JDF: le sommaire ...
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:31 (il y a 6752 jours)
Air France-KLM
Résultats annuels records pour Air France-KLM (409 mots)
par renaud maridet
ACHAT Le titre Air France-KLM reste injustement décoté par rapport à ceux d'autres compagnies aériennes européennes, notamment British Airways. Nous restons donc acheteurs, avec un objectif de 22 euros (code : AF ; Comp. A, SRD)....
Alstom (Regroupé)
ALSTOM (501 mots)
Roland Laskine
ACHETER ...
Arbel
ARBEL (208 mots)
rester à l'écart dans l'attente du redressement effectif de la structure financière. Une opération de recapitalisation réservée, avec à la clé un impact dilutif sur les résultats, n'est pas à exclure (code : ARB ; Comp. C)....
Arcelor
Les actionnaires d'Arcelor attendent une amélioration de l'offre de Mittal Steel (454 mots)
par ROLAND LASKINE
CONSERVER (code : LOR ; Comp. A, SRD)....
Arkema
Arkema a réussi ses premiers pas en Bourse (557 mots)
par chorere ainejian
ACHETER Nous recommandons d'acheter Arkema en visant un objectif de 36 euros. La société est solide et devrait parvenir à atteindre ses objectifs à moyen terme (code : AKE ; Comp. B)....
Auréa
Cinq valeurs pour jouer la carte de l'éco-industrie (1763 mots)
par joan chemla
AUREA : ACHAT SPECULATIF Le groupe capitalise en Bourse 27 fois les bénéfices 2006, ce qui est élevé. Toutefois, Aurea est une authentique valeur de croissance qui évolue sur un marché offrant une belle visibilité. Nous ré...
Avenir Telecom
AVENIR TELECOM (440 mots)
Fabio Marquetty
ACHAT SPECULATIF ...
Axa
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
BNP Paribas
Les banques affichent une santé insolente (448 mots)
par herrick du halgouet
ACHETER Nous recommandons l'achat des titres Société Générale (code : GLE ; Comp. A, SRD), Crédit Agricole (ACA ; Comp. A, SRD) et BNP Paribas (BNP ; Comp. A, SRD)....
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Boursorama
BOURSORAMA (514 mots)
Herrick du Halgouet
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES...
CAC 40
Le CAC 40 retombe sous les 5.000 points (402 mots)
par AUDREY TONNELIER
Christian Dior
CHRISTIAN DIOR Assemblée générale mixte du 11 mai (500 mots)
Bruno Kus
ACHETER L'activité du groupe reste soutenue depuis le début de cette année, malgré un dollar qui a tendance à s'affaiblir. Les relais de croissance à moyen terme sont nombreux. Objectif de cours maintenu à 99 euros....
CNP Assurances
CNP ASSURANCES (550 mots)
Herrick du Halgouet
ACHAT SUR REPLI ...
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Crédit Agr. du Midi
CREDIT AGRICOLE DU MIDI (571 mots)
Herrick du Halgouet
ACHAT...
Crédit Agricole SA
Les banques affichent une santé insolente (448 mots)
par herrick du halgouet
ACHETER Nous recommandons l'achat des titres Société Générale (code : GLE ; Comp. A, SRD), Crédit Agricole (ACA ; Comp. A, SRD) et BNP Paribas (BNP ; Comp. A, SRD)....
CREDIT AGRICOLE SA Assemblée générale mixte du 17 mai (358 mots)
Herrick du Halgouet
ACHETER La politique de diversification géographique du groupe va être le principal moteur du titre à moyen terme. Objectif de cours maintenu à 37 euros....
Danone
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
JDF: la suite....
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:32 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Deveaux
DEVEAUX (496 mots)
Chorére Ainejian
APPORTER...
EADS N.V
EADS (553 mots)
Christelle Donger
ACHETER ...
Environnement SA
Cinq valeurs pour jouer la carte de l'éco-industrie (1763 mots)
par joan chemla
AUREA : ACHAT SPECULATIF Le groupe capitalise en Bourse 27 fois les bénéfices 2006, ce qui est élevé. Toutefois, Aurea est une authentique valeur de croissance qui évolue sur un marché offrant une belle visibilité. Nous ré...
Eurazéo
EURAZEO Assemblée générale mixte du 12 mai (489 mots)
Jean-Baptiste Froville
RENFORCER Nous attendons une progression d'au moins 20 % de l'ANR cette année. Celui-ci devrait atteindre 115 euros en décembre prochain, niveau correspondant à notre nouvel objectif de cours....
Eurofins Scientific
EUROFINS SCIENTIFIC (510 mots)
Chorére Ainejian
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES...
Euronext N.V.
Euronext privéligie le Nyse face à la Deutsche Börse (1203 mots)
par HERRICK DU HALGOUET
SPECULATIF On pourra revenir sur la valeur à titre spéculatif vers 65 euros (code : NXT ; Eurolist zone euro, SRD), afin de jouer la consolidation du secteur....
Europlasma
Cinq valeurs pour jouer la carte de l'éco-industrie (1763 mots)
par joan chemla
AUREA : ACHAT SPECULATIF Le groupe capitalise en Bourse 27 fois les bénéfices 2006, ce qui est élevé. Toutefois, Aurea est une authentique valeur de croissance qui évolue sur un marché offrant une belle visibilité. Nous ré...
Eurotunnel
EUROTUNNEL (173 mots)
rester à l'écart (code : TNU ; Comp. B). La suspension des cotations semble logique, puisque les comptes 2005 n'ont toujours pas été publiés et que les négociations en cours avec les créanciers n'ont jusqu'ici débouché sur rien de concre...
Gaz de France
GAZ DE FRANCE (141 mots)
la baisse du titre peut être mise à profit pour se repositionner avec un objectif de cours de 33 euros (code : GAZ ; Comp. A, SRD)....
Ginger
GINGER (651 mots)
Frédéric Bériot
ACHETER...
GPE Groupe Pizzorno
Cinq valeurs pour jouer la carte de l'éco-industrie (1763 mots)
par joan chemla
AUREA : ACHAT SPECULATIF Le groupe capitalise en Bourse 27 fois les bénéfices 2006, ce qui est élevé. Toutefois, Aurea est une authentique valeur de croissance qui évolue sur un marché offrant une belle visibilité. Nous ré...
Guerbet SA
GUERBET (409 mots)
Chorére Ainejian
PRISE PARTIELLE DE BENEFICES...
Havas
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Ipsos
IPSOS (551 mots)
Jérome Marmet
ACHETER ...
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Lacroix SA
LACROIX INDUSTRIES (490 mots)
Christelle Donger
ACHETER...
Lafarge
SAINT GOBAIN-LAFARGE (225 mots)
acheter les deux titres avec un objectif de cours de 112 euros sur Lafarge (code : LG ; Comp. A, SRD) et de 67 euros sur Saint-Gobain (SGO ; Comp. A, SRD)....
Laurent-Perrier
LAURENT-PERRIER (416 mots)
J.C.
ACHAT EN BAISSE...
Michelin
MICHELIN Assemblée générale mixte du 12 mai (580 mots)
Jérome Marmet
PROFITER DU REPLI La sanction du marché est excessive, même si 2006 sera une année plus difficile que prévu. Plus que la hausse du prix des matières premières, c'est la dégradation des volumes qui est problématique, pour peu qu'elle se p...
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
NASDAQ COMBINED COMPOSITE
L'inflation fait frémir Wall Street (296 mots)
par renaud maridet
Natexis Bque Pop.
NATEXIS BANQUES POPULAIRES (138 mots)
revenir sur le titre (code : KN ; Comp. A, SRD) sur léger repli vers 178 euros pour jouer la bonne tenue des activités de marché....
Nexans
NEXANS Assemblée générale mixte du 15 mai (455 mots)
Delphine Deshayes
ACHETER Nous restons très favorables à la valeur, avec un objectif de cours de 85 euros....
Piscines Desjoyaux
PISCINES DESJOYAUX (493 mots)
Fabio Marquetty
PRISE DE BENEFICES AU-DESSUS DE 87 EUROS...
JDF: la suite bis
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:33 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Plastiques Val-de-Loire
PLASTIQUES DU VAL DE LOIRE (131 mots)
achat spéculatif pour jouer le redressement des résultats. La société est modérément valorisée en Bourse. Notre objectif de cours est maintenu à 26 euros (code : PVL ; Comp. C)....
Rhodia
Rhodia se donne les moyens de renouer durablement avec les profits (1812 mots)
par CHORERE AINEJIAN
ACHAT SPECULATIF Nous sommes repassés à l'achat spéculatif sur la valeur au cours de 2 euros en février dernier pour jouer le redressement du titre et le potentiel lié à la commercialisation des crédits d'émission de gaz à effet d...
Rodriguez Group
RODRIGUEZ GROUP (534 mots)
Fabio Marquetty
ACHAT ...
Rubis
RUBIS (480 mots)
J.C.
ACHAT...
Saint-Gobain
SAINT GOBAIN-LAFARGE (225 mots)
acheter les deux titres avec un objectif de cours de 112 euros sur Lafarge (code : LG ; Comp. A, SRD) et de 67 euros sur Saint-Gobain (SGO ; Comp. A, SRD)....
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Sairp Composites
SAIRP COMPOSITES (544 mots)
Jérome Marmet
RENFORCER...
Schneider Electric
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
Scor
SCOR (235 mots)
nous maintenons nos prévisions en l'état. La société capitalise environ 10 fois nos estimations de profits pour 2007, ce qui est raisonnable. Visez un objectif de cours de 2,40 euros à dix-huit mois (code : SCO ; Comp. A, SRD)....
SEB
SEB Assemblée générale mixte du 11 mai (505 mots)
Delphine Deshayes
ACHAT Acheter le titre sous 91,3 euros, avec un objectif de cours de 105 euros....
SII
SII (616 mots)
A.T.
PRISE DE BENEFICES...
SIIC de Paris
SIIC DE PARIS (161 mots)
vendre (code : IMMP ; Comp. B). Le cours de l'action SIIC de Paris s'est mécaniquement placé sur le prix de l'offre de Realia Business, ce qui représente une prime de 30 % par rapport au dernier cours coté avant la suspension de la cotation survenue le 11 mai dernier....
Silic
« Nous recherchons un quatrième pôle de développement » (1486 mots)
Propos recueillis par YANNICK DUVERGÉ
Régulière, très bien gérée et disposant d'une visibilité exceptionnelle sur son activité grâce à une énorme réserve foncière, Silic figure toujours parmi nos valeurs foncières préfér&...
SMTPC (Tunnel du Prado)
SMPTPC (549 mots)
Frédéric Bériot
RENFORCER...
Société Générale
Les banques affichent une santé insolente (448 mots)
par herrick du halgouet
ACHETER Nous recommandons l'achat des titres Société Générale (code : GLE ; Comp. A, SRD), Crédit Agricole (ACA ; Comp. A, SRD) et BNP Paribas (BNP ; Comp. A, SRD)....
Sodexho Alliance
« Nous visons une croissance organique annuelle de 7 % du chiffre d'affaires à partir de 2008 » (1476 mots)
Propos recueillis par fabio marquetty
Nous pensons que le groupe dispose d'une marque suffisamment forte pour s'imposer rapidement comme un opérateur de poids sur le segment du multiservice et dynamiser, ainsi, ses résultats. Nous restons positifs sur la valeur en visant 43,5 euros à dix-huit mois. ...
Soditech Ingénierie
SODITECH (152 mots)
la visibilité reste limitée. Restez à l'écart (code : SEC ; Comp. C)....
Spir Communication
Dix valeurs recommandées par l'analyse graphique (1253 mots)
SR Téléperformance
SR TELE-PERFORMANCE (573 mots)
Jérome Marmet
ACHETER ...
ST Dupont
ST DUPONT (518 mots)
Bruno Kus
RESTER A L'ECART...
Team Partners
Team Partners retrouve une vraie dynamique de croissance et un bilan assaini (1435 mots)
par AUDREY TONNELIER
ACHAT SPECULATIF Nous passons à l'achat sur Team Partners, à titre spéculatif. La stratégie de redressement porte ses fruits et les perspectives d'expansion nous semblent solides. On pourra viser un premier objectif de cours de 1,50 euro &ag...
Technip
TECHNIP (206 mots)
achat spéculatif (code : TEC ; Comp. A, SRD) avec un objectif de cours ramené de 58 à 52 euros. Technip devrait continuer à bénéficier d'un environnement porteur....
Télécom Rés. Services
TELECOM RESEAUX SERVICES (683 mots)
A.T.
PRENDRE SES BENEFICES...
JDF: et la fin !
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:34 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Thales
THALES Assemblée générale mixte du 15 mai (539 mots)
ACHETER Avec un objectif de cours de 45 euros, pour jouer les perspectives d'amélioration des résultats. Le titre conserve un attrait spéculatif. Le Groupe Dassault propose sa participation pour un montant de 400 millions d'euros, valorisant ainsi Thales à pr&egrav...
Thomson
THOMSON Assemblée générale ordinaire du 12 mai (404 mots)
Jean-Baptiste Froville
VENDRE Vendre le titre, sur lequel nous étions revenus à l'achat spéculatif le 27 mars pour jouer une évolution du tour de table. La direction ne nous a pas convaincus et la visibilité est très limitée....
Total
TOTAL Assemblée générale mixte du 12 mai (440 mots)
Delphine Deshayes
ACHETER Au-dessous de 213 euros, avec un objectif de cours de 250 euros....
Valeo
VALEO Assemblée générale mixte du 17 mai (434 mots)
RENFORCER JUSQU'A 32 EUROS Notre objectif à dix-huit mois reste inchangé à 38 euros. Le rendement qu'offre le titre n'est pas négligeable et, en raison de son caractère opéable, Valeo bénéficie d'une dimension spéculative ...
Vivendi
Vivendi se retrouve sous la menace d'un démantèlement (530 mots)
par jerome marmet
RENFORCER A TITRE SPECULATIF En l'état actuel des choses, nous ne croyons pas au projet de démantèlement proposé par Sebastian Holdings, mais il a le mérite de relancer la spéculation sur le titre. La stratégie de création de valeur de l...
interessé par +sieurs valeurs -> Vois ce que tu peux
par eg972, vendredi 19 mai 2006, 10:38 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Avenir télécom
Rhodia
Team partners
Technip
Merci d'avance
Avenir Telecom
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:45 (il y a 6752 jours) @ eg972
AVENIR TELECOM
La société confirme son redressement.
Fabio Marquetty
Si l'on se rapporte aux dernières performances financières d'Avenir Télécom, on peut d'ores et déjà, sans prendre trop de risques, miser sur un exercice 2005/2006 (qui sera clos le 30 juin) de bonne facture. Ce distributeur de produits et services de télécommunications a dégagé un résultat opérationnel en hausse de 48 % (16,5 millions d'euros), pour un chiffre d'affaires de 581 millions d'euros (+ 24 %) sur la période comprise entre le 1er juillet 2005 et le 31 mars 2006. Le dynamisme commercial des activités internationales de la société, notamment en Espagne (+ 80 %) et en Roumanie (+ 70%), couplé à une bonne maîtrise des frais de structure, a permis à la marge opérationnelle de s'apprécier de 0,4 point, à 2,8 % par rapport à l'an passé. Mieux, Avenir Télécom est parvenu à générer un profit opérationnel de 2,1 millions d'euros, au cours du troisième trimestre de l'exercice qui sera clos le 30 juin, après avoir accusé une perte de 0,1 million en 2005.
Comme nous l'avions précédemment souligné, la baisse de 33 % du résultat net ne doit pas être mal interprétée et illustre au contraire un retour à meilleure fortune du distributeur. Ce recul de la rentabilité nette s'explique, en effet, principalement par un gonflement de la charge d'impôt liée à la hausse des résultats, qui a presque quadruplé (8,1 millions d'euros) en l'espace d'un an. Nous pensons que les bénéfices futurs d'Avenir Télécom devraient profiter à la fois de la montée en puissance des magasins ouverts en 2004, et des retombées positives de la stratégie de croissance du groupe en Europe de l'Est. D'autant qu'avec une dette nette représentant 60 % du montant de ses fonds propres le groupe dispose d'une marge de manoeuvre confortable pour financer son développement.
Sur ces bases, nous tablons sur une légère progression (+ 3,9 %) du bénéfice net en 2006, qui devrait ensuite atteindre 27 millions d'euros en 2007. Les perspectives d'Avenir Télécom restant raisonnablement valorisées pour le secteur (l'action se paie 11,8 fois le bénéfice net estimé pour 2007), nous maintenons notre objectif de cours à 4,30 euros.
Code AVT - Comp. B - Continu
Cours au 17/05 3,37
+Bas +Haut sur 1 an 2,45 /3,93
CA 2005(*) 640 M
Capitalisation boursière 311 M
BNPA 2005/06/07(*) 0,20/0,21/0,29
PER 2005/06/07(*) 16,13/15,53/11,50 fois
Dividende net 2005/06(*) Nul/0,05
Rendement net 05/06 nul/1,48 %
Moyenne transactions/jour 563.000 titres
Activité Distrib. télécoms mobiles
Objectif de cours à 18 mois 4,3
Risque élevé. Note de risque : 4
Analyse graphique : Tendance ↓
Supports 3.34-3.27 Résistances 4-4.3
(*) exercice décalé, clôture : 30/06/06
Rhodia (début)
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:47 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
LES RESTRUCTURATIONS DU GROUPE CHIMIQUE SONT DESORMAIS ACHEVEES
Rhodia se donne les moyens de renouer durablement avec les profits
par CHORERE AINEJIAN
Après avoir frôlé la crise de liquidités fin 2003, Rhodia retrouve progressivement le chemin de la rentabilité. Un vaste programme de restructuration, tant au niveau de l'exploitation que de la dette, et plusieurs augmentations de capital ont marqué les exercices 2003 à 2005, qui se sont soldés par une perte nette cumulée de plus de 2,6 milliards d'euros. Désormais, les plus gros chantiers sont achevés. Les cessions d'actifs non stratégiques ou peu rentables, équivalant à plus de 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires, ont été réalisées, et la prochaine échéance de remboursement des emprunts n'interviendra qu'en 2008. Les dirigeants tablent sur un retour aux bénéfices cette année. Avec une conjoncture favorable dans le secteur chimie, sans signe apparent de retournement de cycle, et compte tenu des projets de développement, cet objectif nous semble atteignable. Dès 2007, la vente de droits à polluer offre des perspectives bénéficiaires supplémentaires au groupe. L'action Rhodia est redevenue attrayante, même si le niveau de risque, lié au déséquilibre du bilan, reste élevé.
Peut-on miser aujourd'hui sur Rhodia > Si l'on se fie au passé pour prédire le futur, les chiffres incitent plutôt à la prudence. Les actionnaires des premiers jours, qui auraient misé 1.000 euros lors de l'introduction en Bourse du chimiste, en 1998, ne posséderaient en effet plus aujourd'hui que 71 euros.
Mais, en Bourse, c'est l'avenir qui prime. Dans ces conditions, Rhodia peut présenter un profil attrayant, même si le pari reste hautement spéculatif. Jean-Pierre Clamadieu, directeur général de Rhodia, s'est montré très optimiste quant aux capacités du groupe à atteindre ses objectifs cette année.
Grâce à l'ensemble des mesures prises depuis fin 2003, et notamment l'élimination des foyers de perte, l'excédent brut d'exploitation devrait représenter plus de 13 % du chiffre d'affaires attendu en 2006, soit le double de celui affiché par Arkema, l'ex-filiale de chimie de Total, qui fait son entrée en Bourse cette semaine. Mieux, après cinq années consécutives de perte et un retour au bénéfice opérationnel en 2005, le groupe devrait dégager un profit net. Les résultats du premier trimestre attestent de la bonne orientation de l'exercice. A partir d'un chiffre d'affaires de 1,35 milliard d'euros, en hausse de 9,4 %, l'excédent brut d'exploitation s'est élevé à 184 millions d'euros, portant la marge à 13,6 %, contre 11,7 % à l'issue de l'exercice écoulé. Pourtant, depuis le début de l'année, le prix des matières premières liées au pétrole et au gaz (environ 2 milliards d'euros de budget annuel) utilisées par Rhodia a grimpé d'environ 6 %. Jean-Pierre Clamadieu estime que les hausses de tarifs pratiqués par le groupe au cours du premier trimestre et celles à venir seraient en mesure de compenser cet impact sur l'ensemble de l'année.
En excluant l'effet négatif des dernières cessions opérées, le résultat net est même redevenu positif de 9 millions d'euros au cours du premier trimestre (35 millions de perte en données publiées).
Pour le présent exercice, nous visons un chiffre d'affaires d'environ 5,5 milliards d'euros et un bénéfice de l'ordre de 20 millions, qui est capitalisé plus de 103 fois au cours actuel. Mais, à compter de 2007, grâce aux revenus issus des crédits d'émission de CO2 déjà cédés (voir encadré ci-dessous), Rhodia s'assurera des facturations supplémentaires de 100 millions d'euros, qui se traduiront par presque autant de profits (taxation estimée à 10 %). Les ventes à terme portent, pour le moment, uniquement sur 30 % des crédits pouvant être commercialisés par Rhodia au cours des deux prochains exercices.
Parallèlement, si la société opte pour l'activation de reports déficitaires, ses profits seront sensiblement plus élevés. Dès lors, pour 2007, nous anticipons, en première approche, un profit net de l'ordre de 125 millions d'euros, qui ramène le multiple de capitalisation des bénéfices à un niveau plus raisonnable de 16,6 fois (pour une moyenne de 14 fois dans le secteur).
Rhodia (la suite)
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:48 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Un redressement bien amorcé mais un bilan encore fragile
La remontée des profits est toutefois freinée par une situation financière encore déséquilibrée. Compte tenu d'un endettement net de l'ordre de 2 milliards d'euros et d'un coût moyen proche de 9 %, les frais financiers devraient s'élever à environ 180 millions d'euros cette année. A l'issue de l'exercice, la direction s'est fixé comme priorité de ramener la dette à moins de 2,9 fois l'excédent brut d'exploitation, soit environ 1,8 milliard d'euros, et le rapport devrait tomber à moins de 2,2 fois en 2008.
La société ne devrait vraisemblablement pas être en mesure de dégager un autofinancement libre avant 2007. Toutefois, les prochaines échéances de remboursement sont suffisamment éloignées pour ne pas donner lieu à de nouvelles crises. Rhodia dispose jusqu'en 2008 d'un crédit syndiqué de 300 millions d'euros qui n'a pas été utilisé. Et l'emprunt suivant doit être remboursé à l'horizon 2010-2011. Malgré des capitaux propres négatifs de 700 millions d'euros, une nouvelle augmentation de capital n'est pas envisagée depuis la levée de 604 millions d'euros réalisée en décembre 2005. En tablant sur des cash-flows opérationnels d'environ 200 millions d'euros par an à compter de 2007, on peut miser sur des capitaux propres positifs courant 2009.
En prenant le critère le plus utilisé dans le secteur, c'est-à-dire la valeur d'entreprise (capitalisation boursière + endettement net) ramenée à l'EBE, la valorisation de Rhodia semble plus attrayante. Pour 2006, ce ratio ressort à moins de 6 fois, contre 6,5 fois en moyenne pour la chimie. La poursuite des effets de restructuration et la montée en puissance des activités les plus rentables doivent permettre à la marge d'excédent brut d'exploitation (EBE) d'excéder 15 % en 2008. Sur cette base, la valeur d'entreprise représenterait moins de cinq fois l'EBE.
Au-delà, les perspectives de bénéfices offertes par les crédits d'émission de CO2 constituent un élément de valorisation complémentaire de la société.
Le titre revêt également un attrait spéculatif lié à un possible changement de contrôle de la société. Avec plus des deux tiers du capital entre les mains d'investisseurs institutionnels, Rhodia fait fréquemment l'objet de rumeurs d'OPA. L'allemand BASF est souvent cité comme un prédateur éventuel.
La dépendance aux crédits d'émission de CO2 rend le titre volatil
Dans le cadre du protocole de Kyoto visant à limiter l'émission de gaz à effet de serre, Rhodia aura la possibilité, à partir de 2007, de commercialiser les droits à polluer dont il n'a pas l'utilité. Cette autorisation offre de belles perspectives de bénéfices pour la société, qui a la capacité de vendre 11 à 13 tonnes de crédits (ou CER) par an à compter de 2007, grâce à deux projets de dépollution de sites menés en Corée et au Brésil.
Implicitement, le titre est fortement corrélé à l'évolution du prix des CER. Durant les dernières semaines, la division par deux du cours des CER vers 12 euros a fait chuter l'action Rhodia de plus de 20 %. Et pour cause : les émissions de CO2 de l'Union européenne étaient inférieures aux quotas fixés pour 2005.
Lors de la présentation des résultats du premier trimestre, Jean-Pierre Clamadieu a toutefois précisé que l'intérêt du groupe portait sur la deuxième phase de fixation des quotas (2008 à 2012), qui n'ont pas encore été déterminés et qui pourraient être plus sévères. Si bien que le prix de ces crédits gravitent autour de 20 euros. Afin de bien valoriser ses actifs, Rhodia a vendu à terme 8 millions de tonnes de CER (soit 30 % de ses capacités sur deux années), dont 6,5 millions au prix de 15 euros la tonne. Le produit de ces ventes, de 100 millions d'euros, sera encaissé entre 2007 et 2008 et se concrétiserait par environ 90 millions d'euros de bénéfices. Pour la gestion du solde, Rhodia a créé une société commune à 50/50 avec la Société Générale.
Ces crédits peuvent s'épuiser, et leur vente dépendra des quotas, mais ils ne sont pas pris en compte dans les estimations fournies par le groupe en termes de revenus et de profits futurs.
Rhodia (la suite bis)
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:48 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Le Brésil et la Chine, véritables relais de croissance pour le futur
Le Brésil et la Chine représentent respectivement les deuxième et troisième réservoirs de Rhodia en termes d'effectifs derrière la France. Ensemble, ils contribuent à 25 % du chiffre d'affaires du groupe (5,08 milliards d'euros en 2005), et l'objectif de la direction est de porter rapidement cette part à 33 %. Ces deux pays constituent aussi les principales zones d'investissement.
Dans l'empire du Milieu, où la société est présente depuis vingt-cinq ans, la profitabilité est en ligne avec celle du reste du groupe, et plus d'une quinzaine de sites sont d'ores et déjà opérationnels.
Les perspectives y sont importantes et Rhodia a démarré deux nouveaux projets dans la région depuis le début de l'année.
En moyenne, le chiffre d'affaires croît de 7 à 8 % par an.
Au Brésil, où le groupe est présent depuis plus d'un siècle, les marges sont plus élevées que la moyenne de la société. Cette présence de longue date lui confère un avantage compétitif et des positions fortes, notamment dans les métiers en fort développement et les plus rentables, à savoir le polyamide et l'Acetow (acétate de cellulose). Le rythme annuel de croissance de l'activité est de l'ordre de 4 à 5 %.
Des positions de premier ordre dans trois métiers
Ancienne filiale de Rhône-Poulenc, devenue ensuite Aventis, Rhodia est l'un des dix premiers acteurs mondiaux de la chimie. Deux tiers de son chiffre d'affaires sont réalisés dans des métiers où il se place entre le premier et le troisième rang mondial.
Ses compétences se mesurent dans trois domaines : les matériaux de performance (Polyamide, Acetow), qui sont les activités les plus rentables, la chimie d'applications (Novecare, Silcea) et le pôle organics & services (projets de réduction du gaz à effet de serre).
Ses produits offrent des solutions innovantes pour de nombreux secteurs comme l'automobile, la pharmacie, le tabac, le pétrole ou encore le textile.
A titre d'exemple, les polyamides et les silicones entrent dans la composition de vêtements de sport pour favoriser leur imperméabilité. Le polyamide, qui est plus léger et résistant que l'acier, trouve aussi son application dans les plastiques techniques pour l'automobile. L'acétate de cellulose contribue à la fabrication des filtres à cigarette. Les silices sont employés dans les chaussures de sport pour leur donner plus de légèreté. Autre type d'application : certains produits chimiques développés par Rhodia permettent aux shampoings pour bébé de ne pas piquer les yeux.
NOTRE CONSEIL
ACHAT SPECULATIF
Nous sommes repassés à l'achat spéculatif sur la valeur au cours de 2 euros en février dernier pour jouer le redressement du titre et le potentiel lié à la commercialisation des crédits d'émission de gaz à effet de serre. La récente baisse du titre peut être mise à profit pour se renforcer, avec un objectif de cours de 2,8 euros à un horizon de dix-huit mois (code : RHA ; Comp. A, SRD).
RHA 1812
Rhodia - RHA - FR0000120131 - Eurolist Compartiment A CAC Mid100, SBF 120, SBF 250, SBF 80, SRD - Chimie de spécialités ( code FTSE : 1011113 - Chimie de base )
Team Partners 1
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:52 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
APRES SON RAPPROCHEMENT AVEC CGBI, LA SSII ENTEND DOUBLER DE TAILLE EN TROIS ANS
Team Partners retrouve une vraie dynamique de croissance et un bilan assaini
par AUDREY TONNELIER
Dans le secteur des services informatiques, où l'activité repose essentiellement sur les hommes, les opérations de rapprochement sont plus aléatoires qu'ailleurs. Dès lors, l'union de deux acteurs en difficulté peut sembler relever du défi... C'est pourtant la voie qu'a choisie la SSII Team Partners en lançant une offre publique d'échange (OPE) sur son homologue CGBI en décembre 2005. Six mois plus tard, la situation est encourageante. Au premier trimestre 2006, le nouvel ensemble, qui a repris le nom de Team Partners, a enregistré un chiffre d'affaires en progression de 17 %, à 18,2 millions d'euros. Surtout, les dirigeants anticipent le retour à un résultat opérationnel positif. La Bourse apprécie : le titre Team Partners a gagné plus de 50 % depuis le début de l'année, repassant en février le seuil symbolique de 1 euro. Au vu des atouts et des ambitions du groupe, le potentiel du titre nous semble loin d'être épuisé.
Une structure financière renforcée
Il n'y a pas si longtemps, les deux protagonistes paraissaient pourtant bien mal en point. Durement touché par la crise du secteur au début des années 2000, Team Partners a enchaîné cinq exercices de perte nette. Fin 2004, les fonds propres étaient négatifs à hauteur de 2,5 millions d'euros.
La situation de CGBI, déclaré en cessation de paiements en 2003, n'était guère plus brillante. La remise à flot du nouveau groupe a été menée à marche forcée par Gérard Guyodo, précédemment directeur général chez Steria et Sopra. En parallèle à l'annonce du protocole de rapprochement avec CGBI, en septembre 2005, chacune des deux SSII a bénéficié d'une opération de recapitalisation, pour un total de 17 millions d'euros, le management a été renouvelé, les collaborateurs regroupés. Enfin, l'OPE sur les actions CGBI s'est achevée le 10 février dernier : Team Partners détient désormais 98 % du capital. Il ne reste plus aujourd'hui qu'à finaliser l'offre publique de retrait (OPR) sur les 2 % restants (voir encadré).
La situation financière du nouvel ensemble est en voie de normalisation. Team Partners présente encore un lourd passif faisant l'objet d'un moratoire (16,4 millions d'euros), qui se décompose en 2,4 millions de dette bancaire et 14 millions de dette fiscale. Mais, si l'on exclut cette dernière, la trésorerie nette a atteint 1,5 million d'euros à fin 2005. Autre bonne nouvelle : les fonds propres sont revenus dans le vert, à 15,5 millions d'euros. La présence d'investisseurs institutionnels au tour de table constitue un signe encourageant : le premier d'entre eux, Prado Finance, détient un peu plus de 14 % du capital.
Une croissance à deux chiffres et des acquisitions dès 2006
Les dirigeants de Team Partners peuvent désormais se consacrer au développement du groupe. Le changement de taille constitue un avantage précieux pour ce dernier, qui présente la particularité de compter parmi ses clients presque exclusivement des grands comptes.
Les ventes sont reparties à la hausse depuis le quatrième trimestre 2005 (+ 10 % en pro forma) et la SSII ne compte pas s'arrêter là. « Nous souhaitons passer du statut de généraliste à celui de spécialiste », résume Gérard Guyodo, président de la SSII.
A partir des métiers historiques de chacune des deux entités - le conseil et l'intégration de systèmes pour CGBI, l'infogérance pour Team Partners -, les dirigeants ont élaboré deux offres de niche. D'une part, la gestion électronique de documents (e-CRM), un marché en forte croissance car offrant des perspectives substantielles d'économies pour les clients. « Nous permettons aux entreprises de diviser par trois à quatre leurs coûts de gestion du courrier et d'impression », explique Gérard Guyodo. La seconde spécialisation de Team Partners est la maintenance des gros systèmes informatiques (mainframe). Un domaine qui, papy-boom oblige, souffre d'une pénurie d'ingénieurs qualifiés. A ces deux activités s'ajoute l'infogérance applicative (gestion des applications informatiques des entreprises) et la gestion de la bureautique des postes de travail.
Team Partners 2
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:52 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Au total, les métiers que Team Partner souhaite conserver représentent 55 % du chiffre d'affaires, les 45 % restants étant constitués de prestations généralistes. « Pour nos nouvelles offres, nous nous fixons un objectif de 20 à 30 % de croissance annuelle », annonce Gérard Guyodo. Compte tenu des domaines d'activité volontairement laissés de côté, la croissance organique devrait être d'au moins 10 % pour l'exercice en cours et de plus de 15 % pour les deux suivants.
La politique de croissance externe de Team Partners n'est pas moins ambitieuse. La SSII pourrait ainsi réaliser de 20 à 100 millions d'euros d'acquisition dès cette année. « Nous recherchons des cibles capables d'élargir notre clientèle de grands comptes », précise le président, qui avoue qu'en l'état actuel de ses recherches il rencontre davantage de groupes cotés que de sociétés non cotées répondant à ses critères. Prudents, les dirigeants souhaitent, dans un premier temps, se concentrer sur la France, où Team Partners réalise la grande majorité de ses ventes. Au total, le groupe vise 200 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2008, contre 64,3 millions réalisés l'an dernier.
Un potentiel de hausse des marges significatif
La rentabilité devrait suivre. Dans un premier temps, les restructurations ont pesé sur la marge du nouveau groupe, pour un total de plus de 8 millions d'euros en 2005. La perte nette est ainsi ressortie à 11,7 millions d'euros en 2005. Pour cette année, les dirigeants prévoient encore quelque 0,8 million de charges de restructuration. Pour améliorer la rentabilité, ils comptent s'appuyer sur l'amélioration du taux d'activité (part des collaborateurs effectivement facturés chez le client), tombé à 81 % chez Team Partners début 2005, sur la diminution des coûts de structure et sur l'amélioration des prix de vente, grâce au recentrage du groupe sur les offres spécialisées. Là encore, les premiers résultats sont encourageants : « Nous avons atteint 85,5 % de taux d'activité au premier trimestre 2006 et visons un ratio d'au moins 90% », explique Gérard Guyodo. Le groupe est également parvenu à réduire fortement ses charges de structure, à hauteur de 5 millions d'euros en année pleine.
La marge opérationnelle courante devrait ainsi atteindre 3,5 % (hors éléments non récurrents liés à la fin des restructurations et à une éventuelle acquisition) en 2006. Les facteurs évoqués ci-dessus allant s'amplifiant, Team Partners table sur une marge opérationnelle de 9 % à l'horizon 2008.
Point positif, les exercice déficitaires enregistrés par la SSII lui permettent de disposer d'un crédit d'impôt de 12,7 millions d'euros. Compte tenu de frais financiers de l'ordre de 0,7 million d'euros, nous anticipons un bénéfice net de 3 millions pour cette année.
Au cours actuel, ces perspectives restent peu valorisées. Le titre capitalise 14,8 fois notre prévision de bénéfice et moins de 0,5 fois le chiffre d'affaires 2006, contre une moyenne de plus de 0,8 fois pour le secteur.
En tenant compte de l'exercice de 9 millions d'euros de bons de souscription d'actions (BSA) qui interviendra d'ici à décembre prochain, le multiple de capitalisation des bénéfices monte à près de 20 fois. Ce ratio reste raisonnable pour une valeur en retournement qui présente à la fois une dynamique de croissance de l'activité, une capacité d'acquisitions et une situation financière assainie.
Le titre a basculé dans une phase de correction. Le principal objectif de ce mouvement se situe autour de 1 euro. Un repli limité à ce niveau préserverait la tendance de fond positive et donnerait ainsi un point d'entrée intéressant pour se repositionner à l'achat à moyen terme. Au-dessous, la configuration de fond deviendrait plus délicate. Le titre ne serait pas à l'abri d'un repli vers 0,9 euro.
formatiques
Team Partners 3 & fin
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:53 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Le titre CGBI restera suspendu jusqu'au lancement de l'OPR
Vent de spéculation sur CGBI. Le titre de la SSII, dont Team Partners détient 98 % du capital depuis la fin de l'offre publique d'échange, le 10 février, s'est emballé les 4 et 5 avril, passant de moins de 1 euro à 2,33 euros. Un mouvement « totalement anormal et incompréhensible », selon les termes des dirigeants de Team Partners, qui les a conduits à demander la suspension de la cotation des 2 % de CGBI encore en Bourse. « La suspension restera effective jusqu'au lancement de l'offre publique de retrait (OPR), qui devrait intervenir dans les prochaines semaines et être achevée fin juin », précise Gérard Guyodo, président de Team Partners. Mais le cours effectif pour le retrait, loin de s'ajuster sur les dernières cotations des titres CGBI, se fera vraisemblablement au niveau qui était celui de l'action avant annonce de l'OPE de Team Partners, soit environ... 0,60 euro.
NOTRE CONSEIL
: nous avions recommandé aux détenteurs d'actions CGBI d'apporter à l'OPE. Ceux qui auraient conservé des titres se trouvent désormais dans l'obligation d'attendre l'OPR (code : CGB ; Comp. C).
NOTRE CONSEIL
ACHAT SPECULATIF
Nous passons à l'achat sur Team Partners, à titre spéculatif. La stratégie de redressement porte ses fruits et les perspectives d'expansion nous semblent solides.
On pourra viser un premier objectif de cours de 1,50 euro à dix-huit mois (code : TIP ; Comp. C).
TIP1435
Team Partners - TIP - FR0000064909 - Eurolist Compartiment C - Services informatiques ( code FTSE : 9097972 - Services in
Technip
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:54 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
TECHNIP
Le titre continue de plonger
Le résultat net de la société parapétrolière a atteint 25,3 millions d'euros au cours du premier trimestre 2006, en hausse de 16,6 %, très inférieur à la progression de l'activité (+ 31 % à 1,6 milliard d'euros). Le bénéfice par action de Technip s'élève à 0,31 euro au 31 mars 2006, en progression de 23 %. Les marges sur des contrats signés en 2003 ont subi de plein fouet la hausse du coût des matières premières. Par ailleurs, la société a engrangé sur le premier trimestre une plus-value de 22 millions d'euros à l'occasion de la cession d'une filiale américaine venue soutenir la hausse des profits. La direction de la société estime que l'objectif d'un résultat opérationnel d'au moins 340 millions d'euros est à sa portée. Le carnet de commandes au 31 mars s'élève à 11,6 milliards (+ 62 % en un an). Un nouveau programme de rachats d'actions va être lancé. Le titre a encore baissé jeudi matin, accusant un repli de 15 % depuis le début de l'année.
NOTRE CONSEIL
achat spéculatif (code : TEC ; Comp. A, SRD) avec un objectif de cours ramené de 58 à 52 euros. Technip devrait continuer à bénéficier d'un environnement porteur.
TEC 206
Technip - TEC - FR0000131708 - Eurolist Compartiment A CAC Next20, Next 100, SBF 120, SBF 250, SBF 80, SRD - Parapétrolier ( code FTSE : 7075 - Pétrole - services )
Lacroix ,SR Tel, PVL merci !
par crocroc, vendredi 19 mai 2006, 10:49 (il y a 6752 jours) @ eg972
» Avenir télécom
» Rhodia
» Team partners
» Technip
»
» Merci d'avance
Lacroix
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:55 (il y a 6752 jours) @ crocroc
LACROIX INDUSTRIES
Les objectifs annuels seront dépassés.
Christelle Donger
Ce fabricant d'équipements de signalisation routière (panneaux d'indication, feux tricolores...) et de composants électroniques est en bonne voie pour dépasser ses objectifs pour l'exercice 2005/2006, clos le 30 septembre. A partir d'un chiffre d'affaires qui devrait approcher 200 millions d'euros, en hausse de près de 10 %, le résultat d'exploitation sera certainement supérieur au niveau de 12 millions initialement envisagé par les dirigeants, à comparer aux 9,8 millions dégagés en 2004/2005.
Lacroix Industries dresse un bilan d'ores et déjà très honorable du premier semestre, qui s'est achevé par une solide progression de 11,17 % des ventes, à 101,72 millions d'euros. Toutes les activités sont bien orientées, notamment celle de signalisation (46 % des recettes annuelles), qui repart sur un bon rythme de croissance de 11,7 %, après avoir stagné l'an passé. L'équipementier recueille un bon succès du lancement des nouveaux produits et profite pleinement de l'essor des services d'expertise (conseils d'installation de panneaux de signalisation pour des travaux publics temporaires ou pour l'optimisation de l'ensemble du réseau des collectivités locales) dans lesquels il s'est spécialisé depuis quatre ans. Cette division à forte valeur ajoutée croît de plus de 20 % et devrait générer cette année près de 7 millions d'euros de facturations, soit 8 % du chiffre d'affaires signalisation. Lacroix Industries travaille aussi sur des opérations de croissance externe en Europe de l'Est et dans les pays du Maghreb. L'objectif est clairement d'augmenter ses parts de marché à l'international, où ne sont réalisées pour le moment que 15 % des recettes. Sa marge de manoeuvre financière s'est sensiblement renforcée depuis que le groupe a levé l'été dernier près de 16,5 millions d'euros. A fin septembre 2005, l'endettement net se limitait à 26,3 % des fonds propres (57,9 millions d'euros). Depuis notre conseil d'achat en début d'année, l'action Lacroix Industries a rattrapé une bonne partie de son retard de valorisation en s'appréciant de plus de 30 %. Son potentiel de hausse reste néanmoins intéressant au regard des perspectives de développement du groupe. Le résultat net 2005/2006, qui devrait doubler pour s'approcher de 7 millions d'euros en raison de la non-récurrence de frais de restructuration, est déjà capitalisé 14,5 fois, mais la valeur d'entreprise (capitalisation boursière plus endettement net) représente encore moins de 60 % du chiffre d'affaires et à peine 9 fois le résultat d'exploitation estimés pour 2006. L'annonce de prochaines acquisitions devrait jouer favorablement sur le cours. Notre objectif est relevé de 81 euros à 95 euros.
Code LACR - Comp. C - Fixing
Cours au 17/05 83
+Bas +Haut sur 1 an 63,2 /86
CA 2005(*) 184 M
Capitalisation boursière 104 M
BNPA 2005/06/07(*) 2,97/5,76/6,80
PER 2005/06/07(*) 27,88/14,40/12,19 fois
Dividende net 2005/06(*) 1,00/1,80
Rendement net 05/06 1,20 %/2,16 %
Moyenne transactions/jour 460 titres
Activité Signalisation routière
Objectif de cours à 18 mois 95
Risque limité. Note de risque : 3
(*) exercice décalé, clôture : 30/09/06
VE courante / CA 2005 PER 2006 Rendement 2006 Variation en % sur la semaine Variation en 12 mois
Bacou-Dalloz 1,44 14,51 1,05 -3,6 % +42,1 %
Lacroix SA 0,65 14,40 2,16 -0,6 % +15,5 %
Manitou BF 1,23 16,03 2,42 -5,3 % +18,1 %
Neopost 3,63 17,91 2,58 -4,2 % +22,1 %
Pinguely-Haulotte 2,26 14,44 0,67 -12,2 % +158,3 %
Signaux Girod 0,88 12,33 3,22 -2,4 % +9,8 %
NOTRE CONSEIL
ACHETER
LACR 490
Lacroix SA - LACR - FR0000066607 - Eurolist Compartiment C - Signalisation routière ( code FTSE : 2025253 - Equipement électronique )
SR
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:56 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
SR TELE-PERFORMANCE
Des ambitions revues à la hausse.
Jérome Marmet
Conformément à ce que laissait présager le très bon chiffre d'affaires du premier trimestre (+ 30 %, à 333,7 millions d'euros), le numéro deux mondial des centres d'appel a relevé ses prévisions annuelles lors de la réunion d'information organisée le 18 mai avec la communauté financière.
La croissance à données publiées du chiffre d'affaires est dorénavant attendue autour de 15 %, contre 8 % initialement prévus, et le résultat net devrait progresser d'au moins 20 %, pour s'établir entre 68 et 70 millions d'euros. En attendant, SR Téléperformance devrait réaliser sur le premier semestre un chiffre d'affaires compris entre 680 et 690 millions d'euros, en hausse de 20 % à données publiées et de 13 % à périmètre et taux de change constants.
Quant à la marge opérationnelle et au bénéfice net, ils s'amélioreront, pour atteindre respectivement 9 % du chiffre d'affaires et 32 millions d'euros (+ 40 % par rapport à un premier semestre 2005).
Le bel optimisme affiché par les dirigeants se fonde à la fois sur une reprise des volumes de l'ordre de 10 % sur le marché mondial des centres d'appel pour les trois prochaines années ainsi que sur la montée en puissance de nouvelles activités (assistance technique, recouvrement de créances...).
De même, la pression sur les prix, si pénalisante en 2003 et en 2004, semble s'être calmée en ce début d'année. Par ailleurs, SR Téléperformance entend poursuivre la couverture de son réseau à l'international.
Ainsi, après avoir ouvert une filiale au Chili et en Chine, l'entreprise s'implante au Japon. Le dispositif du groupe compte aujourd'hui 267 centres de contact à travers le monde regroupant environ 45.600 stations de travail, dont plus de 10.000 sont délocalisées dans des pays à bas coûts.
Sans égale aujourd'hui, cette organisation constitue un avantage concurrentiel dans la compétition que se livrent les prestataires de centres de contact. Par ailleurs, forte d'un endettement net raisonnable (40 % des fonds propres à fin 2005), la société nourrit de grandes ambitions en matière de croissance externe.
Le rythme des acquisitions va s'intensifier en 2006 et 2007 avec en ligne de mire des sociétés dont le chiffre d'affaires pourrait aller jusqu'à 150 millions d'euros.
Cette politique fondée sur les acquisitions et l'ouverture de nouveaux marchés doit permettre de détrôner l'américain Convergys de sa place de numéro un mondial d'ici à 2010.
Pour illustrer sa détermination à aller de l'avant, le management va proposer lors de l'assemblée générale du 1er juin un changement du nom de la société, qui deviendra le groupe Téléperformance, et un plan d'attribution d'actions gratuites réservées à 70 cadres dirigeants de l'entreprise.
Il est dommage de ne pas associer aussi les actionnaires, même si le dividende qui leur sera proposé (0,30 euro) est en augmentation de 20 % par rapport à celui de l'année dernière.
Dans ce contexte, nous réitérons notre conseil d'achat sur la valeur avec un objectif de cours relevé à 40 euros.
Code RCF - Comp. B - Continu
Cours au 17/05 33,12
+Bas +Haut sur 1 an 22,4 /35,9
CA 2005 1.195 M
Capitalisation boursière 1,17 Mds
BNPA 2005/06/07 1,61/1,69/1,88
PER 2005/06/07 20,44/19,59/17,61 fois
Dividende net 2005/06 0,30/0,35
Rendement net 2005/06 0,90 %/1,05 %
Moyenne transactions/jour 203.000 titres
Activité Services marketing
Objectif de cours à 18 mois 40
Risque limité. Note de risque : 3
Analyse graphique : Tendance ↑
Supports 30-28 Résistances 33.6-35
VE courante / CA 2005 PER 2006 Rendement 2006 Variation en % sur la semaine Variation en 12 mois
Ginger 0,43 10,19 2,96 -1,6 % +1,9 %
GPE Groupe Pizzorno 1,40 23,13 1,54 -1,3 % +26,4 %
Onet 0,32 15,05 1,76 -1,1 % +38,1 %
SR Téléperformance 1,13 19,59 1,05 -3,9 % +47,9 %
Suez 1,23 15,12 3,77 -5,8 % +39,3 %
Véolia Envir. 1,17 22,98 2,21 -4,7 % +47,6 %
NOTRE CONSEIL
ACHETER
TELECOM RESEAUX SERVICES
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:58 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
TELECOM RESEAUX SERVICES
Le marché de la voix sur Internet n'est pas encore entré en phase de décollage.
A.T.
Les investisseurs auraient-ils été trop optimistes concernant Télécom Réseaux Services (TRS) > Après avoir doublé, entre juillet 2005 et février 2006, le cours de cette SSII spécialisée dans l'intégration de systèmes liés à la voix sur Internet (VoIP) a reculé de 25 % au cours des trois derniers mois. Ce repli s'est poursuivi la semaine dernière, après la publication du chiffre d'affaires annuel de l'exercice clos le 31 mars.
Il faut dire que la croissance de l'activité a été sensiblement différente des anticipations formulées par les dirigeants en novembre 2005. Attendue entre 5 et 7 %, la hausse n'a atteint que 1,3 % sur l'année (le chiffre d'affaires est ressorti à 36,7 millions d'euros). Derrière cette quasi-stagnation se cache une performance contrastée. « La hausse de 12,6 % de nos activités d'intégration (40 % des ventes), qui correspond à l'installation de nouveaux systèmes chez nos clients, a mécaniquement entraîné une baisse des services de support (- 5 %) qui n'interviennent qu'une fois les technologies en place dans les entreprises, justifie Simon Pennington, directeur financier de TRS. Cependant, le recul ne concerne que les garanties de support non contractuel (modifications et interventions ponctuelles), et non nos contrats de support pluriannuels, qui, eux, ont connu une activité stable par rapport à l'année précédente. »
Autre déception : la SSII a enregistré un important creux d'activité au cours du dernier trimestre (- 4 %), y compris sur les activités d'installation. Conséquence : si les dirigeants n'ont pas modifié leur prévision d'un résultat net supérieur à celui de l'exercice 2004/2005 (0,66 million d'euros), il est peu probable que ce dernier progresse de façon significative.
Pour l'exercice en cours, le groupe compte notamment sur la signature de deux contrats de trois ans, l'un avec Aéroports de Paris, l'autre avec le ministère de l'Economie et des Finances, pour un total de plus de 2 millions d'euros. Mais la croissance ne semble pas devoir s'accélérer notablement cette année. « Le niveau d'activité des mois de janvier à avril est stable par rapport à la même période de 2005, ce qui signifie que nous avons rattrapé en avril le retard accumulé en début d'année », indique Simon Pennington. Il n'empêche, les grandes entreprises et les administrations qui composent la clientèle de TRS n'ont pas encore migré en masse vers le protocole de voix sur IP (utilisation d'un même réseau pour faire passer données et voix). « Il faudra trois à quatre années pour que cette technologie s'impose chez nos clients », note le dirigeant.
Autre facteur peu encourageant : les services d'intégration, qui sont pourtant ceux qui connaissent la plus importante croissance aujourd'hui pour TRS, enregistrent une rentabilité inférieure aux activités de support. Enfin, le groupe rencontre des difficultés à augmenter, voire à maintenir ses prix face à la concurrence de filiales de grands groupes comme France Télécom ou Vinci.
La structure financière de TRS reste néanmoins solide : l'endettement net, qui représentait moins de 40 % des fonds propres à fin septembre 2005, devrait s'être encore réduit au cours du second semestre.
Mais le contexte de marché peu favorable et le manque de visibilité sur l'activité et la rentabilité nous incitent à adopter une approche prudente vis-à-vis de ce dossier.
Au cours actuel, le titre valorise pleinement les perspectives de résultat pour l'exercice 2006/2007 (1,1 million d'euros selon nos estimations) puisque celles-ci sont aujourd'hui capitalisées près de 16 fois.
En dépit du recul de ces derniers mois, la hausse de l'action atteint encore 40 % sur un an. Il semble judicieux de prendre ses bénéfices.
Code TLC - Comp. C - Continu
Cours au 17/05 5,79
+Bas +Haut sur 1 an 3,96 /8,45
CA 2005(*) 36 M
Capitalisation boursière 17 M
BNPA 2005/06/07(*) 0,22/0,27/0,38
PER 2005/06/07(*) 25,33/20,89/15,19 fois
Dividende net 2005/06(*) 0,10/0,12
Rendement net 05/06 1,72 %/2,07 %
Moyenne transactions/jour 12.000 titres
Activité Services d'intégration de réseaux
Objectif de cours à 18 mois 5,5
Risque limité. Note de risque : 3
(*) exercice décalé, clôture : 31/03/06
VE courante / CA 2005 PER 2006 Rendement 2006 Variation en % sur la semaine Variation en 12 mois
Akka Technologies 1,02 15,09 1,54 -6 % +37,3 %
Alten 1,84 18,35 nul -7,1 % +43,4 %
Altran Technologies 1,04 26,08 nul -10,9 % +50,4 %
Devoteam SA 1,14 20,99 1,20 -3,9 % +62,2 %
SII 1,50 20,14 0,69 -4,8 % +26,8 %
Télécom Rés. Services 0,57 20,89 2,07 -8,7 % +37,5 %
NOTRE CONSEIL
PRENDRE SES BENEFICES
PLASTIQUES VDL
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 10:59 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
PLASTIQUES DU VAL DE LOIRE
2005/2006 sous le signe du redressement
Ce spécialiste de la plasturgie est en ligne avec ses objectifs de croissance annuelle. Au titre du premier semestre de l'exercice 2005/2006, qui sera clos le 30 septembre prochain, Plastiques du Val de Loire a dévoilé un chiffre d'affaires de 100,1 millions d'euros, en hausse de 10,2 %. En poursuivant sur cette tendance, le groupe vise un niveau d'activité annuelle de 190 millions d'euros et une nette amélioration du résultat d'exploitation, qui passerait de 1,1 million à 8 millions d'euros, grâce notamment à la non-récurrence de frais de restructuration
NOTRE CONSEIL
achat spéculatif pour jouer le redressement des résultats. La société est modérément valorisée en Bourse. Notre objectif de cours est maintenu à 26 euros (code : PVL ; Comp. C).
PVL 131
Plastiques Val-de-Loire - PVL - FR0000051377 - Eurolist Compartiment C - Plasturgie ( code FTSE : 2025252 - Equipement électrique )
mille mercis !
par crocroc, samedi 20 mai 2006, 15:25 (il y a 6751 jours) @ sacréfilou
» PLASTIQUES DU VAL DE LOIRE
» 2005/2006 sous le signe du redressement
» Ce spécialiste de la plasturgie est en ligne avec ses objectifs de
» croissance annuelle. Au titre du premier semestre de l'exercice 2005/2006,
» qui sera clos le 30 septembre prochain, Plastiques du Val de Loire a
» dévoilé un chiffre d'affaires de 100,1 millions d'euros, en hausse de 10,2
» %. En poursuivant sur cette tendance, le groupe vise un niveau d'activité
» annuelle de 190 millions d'euros et une nette amélioration du résultat
» d'exploitation, qui passerait de 1,1 million à 8 millions d'euros, grâce
» notamment à la non-récurrence de frais de restructuration
»
» NOTRE CONSEIL
» achat spéculatif pour jouer le redressement des résultats. La société est
» modérément valorisée en Bourse. Notre objectif de cours est maintenu à 26
» euros (code : PVL ; Comp. C).
»
» PVL 131
»
»
» Plastiques Val-de-Loire - PVL - FR0000051377 - Eurolist Compartiment C -
» Plasturgie ( code FTSE : 2025252 - Equipement électrique )
TRS
par PBourdon , Levallois, vendredi 19 mai 2006, 11:37 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Une erreur dans l'article : le RN 2005 est de 1,043 M (part du groupe), ce qui donne un PER de 14,5 pour 2005. Si le résultat net augmente effectivement, au cours actuel, c'est raisonnable. Par contre, encore un mauvais point pour P. Oberty, les chiffres des derniers mois sont moins bons que ceux évoqués à l'AG.
Pierre
attention passage aux IFRS
par svallene, vendredi 19 mai 2006, 13:44 (il y a 6752 jours) @ PBourdon
et donc passage du RN 2004/2005 de 1.05 a 0.66 je crois
exact
par PBourdon , Levallois, vendredi 19 mai 2006, 14:35 (il y a 6752 jours) @ svallene
j'ai raté l'étape IFRS !
TELECOM RESEAUX SERVICES
par svallene, vendredi 19 mai 2006, 13:41 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
» Autre déception : la SSII a enregistré un important creux d'activité au
» cours du dernier trimestre (- 4 %), y compris sur les activités
» d'installation. Conséquence : si les dirigeants n'ont pas modifié leur
» prévision d'un résultat net supérieur à celui de l'exercice 2004/2005
» (0,66 million d'euros), il est peu probable que ce dernier progresse de
» façon significative.
TRS a déja engrangé 0.44M de RN pour le S1 05/06. Le RN S2 04/05 avait été particulierement positif : 1.1M . Certes il sera moindre au S2 05/06... le probleme est de savoir de combien> 20% 40% 60% > a 40% de moins, on aurait 0.66M donc un RN de 1.1M, ce qui correspond bien a la prevision de l'article.
"il est peu probable que ce dernier progresse de façon significative."
passage de 0.66M a 1.1M soit 66% de hausse... pas significatif ca... hé ben...
» [] Au cours actuel, le titre valorise pleinement les perspectives de résultat
» pour l'exercice 2006/2007 (1,1 million d'euros selon nos estimations)
» puisque celles-ci sont aujourd'hui capitalisées près de 16 fois.
mais je comprends mieux le cassage de gueule de TRS
par svallene, vendredi 19 mai 2006, 13:43 (il y a 6752 jours) @ svallene
ces derniers jours...
Un grand Merci (désolé, pensais pas autant de travail)
par eg972, vendredi 19 mai 2006, 11:14 (il y a 6752 jours) @ eg972
JDF: le sommaire ...
par doc crm, vendredi 19 mai 2006, 10:58 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Bonjour sacréfilou, je surveille Eurazéo, est-ce désormais une opportunité d'achat après versement des dividendes et avant attribution d'actions gratuites (5+2 en ce qui me concerne)en vue de réaliser une meilleure PV >
cordialement
Eurazeo
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 11:10 (il y a 6752 jours) @ doc crm
Bonjour
Perso , je n'y crois guère, même si l'ANR devrait sensiblement augmenter...
la pilule empoisonnée mise en place n'est de plus pas de nature à attirer les gros investisseurs..
De plus , les semaines suivant un détachement exceptionnel & dans un contexte de baisse générale des indices ne sont guère favorables à ce genre de valeur..
EURAZEO Assemblée générale mixte du 12 mai
Les participations dans Danone et Veolia seront conservées.
Jean-Baptiste Froville
C'est dans les locaux surchauffés du Pavillon Gabriel que se tenait l'assemblée générale de la société de capital-investissement Eurazeo... Les actionnaires présents ont réservé un accueil très chaleureux à Patrick Sayer, le président du directoire, et à Michel David-Weill, président du conseil de surveillance.
Il faut dire que la direction a choyé les actionnaires du groupe. Après un exercice 2005 record qui a permis de dégager un bénéfice net de plus de 700 millions d'euros, le management a décidé de reverser un dividende exceptionnel de 6 euros par action, auquel s'ajoute le dividende ordinaire de 1 euro. Par ailleurs, 1 action sera offerte pour 20 actions Eurazeo détenues. Le coupon a été détaché le 16 mai et les actions gratuites distribuées le 18 mai.
Pour l'avenir, l'assemblée a entériné la décision du conseil de surveillance de renouveler pour quatre ans le mandat des membres du directoire ainsi que la résolution concernant les « bons Breton », ces bons de souscription permettant, en cas d'OPA hostile, de se défendre en augmentant le capital. Outre le fait que cette pilule anti-OPA soit tout à fait contraire au fonctionnement de la Bourse, l'initiative d'Eurazeo est étonnante dans la mesure où ses deux principaux actionnaires, la Société Civile Haussmann Percier et le Crédit Agricole, qui détiennent ensemble plus de 50 % du capital, sont liés par un pacte d'actionnaires.
Patrick Sayer s'est déclaré très confiant sur l'avenir d'Eurazeo, car, selon lui, la stratégie du private equity (l'investissement dans le non coté) est la bonne pour créer de la valeur. L'expérience des membres d'Eurazeo les rend très compétitifs sur ce segment de marché.
Patrick Sayer a reconnu que le bénéfice 2005 sera difficile à égaler dans les années à venir, sauf cession ou introduction en Bourse plus rapide que prévu d'une des sociétés du portefeuille Fraikin, Rexel ou B&B Hôtel.
Il a également rappelé qu'il n'était pas question, à court ou moyen terme, de céder les deux grandes lignes de participation cotées d'Eurazeo (valorisé plus de 1,5 milliard d'euros) que sont Danone et Veolia Environnement. « On conserve ces titres, qui ont un très fort potentiel d'appréciation », a-t-il ajouté.
La vision idéale du portefeuille d'une société spécialisée dans le private equity a été énoncée par Patrick Sayer. Il estime qu'environ 60 % des actifs devraient être investis dans le non-coté, 25 % dans le coté et le solde en trésorerie. Il a tout de même précisé que les participations cotées pourraient rester plus importantes à l'avenir en raison d'introduction en Bourse.
Anecdote amusante, si Eurazeo avait fait partie de l'indice CAC 40, il se serait placé à la trentième place l'an passé en termes de résultat net...
NOTRE CONSEIL
RENFORCER
Nous attendons une progression d'au moins 20 % de l'ANR cette année.
Celui-ci devrait atteindre 115 euros en décembre prochain, niveau correspondant à notre nouvel objectif de cours.
RF 489
Eurazéo - RF - FR0000121121 - Eurolist Compartiment A Next 100, SBF 120, SBF 80, SRD - Société de portefeuille ( code FTSE : 2024240 - Industries diversifiées )
Eurazeo
par doc crm, vendredi 19 mai 2006, 11:19 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Merci pour ta réponse, je vais attendre encore un peu, suivre le marché et attendre une opportunité pour renforcer mes liquidités (< 10%) dans les 2 PEA que je gère.
Félicitation pour ton travail et bonne PV
Ginger, s'il te plait
par PBourdon , Levallois, vendredi 19 mai 2006, 11:19 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
et merci d'avance
Ginger ? voilà voilà...
par sacréfilou , Monaco & Nice, vendredi 19 mai 2006, 11:30 (il y a 6752 jours) @ PBourdon
GINGER
Le versement d'un dividende pourrait finalement être annoncé le 19 mai.
Frédéric Bériot
L'action du spécialiste de l'ingénierie en construction, en environnement et en télécoms, est restée stable depuis la fin du mois de mars, date de la publication des résultats annuels du groupe qui lui avait permis de rebondir de 23,6 %. L'annonce le 19 mai par le conseil de surveillance de la distribution d'un dividende au titre de l'exercice 2005 pourrait sonner un deuxième réveil de la valeur. Car la direction pourrait finalement revenir sur sa décision initiale de priver, pour la seconde année consécutive, les actionnaires d'un dividende. Il s'agirait pour ces derniers d'une juste récompense à leur fidélité, après avoir essuyé bien des déboires au cours des deux derniers exercices.
La direction adresserait également un signe fort de confiance dans la poursuite du redressement de Ginger, qui devrait se confirmer cette année.
Le chiffre d'affaires du premier trimestre de 51,97 millions d'euros a crû de 11 %, grâce à la bonne performance obtenue dans les activités de construction et d'environnement. La première branche bénéficie d'un regain d'activité dans la géotechnique (études de terrain) et la pathologie des bâtiments, tandis que le second métier du groupe est dynamisé par les études autour de l'eau. Les facturations dans les télécoms sont parallèlement restées stables sur les trois premiers mois de l'année, après avoir bénéficié l'an dernier d'un effet de base très favorable lié au comblement du retard dans la couverture du réseau GSM sur le territoire français.
Pour l'ensemble de l'exercice, la direction s'attend à une croissance globale de 5 à 6 % du chiffre d'affaires du groupe qui proviendra d'une augmentation de 10 % des facturations dans la construction et l'environnement. Celles dans le secteur des télécoms devraient rester du même ordre de grandeur qu'en 2005, à moins que la société ne parvienne à conclure plusieurs grands projets en cours de discussion pour un montant compris entre 8 millions et 10 millions d'euros chacun. Auquel cas, le chiffre d'affaires dans les télécoms pourrait croître de 3 à 4 %. Nous préférons toutefois ne pas retenir ce scénario dans notre estimation de facturations que nous situons autour de 236 millions d'euros pour 2006. Au niveau de la rentabilité opérationnelle courante, Ginger s'est fixé l'objectif d'atteindre 7 % à fin 2007 (contre 2,7 % en 2005, mais 4,5 % au second semestre de l'exercice précédent). Pour cette année, nous avons retenu une hypothèse de marge opérationnelle courante se situant à mi-chemin entre le second semestre 2005 (4,5 %) et l'objectif de 7 % à fin 2007, soit 5,5 %. Ce qui conduit à un résultat opérationnel courant de 12,98 millions d'euros. Sachant que l'endettement net devrait diminuer encore d'environ 3 millions d'euros sur l'exercice, pour représenter 70 % des fonds propres du groupe en fin d'année, le bénéfice net pourrait s'élever à 6,3 millions (contre 1 million l'an dernier). Pour 2007, notre estimation de résultat net est de 9,2 millions, pour un chiffre d'affaires en croissance de 5 %.
Ces perspectives de redressement des comptes pour 2006 et 2007 sont très faiblement valorisées par le marché puisque les multiples de capitalisation ressortent respectivement à 10,2 et 6,97 fois. Ce qui nous conduit à revenir à l'achat sur la valeur, après avoir recommandé des prises de bénéfices fin mars au-dessus de 15 euros. L'attrait spéculatif lié à un désengagement du président Jean-Louis Schnoebelen (42,9 % du capital) reste entier. Nous relevons notre objectif de cours à 18 euros.
Code GNG - Comp. C - Continu
Cours au 17/05 15,2
+Bas +Haut sur 1 an 10,2 /16,45
CA 2005 223 M
Capitalisation boursière 64 M
BNPA 2005/06/07 0,23/1,49/2,17
PER 2005/06/07 64,15/10,19/6,98 fois
Dividende net 2005/06 0,30/0,45
Rendement net 2005/06 1,97 %/2,96 %
Moyenne transactions/jour 12.000 titres
Activité Ingénierie- BTP-environ.-technol.
Objectif de cours à 18 mois 18
Risque élevé. Note de risque : 4
NOTRE CONSEIL
ACHETER
GNG 651
Ginger - GNG - FR0000045023 - Eurolist Compartiment C MidCAC - Ingénierie- BTP-environ.-technol.
Merci beaucoup
par PBourdon , Levallois, vendredi 19 mai 2006, 11:47 (il y a 6752 jours) @ sacréfilou
Bon, finalement, entre TRS et Ginger le JDF est pour mes valeurs
Merci beaucoup
par JanNo1, samedi 20 mai 2006, 00:46 (il y a 6752 jours) @ PBourdon
» Bon, finalement, entre TRS et Ginger le JDF est pour mes
» valeurs
»
Merci beaucoup Sacréfilou pour ton post pour Team Partners Group (TIP).
Moi aussi, je crois beaucoup au redémarrage de cette entreprise avec un excellent dirigeant.
Cordialement et à très bientôt.
AIR FRANCE? STP, Merci d'avance
par MEN, dimanche 21 mai 2006, 12:19 (il y a 6750 jours) @ sacréfilou
.
AIR FRANCE (Investir mis + loin hier)
par sacréfilou , Monaco & Nice, dimanche 21 mai 2006, 13:57 (il y a 6750 jours) @ MEN
LA COMPAGNIE AERIENNE CONTIENT LA HAUSSE DU PRIX DU KEROSENE
Résultats annuels records pour Air France-KLM
par renaud maridet
S 'il est en ligne avec les attentes (et avec l'objectif affiché par le groupe à l'issue du troisième trimestre de son exercice décalé), le bénéfice net de la compagnie aérienne, née fin 2004 de la fusion du néerlandais KLM et du français Air France, n'en a pas moins atteint un niveau record.
A 913 millions d'euros, il progresse de plus de 29 % par rapport au précédent exercice clos le 31 mars 2005 (si l'on ne prend pas en compte une réévaluation du bilan d'acquisition de KLM, en raison de l'excédent de ses fonds de pension, qui a artificiellement gonflé le bénéfice de l'année dernière). Le résultat opérationnel a, il est vrai, fortement augmenté de 69 %, à 936 millions d'euros, faisant apparaître une hausse de la marge d'exploitation, qui atteint 4,4 %, avec un flux de trésorerie positive supérieur à 1 milliard d'euros. Du coup, le dividende distribué au titre de l'exercice écoulé sera multiplié par deux, pour atteindre 0,30 euro par action. C'est dire à quel point le rapprochement des deux compagnies aériennes a porté ses fruits. Mais ces résultats de bonne tenue doivent également beaucoup à la maîtrise de la facture pétrolière (3,59 milliards d'euros), dont la progression a été limitée à 32 % grâce à une politique de couverture efficace, alors que le prix du baril d'or noir a flambé d'au moins 40 % sur la période. Pour autant, Air France-KLM fait preuve d'un enthousiasme mesuré pour l'exercice en cours, justement à cause de la probable augmentation de la facture pétrolière. La compagnie aérienne ne se fixe donc pour objectif qu'un résultat d'exploitation au moins comparable à celui de l'année dernière, ce qui peut laisser craindre des pressions sur les marges. Toutefois, nous estimons que le groupe est peut-être un peu trop conservateur, puisqu'il dispose de leviers pour maintenir et améliorer sa rentabilité. Le mécanisme de « surcharge carburant » sur les billets devrait rapporter 200 millions d'euros, et les synergies issues de la fusion pourraient atteindre 465 millions cette année. Pratiquement de quoi compenser le renchérissement du kérosène, la facture totale devant s'élever, cette année, à environ 4,4 milliards d'euros.
NOTRE CONSEIL
ACHAT
Le titre Air France-KLM reste injustement décoté par rapport à ceux d'autres compagnies aériennes européennes, notamment British Airways. Nous restons donc acheteurs, avec un objectif de 22 euros (code : AF ; Comp. A, SRD).
AF 409
Air France-KLM - AF - FR0000031122 - Eurolist Compartiment A CAC Next20, Next 100, SBF 120, SBF 250, SBF 80, SRD - Compagnie aérienne ( code FTSE : 5059591 - Cies aériennes et aéroports )
Merci. j'ai un pb avec le JDF, peux-tu m'aider?
par MEN, dimanche 21 mai 2006, 14:50 (il y a 6750 jours) @ sacréfilou
Pour AF, Investir donne un PER 2005 de 5.2 (Capi.4744: / Béné.913:) je n'ai rien à signaler, ça a l'air juste.
Par contre le JDF de la semaine dernière (une semaine avant publication des résultats) donne pour AF un PER 2005 prévisionnel de 10.94 ! Plus du double!
Ceci étant dit sur bourso je retrouve à peu près la même chose que sur le JDF.
Peux-tu me dire si le JDF affiche toujours ce PER pour 2005 ou ils l'ont corrigé>
Merci