Adidas .....................24
AGF..........................12
Alstom.....................26
Alten........................13
Atos Origin ..............25
Axa ..........................21
Belvédère ................11
Bigben Interactive...19
Bouygues ................26
Capgemini...............13
Carrefour.................21
Compagnie
des Alpes...............16
Dassault Systèmes..12
Deutsche Bank........15
EADS..........................9
Eiffage .....................14
Esi Group.................16
Esker .......................18
Euro Disney .............18
Euronext..................14
Eutelsat ...................25
Fromageries Bel......18
Géophysique .............3
GL Events ................25
Idi.............................19
Imerys .....................22
Infogrames..............18
Inter Parfums ..........22
Lafarge ....................13
Lagardère SCA ........20
Latécoère ................18
Legrand ...................11
Maisons
France Confort ......16
Marie Brizard...........11
M6 ...........................25
Nike .........................24
Penauille
Polyservices ..........18
Publicis Groupe.......14
Puma.......................24
Renault....................21
Rhodia .....................22
Royal Dutch...............2
Sanofi-Aventis...........9
Schneider Electric...11
Staff and Line ..........19
Suez.........................13
Technip......................2
TF1 ..........................25
Thomson .................14
Total...........................2
Trader Classified
Media NV...............14
Ulric de Varens ........20
Unilever ...................15
Unilog ......................14
Vinci ........................14
Vranken-Pommery
Monopole ..............16
Zodiac........................8

merci

http://www.boursorama.com/forum/message.phtml>file=346482386&pageForum=1

Les détenteurs d’actions Marie
Brizard devraient voir
leur patience bientôt récompensée
: l’Autorité des marchés financiers
(AMF) a en effet accordé
son aval, le 2 mai, à l’OPA simplifiée
que doit lancer Belvédère au
prix de 141 € par action. En attendant,
la cotation des actions
des deux sociétés reste suspendue.
Cela n’a pas empêché Jacques
Rouvroy de présenter les résultats
de son entreprise de vodka. Il en
ressort clairement que c’est le
plus petit et le moins rentable qui
avale le plus gros.
Belvédère a réalisé l’an dernier
un chiffre d’affaires (hors accises
sur les alcools) de 146,9 millions
d’euros (+ 4 %), principalement
dans la vodka en Pologne, où sa
part de marché atteint 30 %. Les
ventes de Marie Brizard se sont
élevées à 334,1 millions, ce qui
aboutit à des facturations cumulées,
pour le nouveau groupe, de
481 millions, soit un peu plus de
la moitié d’une affaire comme
Rémy Cointreau.
Belvédère a augmenté de 33 %
son bénéfice opérationnel, à
12,5 millions, ce qui lui confère
une marge de 8,6 %, quand celle
de sa nouvelle filiale bordelaise a
atteint 9,7 %. En raison de
charges exceptionnelles diverses,
Belvédère a accusé une perte nette
de 1,2 million, contre un profit
de 11,9 millions pour Marie Brizard.
Cette dernière apporte une présence
géographique élargie à la
France et à l’Espagne à Belvédère,
qui doit par ailleurs attaquer les
Etats-Unis avec le soutien de son
actionnaire de référence, CL Financial,
le conglomérat de Trinidad.
L’acquisition d’une nouvelle
marque par Belvédère serait en
outre imminente, avec un financement
assuré par le reliquat des
fonds levés lors de la prise de
contrôle de Marie Brizard, soit
160 millions par émission obligataire
et 265 millions par emprunts,
avant cessions d’actifs.
A cette occasion et par l’exercice
de bons de souscription, CL Financial
a porté sa participation
dans Belvédère de 25,7 % à
39,3 %, ce qui l’oblige à lancer
une OPA sur la société française,
à un prix encore inconnu. Mais
Belvédère restera en Bourse. ■
Cécile Le Coz
Feu vert à l’OPA de Belvédère
sur Marie Brizard
FUSION. Le producteur de vodka change de
dimension en prenant le contrôle du groupe
bordelais, plus gros et plus rentable.
NOTRE CONSEIL
On apportera ses titres Marie
Brizard (code mnémo : MBZ) à Belvédère
(BVD) le moment venu.

UN COUP D’AVANCE Résultat du premier trimestre de Géophysique
Géophysique a beau appartenir
comme Technip au secteur
parapétrolier, il ne rencontre pas
les mêmes problèmes. Christophe
Barnini, le responsable de
la communication du groupe,
nous l’a confirmé vendredi dernier
: « Nous n’avons aucun souci
d’approvisionnement. Nous ne
sommes pas dans une logique industrielle.
»
Ainsi, Géophysique, le spécialiste
des équipements et des
études sismiques (échographies
du sous-sol et interprétation des
données pour les compagnies
pétrolières), n’a pas à souffrir,
comme Technip, d’une pénurie
de matériels et d’équipements
(voir page 2).
Les résultats du premier trimestre
devraient donc être de
bonne facture, à l’image de ceux
de WesternGeco, la filiale sismique
de Schlumberger, dont les
profits ont bondi de 150 % entre
janvier et mars.
La filiale Sercel devrait continuer
à afficher une forte croissance,
assortie de bonnes
marges, et les services devraient
être bien orientés également.
Après ses récentes opérations de
refinancement, les frais financiers
devraient avoir reculé.
Quant au carnet de commandes,
qui s’était établi à près
de 990 millions de dollars au
1er mars, il devrait dépasser le
milliard de dollars.

NOTRE CONSEIL
L’action, qui n’arrête pas de
progresser, pourrait très vite retrouver
son plus-haut historique du
13 mai 1998, à 150,61 €. Nous relevons
notre objectif de cours à
160 €.

LATÉCOÈRE
Décollage du chiffre d’affaires
Le cours de l’action Latécoère,
fabricant d’équipements aéronautiques
(tronçons de fuselage,
portes pour Airbus, Embraer…), a
connu une hausse de 2,61 % mardi
2mai à la suite de la publication
des facturations du premier trimestre.
En effet, Latécoère a annoncé
une augmentation de 29%
de son chiffre d’affaires sur la période,
à 96,8 millions d’euros.
Fort de ce bon début d’année, le
groupe a révisé à la hausse sa prévision
de croissance du chiffre
d’affaires annuel, qui devrait être
supérieure à 15 % en 2006. En
outre, au 31 décembre 2005, le
portefeuille de commandes de la
société représentait près de quatre
années de ventes, ce qui reste important.
L’équipementier bénéficie
de la montée des cadences de production
de ses clients Embraer,
Airbus et Dassault. En revanche,
le résultat sera affecté par les
fortes dépenses en recherche et
développement engagées par
l’équipementier (autour de 20 %
du chiffre d’affaires), par la hausse
du prix des matières premières
(notamment de l’aluminium et du
titane) ainsi que par les charges
provenant de la délocalisation de
ses usines vers des pays à bas
coûts de production comme la Tunisie,
le Brésil ou encore la République
tchèque. Les frais de ces
transferts devraient peser sur les
exercices 2006 et 2007.
Néanmoins, nous tablons pour
notre part sur un bénéfice de
24,6 millions d’euros pour 2006,
soit une hausse confortable de
tout de même 20 %. F.M.■
NOTRE CONSEIL
Le titre a fortement chuté
depuis début janvier dans un
contexte de marché boursier à la
hausse. Nous restons acheteurs
avec un objectif de cours de 40 €
étant donné la qualité de l’affaire
et l’importance du carnet de
commandes. De plus, le PER
2006 est de 11,3 fois, ce qui est
correct par rapport au reste du
secteur

TRADER CLASSIFIED MEDIA
Vers une vente par appartements de la société
Les faits. L’éditeur de journaux
de petites annonces a cédé,
pour 540 millions d’euros, ses activités
au Canada. Cette zone représentait,
en 2005, 36 % du chiffre
d’affaires et 44 % de l’excédent
brut d’exploitation du groupe.
L’analyse. A la suite de cette
cession, Trader Classified Media
se retrouve à la tête d’une activité
en Europe (France, Espagne,
Suisse et Italie) et en Amérique
latine (chiffre d’affaires de
199 millions d’euros et excédent
brut d’exploitation de 41 millions),
d’une participation de
15 % dans un site Internet chinois
(assorti d’une option d’achat
pour en prendre le contrôle),
d’une participation de 13 % dans
TME (actifs du groupe en Russie
introduits à la Bourse de
Londres) et d’une trésorerie nette
de 600 millions d’euros. L’objectif
est de céder les dernières activités
et de redistribuer la trésorerie
aux actionnaires, sans doute sous
la forme d’un rachat de la totalité
des actions.
Selon nos estimations, les activités
européennes et sud-américaines
peuvent être évaluées sur
la même base que les actifs canadiens
(16 fois l’excédent brut d’exploitation).
Leur rentabilité est
moins forte mais le poids du
chiffre d’affaires réalisé sur Internet
est plus important.
Au total, la valorisation de —
Trader Classified Media ressort à
1,4 milliard d’euros, soit aux alentours
de 14,50€par action. ■
J. F. L.
NOTRE CONSEIL
Acheter pour bénéficier du
reversement d’une trésorerie que
nous estimons, à terme, autour
de 14,50 € par titre.
Prochain rendez-vous.
L’assemblée générale des actionnaires
aura lieu le 22 juin prochain,
à Schiphol, aux Pays-Bas.

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