pour des projets de développement assez semblables.

Les fondateurs de VOLTALIA ont mené à partir de 1995 une expérience probante en construisant et exploitant une Centrale Hydroélectrique en Guyane revendue à EDF en 2003.

Cette expérience a été le point d’ancrage du lancement d’un plan de développement d’une activité de production électrique Verte Multi énergies dans 3 zones géographiques différentes.

1ère ETAPE : depuis 2003, elle a consisté à recenser les possibilités d’implantations de Centrales à base d’énergies hydraulique et biomasse en Guyane Française.

Sur une période de 3 ans d’études, il a été recensé, 9 sites de production électrique.

La filiale de VOLTALIA, VOLTALIA GUYANE, (précédemment dénommée SIG) créée en Février 2004 porte actuellement 5 usines en développement représentant environ 18MW de production :
- une usine biomasse de 2MW, dont la construction débutera fin 2006
- 4 usines hydroélectriques d’environ 4 MW chacune. La construction de la première opération débutera fin 2006.

2ème ETAPE : A la frontière de la Guyane Française, le Brésil s’est révélé une zone à fort potentiel permettant la combinaison favorable de divers facteurs – tout comme la Guyane Française - tels que le relief du terrain, la topologie, l'hydrologie et les conditions du marché.
Quatre sites d’implantation de Centrales hydroélectriques de 7 et 8 MW chacune, ont été validés dans l’état brésilien d’AMAPA qui est frontalier avec la Guyane. Ces opérations sont portées par la société brésilienne SAPEEL pour 30 MW de production.

Une dizaine d’autres sites sont en cours d’évaluation technique par VOLTALIA Brésil.

Une filiale de VOLTALIA, VOLTALIA Brésil, est en cours de création. Elle a signé un protocole d’achat de 100% de la société SAPEEL (audit juridique et financier en cours).

De plus, un partenariat en co-développement avec un fabricant de chaudières est en cours de discussion, en vue de développer la construction d’usines biomasse au Brésil.

3ème ETAPE : A partir de 2005, des actions prioritaires ont été menées dans le domaine éolien en France métropolitaine.

A ce jour, des partenariats de co-développement avec plusieurs sociétés spécialisées permettent à VOLTALIA de participer au développement d’une dizaine de projets éoliens représentant plus de 250 MW de production, dans les 5 années à venir.

Un partenariat a été signé dans le domaine de la biomasse pour la réalisation d’usines en France.

Certaines opérations pourront être réalisées à partir de fin 2006.

L’objectif de VOLTALIA est d’exploiter en 2013 des centrales électriques représentant une puissance de 500 MW .

4ème ETAPE : L’activité de Crédits Carbone et MDP.

Depuis début 2005, VOLTALIA a suivi la mise en place du marché relatif au Crédits Carbone en application des accords de KYOTO. VOLTALIA s’organise et se structure pour devenir un acteur incontournable dans la création et le négoce de Crédits Carbone.

la société n'aurait pas pu récolter tous les fonds nécessaires auprès d'investisseurs privés. En revanche, elle serait très activement en quête de nouveaux fonds. L'engouement actuel du marché pour cette valeur pourrait avoir un effet bénéfique pour attirer de nvx investisseurs et lever de nouveaux fonds.

Prendre un ticket de Voltalia aujourd'hui, c'est avant tout acheter un projet de développement avec tous les risques que cela comporte. Il s'agit donc de capital risque. Optimisme, oui mais associée à une certaine prudence qui va de paire avec le capital risque.

Cordialement, JF

» j'ai pris du Voltalia (MLVLT) à l'instant.

le marché semble porteur:
eolien
biomasse
crédit carbone

» j'ai pris du Voltalia (MLVLT) à l'instant.

si arbitrage il y a à faire entre voltalia et velcan, je le ferais clairement en faveur de velcan( que j'ai eu mais que j'ai revendu en mv, je compte bien reprendre ce qu'elle m'a pris un jour d'ailleurs ):

Les previsions que tu cites sont très lointaines et je ne pense pas qu'eux même savent prédire le développement réel de leur marché( pour l'intro ca fait mieux je pense). D'ailleurs avec le retard pris dans les développements de projets, je ne vois pas trop comment il pourrait retrapper le retard par rapport à velcan. En effet pour voltalia je ne vois qu'un site de biomasse en France, structurellement peu rentable sans aide du gouvernement, contrairement aux pays émergents ou les couts pour amener la biomasse sont mieux plus bas et ou le potentiel est bien plus grand( bcp d'endroit sans électricité, des usines poussent un peu partout,...) Lire l'avis d'un fondateur de velcan:
http://www.easybourse.com/Website/interview/382-jean-luc-rivoire-velcan-energy-sa.php

Pour ce qui est du Brésil, plus de nouvelles de voltalia apparemment depuis 2005...pour velcan, un des 2 fondateurs vit là-bas.
Au sinon, il suffi de regarder l'onglet actualité sur bourso...ca change par rapport à voltalia...déja 2 centrales opérationnelles en Inde( 15 MW),une autre bientôt opéationnelle,une centrale de biogaz( 5500 méthaniseurs pour produire du méthane pour chauffage et des crédits carbone), 3 licences permettant la construction de centrales électriques pour 32.5 MW( attention les MW de la biomasse ne sont pas équivalent à ceux de l'éolien, rapport de 6x je pense plus ou moins). En attendant que les projets se concrétisent au Brésil. Ca a l'air moins facile tant pour velcan que pour voltalia au Brésil soit dit en passant.

Pour moi donc, la différence de CB est tout à fait justifiée mais le risque moins élevé à profil identique, eu égard à la différence de résultats obtenus jusqu'ici. D'ailleurs si tes infos sont bonnes,la difficulté de réunir des fonds par placement privé de voltalia est révélateur (2 placements réussis pour velcan...), car le secteur n'est pas bcp plus en vogue que qq temps auparavant.

» la société n'aurait pas pu récolter tous les fonds nécessaires auprès
» d'investisseurs privés. En revanche, elle serait très activement en quête
» de nouveaux fonds. L'engouement actuel du marché pour cette valeur
» pourrait avoir un effet bénéfique pour attirer de nvx investisseurs et
» lever de nouveaux fonds.
»
» Prendre un ticket de Voltalia aujourd'hui, c'est avant tout acheter un
» projet de développement avec tous les risques que cela comporte. Il s'agit
» donc de capital risque. Optimisme, oui mais associée à une certaine
» prudence qui va de paire avec le capital risque.
»
» Cordialement, JF