pour les prochains mois. Il table sur une activité du quatrième trimestre extrêmement soutenue, tandis que les " perspectives annuelles s'annoncent dans la lignée des excellents résultats du premier semestre, tant sur le plan de la croissance que de la marge opérationnelle ".
Pour les six premiers mois de l'année, le résultat opérationnel courant était ressorti à 0,97 million, en croissance de 73%. La marge s'était ainsi élevée à 5,7% contre 4,2% un an plus tôt. Le résultat opérationnel a progressé de 89% à 1,17 million et le résultat net part du groupe augmenté de 52% à 0,76 million. Le chiffre d'affaires avait crû de 39% hors activités cédées.
La publication du jour recèle assez peu de surprises mais permet de rassurer sur les perspectives de l'année. La valeur n'est pas donnée (18 fois nos estimations 2007) mais on peut encore se renforcer (6,90 euros en clôture), avec un objectif de 8,5 euros.
Vu par JDF en octobre
par Villas / Minos, lundi 08 janvier 2007, 21:25 (il y a 6533 jours) @ Villas / Minos
LE JOURNAL DES FINANCES- N°6204-27/10/2006- PAGE22
Valeur de la semaine
LA BOURSE N'INTEGRE PAS LE NOUVEAU STATUT DU GROUPE
L'avenir de Coheris se joue en Inde
par AUDREY TONNELIER
Coheris a réussi avec succès ce que de nombreuses sociétés de services informatiques n'ont pas eu le courage de faire au début des années 2000, au moment de l'éclatement de la bulle sur les valeurs technologiques : les dirigeants se sont remis en cause et n'ont pas hésité à se lancer dans une activité entièrement nouvelle. Le parcours boursier de Coheris, aujourd'hui largement reconverti dans l'édition de logiciels, est à l'image du rebond de la société. Après avoir été mis à rude épreuve au début des années 2000, le cours a plus que doublé en trois ans. Malgré ces belles performances, le dossier conserve encore, selon nous, un potentiel d'appréciation significatif.
Créé en 1994 autour d'activités traditionnelles de services informatiques, Coheris a progressivement fait de l'édition de logiciels de gestion de la relation clients (customer relationship management, ou CRM) son coeur de métier, qui représente désormais 70 % de ses revenus, contre 15 % au moment de l'introduction en Bourse, en 1999. Ses produits, vendus à de plus de 700 entreprises dans le monde, permettent aussi bien d'optimiser la gestion des forces de vente, que les services clients, de marketing ou des centres d'appels. Cette activité d'édition de logiciels présente l'avantage d'offrir des marges très confortables une fois que le point mort est atteint et de proposer des services associés à des prix deux fois plus élevés en moyenne que les prestations généralistes d'une SSII. Pour cela, Coheris a racheté fin 2004 l'éditeur Harry Software (4,2 millions d'euros de ventes), avant de prendre le contrôle, en janvier, de FDV Concept (7,4 millions d'euros). Objectif : intégrer les logiciels des sociétés cibles à ceux de Coheris, afin d'enrichir l'offre du groupe.
Un objectif de 10 % de marge opérationnelle courante
Jusqu'à présent, cette stratégie a tenu ses promesses : la marge opérationnelle de Coheris est passée de 2,1 % en 2004, à 5,7 % l'an dernier, tandis que le résultat net a quadruplé. Pour 2006, les dirigeants prévoient une hausse de 50 % à 100 % du résultat opérationnel, soit une rentabilité de plus de 7 %. Ils ne comptent pas s'arrêter là : « A terme, nous visons une marge opérationnelle de 10 %, dont plus de 15 % pour les licences logicielles », indique Jean-Pierre Créput, président du groupe.
En revanche, le changement de profil de Coheris a freiné son développement. La cession d'activités de services non liées aux logiciels a engendré un recul du chiffre d'affaires, qui est retombé à 26,7 millions d'euros l'an dernier, contre 29 millions en 2002. Mais cette tendance est en train de s'inverser : au premier semestre 2006, les activités de services informatiques traditionnels ont progressé de 1 %. Elles se sont stabilisées autour de 30 % des ventes de Coheris et ne devraient plus décroître. « Nous comptons conserver nos deux centres de services de Paris et Lyon, qui offrent une bonne rentabilité et présentent des synergies avec nos activités d'édition », détaille Jean-Pierre Créput. Au total, la croissance interne de Coheris a atteint 10 % au premier semestre 2006, et même 15 % dans les activités d'édition de logiciels. « La hausse devrait s'accélérer sur la seconde moitié de l'exercice, notamment pour les licences logicielles, qui ont subi un décalage du premier au second semestre », expliquent les dirigeants.
Le marché des logiciels de gestion de relation clients est arrivé à maturité, mais Coheris dispose dans son secteur de plusieurs relais de croissance très prometteurs. D'abord, d'ici l'année prochaine, le groupe compte achever la fusion de ses trois lignes de logiciels, afin de proposer à ses clients une seule « suite » intégrée. De plus, au 30 juin, le groupe disposait d'une trésorerie nette de 5,25 millions d'euros, représentent 34 % des fonds propres. De quoi envisager de nouvelles opérations de croissance externe. Coheris cherche aussi à se renforcer auprès des entreprises de taille moyenne : leur taux d'équipement en logiciels de CRM reste inférieur à celui des grands comptes, et elles constituent des clients potentiels plus délicats à conquérir pour les géants du secteur, comme l'allemand SAP et l'américain Siebel. L'arrivée du conglomérat indien B.C. Jindal au capital de Coheris (lire ci-dessous) pourrait en outre faciliter l'expansion internationale de la société, qui réalise toujours 75 % de ses ventes en France.
L'éditeur présente surtout un profil plus défensif qu'il n'y paraît : les contrats de maintenance représentent plus de 20 % du chiffre d'affaires et leur dynamique de croissance soutenue (10 % attendus cette année) confère une bonne visibilité au groupe.
Un dividende en augmentation de 50 % par an
Cerise sur le gâteau, Coheris n'oublie pas ses actionnaires. Le dividende a augmenté de 60 % au titre de 2004 et de 50 % au titre de 2005, pour atteindre 12 centimes d'euro. « La hausse devrait se poursuivre dans les mêmes proportions cette année », annonce Jean-Pierre Créput. De quoi tabler pour 2006 sur un coupon d'au moins 17 centimes, qui confère au titre un rendement de 2,6 %.
Au cours actuel, la valorisation de Coheris ne nous semble pas prendre en compte les perspectives de croissance et d'appréciation des marges. Le titre se négocie 18,6 fois notre estimation de résultat net annuel (2 millions d'euros) et 0,9 fois les ventes. Ces multiples, élevés pour une SSII classique, sont inférieurs à ceux des éditeurs de logiciels, couramment valorisés de une à deux fois les revenus. Surtout, ils n'intègrent pas l'arrivée de B.C. Jindal au capital, qui augure peut-être d'un prochain changement de contrôle.
A très court terme, le titre a rebondi sur le support des 6,2 euros (touché la dernière fois à la fin du mois de septembre). Le premier objectif de ce rebond est situé à 7,3 euros. Au-dessus de ce point, le rebond s'étendrait aux 7,9 euros, niveau au-dessus duquel le titre afficherait de nouveaux records annuels. On attendra le franchissement net des 6,6 euros pour redevenir positifs à moyen terme sur l'action. Cette zone des 6,6 euros correspond au point de passage des moyennes mobiles à 50 et 150 jours.
L'arrivée de B.C. Jindal au capital relance l'attrait spéculatif du dossier
Intervenue au début de la trêve estivale, l'entré de l'indien B.C. Jindal dans le capital de Coheris est presque passée inaperçue. Il est vrai que ce groupe, dont le chiffre d'affaires n'excède pas 350 millions d'euros, n'a pas la même notoriété que Mittal Steel, qui s'est emparé du contrôle d'Arcelor cet été. Du reste, le conglomérat indien a pris un ticket de moins de 8 millions d'euros dans l'éditeur français, un montant modeste au regard des gigantesques sommes investies en Europe par ses illustres compatriotes.
En annonçant le 30 juin avoir racheté aux dirigeants de Coheris 15,5 % du capital, puis en s'appropriant 6 % supplémentaires sur le marché durant l'été, l'indien B.C. Jindal s'est malgré tout donné les moyens d'influer la stratégie de Coheris. Deux de ses dirigeants doivent d'ailleurs être nommés au conseil d'administration de l'éditeur début novembre. Présent dans la sidérurgie, la photographie ou les films d'emballage, Jindal ne possédait pourtant aucune activité informatique. En rachetant les titres des fondateurs au prix de 7 euros par action, les dirigeants du groupe indien ont donné un signal fort au marché. Des projets communs ont d'ores et été annoncés : Coheris devrait progressivement commercialiser ses produits en Inde et y réaliser une partie de sa recherche-développement. Un moyen de profiter du fort taux de croissance et des salaires encore bas sur le sous-continent.
Pour Jean-Pierre Créput, âgé de 65 ans, c'est l'occasion de préparer son départ. Dans un premier temps, le dirigeant a annoncé vouloir rester en place « deux à trois ans ». Mais il s'agit d'un accord de principe entre les deux parties, de sorte que la transition pourrait être plus courte. Pour l'heure, les représentants du groupe Jindal ont annoncé qu'ils ne souhaitaient pas monter à plus de 33 % du capital, seuil de déclenchement obligatoire d'une OPA. Mais, là encore, rien n'est figé. Les dirigeants de Coheris ont indiqué que le groupe indien voyait en eux « la tête de pont de ses futures activités dans le secteur informatique en Europe ». De quoi laisser penser que l'évolution du tour de table n'est pas terminée...
NOTRE CONSEIL
ACHAT SPECULATIF
Pour jouer la transition réussie vers l'édition de logiciels et l'arrivée d'un nouvel actionnaire de référence. Notre objectif de cours ressort à 8 euros (code : COH ; Comp. C).
Vu par la VF en octobre
par Villas / Minos, lundi 08 janvier 2007, 21:28 (il y a 6533 jours) @ Villas / Minos
VF: Acheter sous 7 euros... mais j'ai pas l'article...
SGAM franchit les 5 % du capital
par terps, lundi 15 janvier 2007, 11:17 (il y a 6526 jours) @ Villas / Minos