j ai certainement fait une betise mais.

a mon avis le petrole n a pas fini de baisser.

la peuve l opep a decider de diminuer sa production de 1.2 mil de barils.

l opep n a jamais ete capable de peser sur les cours du petrole .

la preuve : son cours a progressé tant que l opep a augmenté sa prod .

pour moi vk aura du mal a tenir sa marge plus de 12 mois.

de toute facon je suis incapable de gagner de l argent avec cette valeur!!!!

j espere pour mareva et janno1 que je me trompe.

ce soir:
Nymex-Le brut US finit en recul de 1,60 dollars à 56,90 le baril

NEW YORK, 20 octobre (Reuters) - Les futures sur le pétrole brut américain sont tombés vendredi à leur plus bas niveau de l'année et ont fini à 56,90 dollars, traduisant le scepticisme du marché quant à l'efficacité de la réduction de la production de l'Opep.

Le contrat novembre a cédé 1,60 dollars à 56,90 sur le Nymex.

L'Opep a annoncé jeudi une réduction de sa production de 1,2 million de barils par jour mais nombre d'analystes doutent de la mise en oeuvre effective

1) je n'ai jamais réussi à faire un bon coup dessus. Arrivé trop tard sur le dossier et pris toujours à l'envers
2) et surtout, même si la visibilité sur la croissance de l'activité semble très bonne, on peut se demander si la marge nette n'a pas atteint un point culminant (18% de mémoire, ce qui est énorme).

mon premier achat en 2005 à 41.32
le plus cher à 198.60
le dernier à 176.50
PRU 91.78

--
mareva

Pardonnez pour la longueur...

Avant toute chose, je réitère ce que j’avais dit il y a quelques temps de cela, je préfère attendre les résultats du 25/10 sur le CA du 3ème trimestre, mais surtout avoir un point complet de la situation actuelle par Pierre Verluca. Les conséquences de cette baisse importante du cours de pétrole sur la société et les perspectives à venir.

Je pense qu’il faut dissocier le cours et moyen terme avec le long terme.

A court terme, et pour le cours du baril on voit bien la saisonnabilitée de la demande, donc des prix. Les vacances sont terminées, l’hiver n’est pas encore là, il n’y a pas eu d’ouragan dévastateur, même si au niveau géopolitique ce n’est pas fameux, ce n’est pas non plus catastrophique : c’est donc tout naturel que les cours baissent (même fortement). Il faut donc se poser la question : pourquoi c’est monté aussi fort, comme aujourd’hui pourquoi cela baisse autant. Ce n’est que de la spéculation !

J’ai écouté Philippe Chalmain, (Professeur d’Economie à Paris Dauphine), sur BFM vendredi vers les 17h20. Je partage tout à fait son avis : il dit un peu la même chose. Il précise que l’Opep ayant bien évidemment profité de cette belle hausse, n’a pas envie de voir les cours trop baisser ; cela se comprend : mettez vous à leur place…

C’est vrai que les cours peuvent encore baisser, et par conséquence faire plier un peu le cours de Vallourec, mais je ne pense pas que cela dure encore longtemps. Je pense aux consommateurs, que pensez-vous qu’ils fassent. Ils vont, à mon avis, profiter de la baisse actuelle pour faire leur plein de fiel. Ils ne vont certainement pas attendre le début de l’hiver ou le début des grands froids pour s’approvisionner. C’est pourquoi je pense à des réserves (américaines) moins fortes que prévues lors de la prochaine publication et par voie de conséquence faire remonter le cours du baril et des valeurs associées.

Autre point de conséquence qui me paraît aussi intéressant est que la baisse des cours fait du bien à l’économie mondiale. Même si ponctuellement cela pèse sur le cours de bourse de Vallourec, cela peut lui apporter certains avantages que l’on ne pense pas à toute première vue. En effet, cela peut apporter à Vallourec des contrats par des sociétés qui peuvent de nouveau investir grâce à cette économie substantielle, où investir davantage…

Juste une petite parenthèse :
En navigant un peu, je suis tombé sur cet article qui a attiré un peu mon attention !

EDF veut prolonger la durée de vie de ses centrales nucléaires

http://www.capital.fr/Actualite/Default.asp>source=RE&numero=140500&Cat=SOI

PARIS (Reuters) - EDF (EDF) annonce qu'il se fixe comme objectif d'allonger la durée de vie de ses centrales nucléaires, actuellement limitée à 40 ans par la réglementation française.
Selon des documents destinés à une présentation faite aux analystes, l'électricien indique que cet allongement est "techniquement possible, notamment pour les éléments considérés comme remplaçables (cuve du réacteur, enceintes de confinement)".
EDF (EDF) fait valoir en outre que début octobre, 44 licences d'exploitation de réacteurs nucléaires jusqu'à 60 ans ont été accordées aux Etats-Unis.
Mais il souligne que la réglementation française est différente, la décision incombant à l'Agence de sûreté nucléaire.
Le parc de 58 réacteurs nucléaires d'EDF (EDF) à un âge moyen de 20 ans, soit le plus bas au monde.

J’ai contacté le Directeur de la communication de Vallourec, M. Henri Redig, (Secrétaire Général, Communication Externe et Relations Investisseurs), afin de savoir si Vallourec pourrait être concerné par ce genre d'entretien.

Il m’a très gentiment répondu, et je me permets de transcrire ce qu’il m’a envoyé :

Nous sommes effectivement concernés par l'entretien des centrales nucléaires françaises, mais aussi à l'étranger, aussi par la construction des centrales nouvelles, notamment l'EPR français qui sera construit à Flamanville. Cela étant le nucléaire ne présente qu'une petite partie de nos activités dans l'énergie qui présentent toutes actuellement des perspectives intéressantes.

Cordialement,
Henri Redig

C’est une activité de plus pour Vallourec, c’est toujours intéressant d’avoir cette confirmation. L’Etat français n’a pas l’argent pour reconstruire son parc de Centrale Nucléaire, mais c’est bien de savoir que Vallourec sera présent pour son entretien (le coût y sera énorme à n’en pas douter).

C’est vrai, je suis un peu hors sujet vis-à-vis du pétrole, revenons-y en évoquant maintenant le long terme ou je reste très positif sur la valeur.

Il y a de moins en moins de pétrole, c’est une évidence : tout le monde le dit (experts, scientifiques, même les plus pessimistes). Le tout est de savoir à quel moment sera le « pic oil ».

Quand je dis qu'il y a de moins en moins de pétrole : c’est vrai mais c’est également un peu faux aussi. Il y en a encore beaucoup, mais il faut aller le chercher ce pétrole et il faut le piocher de plus en plus profond.
C’est aussi du « toujours plus » L’inde et la Chine ne vont pas s’arrêter de consommer du jour au lendemain.

C’est pourquoi, et pour conclure je reste très favorable à cette valeur.
Etre long terme ne veut pas toujours dire « c’est du cours terme qui à mal tourné ». C’est une formule que tu avais soulevé une fois Pasca711, il me semble… et c’est aussi une formule que je partage tout à fait, cela dépend du contexte.

Cela fait un peu plus d’un an que j’ai investi sur Vallourec, et me suis renforcé à plusieurs reprises. J’ai un PRU de 91.38 (je te bat Maréva !!! ) Vallourec représente 54.59 % de mon portefeuille à ce jour.

Je vais me mouiller un peu… j’aurais préféré attendre le 25, mais bon… en espérant avoir des bonnes nouvelles je pense qu’elle n’a pas fini de grimper.
Faire du 100% (soit doubler) chaque année c’est peut-être un peu présomptueux, mais pourquoi pas ! Cela dépendra uniquement des investissements réalisés. Si ceux-ci sont à la hauteur du type OMSCO, il n’y aura aucun souci à se faire.

Actuellement, Vallourec n’est pas endettée bien au contraire, au 30 juin elle avait 57,7 M€ de trésorerie nette fin juin 2006. La situation est donc idéale en ce moment, le petit cochon se remplit pour faire une belle et grande opération : c’est à suivre…
N’oublions pas l’investissement effectué en Chine, par une nouvelle usine qui devrait ouvrir ses portes en mai 2007.

Donc, je reste confiant : mais il est vrai que je préfère attendre le 25 pour vraiment me prononcer. Il sera peut-être bon de vendre à ce moment là si les résultats sont mauvais et se replacer le moment venu (après une baisse un peu plus conséquente). Tu as peut-être eu raison Pasca d’avoir vendu ce vendredi au vue de la baisse du prix du baril. Il est presque sûr d’avoir une baisse ce lundi qui va suivre.
On verra bien !!

De toute manière cela ne change rien à ce que je pense de cette valeur, de cette société et de l’excellent management qui le compose.

A très bientôt.

VALLOUREC CROISSANCE DANS LES TUYAUX VIE FINANCIERE 20/10
Qui aurait pu penser que des tubes en acier sans soudure feraient un jour rêver des investisseurs> Pourtant Vallourec est l'une des plus grandes sucess stories boursières de ces dernières années avec une multiplication par 12 du cours de l'action en 2 ans.

UNE SUCCESS STORY

Cette réussite doit beaucoup à Vincent BOLLORE. Le raider breton qui a détenu jusqu'à 26% du capital du n°2 mondial des tubes sans soudure a en effet été l'artisan d'une étape majeure dans la vie de la société : le rachat début 2005 du solde du capital de sa filiale VM Tubes. Intérêt de cette opération: intégrer la totalité des bénéfices dégagés par la vache à lait du groupe ce qui a dopé les résultats. En 2005 le bénéfice net de Vallourec a ainsi été multiplié par plus de 3. Et les analystes tablent sur un nouveau doublement cette année.

Ces performances financières s'expliquent aussi par son positionnement. Avec l'argentin Tenaris et le japonais Sumitomo VALLOUREC domine 60%du marché des produits haut de gamme pour le pétrole un segment en plein essor.

AUX PORTES DU CAC 40

L'entreprise profite également d'une conjoncture extrêmement favorable dans son principal débouché l'énergie. Enfin la société dont les produits sont massivement utilisés dans la mécanique et l'industrie chimique fabrique en interne la quasi totalité de l'acier consommé et maîtrise ainsi toute la chaîne de production. Si la concurrence des pays émergents représente un risque à terme pour l'instant le groupe en est immunisé grâce à sa présence dans les marchés à plus forte valeur ajoutée. Symbole de ce succès Vallourec dont la capitalisation boursière frôle les 10milliards d'euros, pourraient prochainement entrer dans le saint des saints le CAC 40.

PRINCIPAUX CHIFFRES

2007 6147 M EUROS
N°2 mondial 11% c'est la part de marché mondial du groupe dans l'industrie des tubes sans soudure

RENTABILITE RECORD 30,8% de marge brute d'exploitation dégagée au premier semestre 2006 grâce à une forte demande combinée à une hausse des prix

SOLIDITE DU BILAN 57,7 M EUROS de trésorerie nette fin juin 2006 ce qui permet à VALLOUREC de poursuivre son désendettement , de verser des dividendes et d'investir.

Répartition du capital 84,71% flottant, 5,09% Barclays, 7,5% Bolloré, 2,5% auto contrôle, 0,2% salariés

Répartition CA par zones géographiques

Amérique du Nord Mexique 26,1%, Moyen Orient Asie 25%, Allemagne13,1% , Amérique du Sud10,6%, France 8,1%
Autres pays européens13,9%, Reste du Monde 5,7%

DEBOUCHE PHARE: L' énergie

Pétrole, gaz ou électricité pour toutes ces industries Vallourec fournit toujours plus de tubes sans soudure. A l'heure où la consommation d'énergie ne cesse de progresser ce débouché est naturellement devenu le principal moteur de la croissance de VALLOUREC. Le groupe y réalise 64% de son chiffre d'affaires, contre seulement un tiers en 2000. Au premier semestre 2006 les ventes de cette activité ont bondi de plus de 60%. Et la demande ne montre aucun signe d'essoufflement. Cet environnement favorable a permis à la société de multiplier les hausses de prix ce qui est bénéfiques pour ses marges

Forces et faiblesses

les plus : des débouchés porteurs, une position de leader sur les marchés à plus forte valeur ajoutée, large flottant donnant au titre un caractère spéculatif
les moins : caractère cyclique de l'activité risque de concurrence des pays émergents, exposition au dollar

FREDERIC CAZENAVE
VIE FINANCIERE20/10/2006

Bravo pour la pertinence de l'analyse JanNo 1 ! Je n'ai plus de VK ctuellement mais on va suivre la belle...

tu me renforces dans mon sentiment

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mareva

Sympas !

En attendant, vivement les prochains résultats et commentaires des dirigants. Aussi, j'aime bien cette toute dernière info....

La valeur du jour à Wall Street - HALLIBURTON porté par ses résultats
(AOF) - Halliburton gagne 2,29% à 29,44 dollars, porté par des résultats trimestriels meilleurs que prévu. Si le groupe est présent dans l'ingénierie/construction, il a surtout bénéficié des performances de son activité parapétrolière. Cette dernière profite d'un environnement particulièrement favorable grâce à la hausse des investissements des compagnies pétrolières dans l'exploration/production. Vendredi, son concurrent Schlumberger avait également publié des résultats supérieurs aux prévisions des professionnels.

Au troisième trimestre, Halliburton a affiché un bénéfice au titre des activités poursuivies en progression de 25% à 615 millions de dollars, soit 0,58 dollar par action, dépassant le consensus Thomson Financial de 0,04 dollar. Son chiffre d'affaires a lui augmenté de 19% à 5,8 milliards de dollars, également supérieur aux estimations des analystes de 5,52 milliards de dollars.

Dave Lesar, PDG du groupe a qualifié ce trimestre "d'exceptionnel" soulignant en particulier la performance de la division Services Parapétroliers. Le résultat opérationnel de celle-ci a en effet bondi de 60% à 906 millions de dollars, sur la base d'un chiffre d'affaires en hausse de 31% à 3,4 milliards de dollars. La marge opérationnelle a ainsi atteint le niveau record de 26,7%, soit un gain de 490 points de base par rapport au troisième trimestre 2005. L'activité d'ingénierie/construction, KBR, qui doit être scindée, a enregistré un résultat opérationnel en baisse de 30% à 98 millions de dollars, malgré des ventes en hausse de 4,3% à 2,4 milliards.

Morgan Stanley souligne qu'il s'agit des premiers résultats solides d'Halliburton depuis le deuxième trimestre 2005. En conséquence, l'analyste a relevé son objectif de cours sur la valeur de 39 à 41 dollars, mais a maintenu sa recommandation Pondération en ligne.

(C.J)

A bientôt.