jdf: rhodia et casino merci bcp
voili voilou
Huit valeurs recommandées par l'analyse graphique
Le secteur de la distribution en général, et Carrefour en particulier, n'a pas bénéficié du mouvement de hausse général des marchés boursiers intervenu depuis 2003.
Après avoir perdu 70 % de sa valeur entre novembre 1999 et mars 2003, cette valeur a opéré une timide reprise qui s'est transformée en un vaste mouvement d'accumulation entre 33 et 47 euros.
La configuration à moyen terme dispose aujourd'hui de nombreux indicateurs techniques positifs avec en tout premier lieu une orientation haussière des moyennes mobiles à 50 et 150 périodes.
On pourra initier des positions haussières au premier support significatif de 38,50 euros avec la résistance de 42 euros comme premier objectif.
La rupture de ce niveau ouvrirait la porte à deux objectifs beaucoup plus ambitieux fixés autour de 47 euros puis de 56 euros. Le potentiel haussier s'échelonne donc entre + 6, + 18 et + 40 %.
(DC : 39,66 ; MM 50 : 37,8 ; MM 150 : 38,2 ; code : CA ; Comp. A, SRD)
Depuis le début du mois d'octobre, le secteur automobile est fortement malmené en bourse. Peugeot n'a pas échappé à la règle puisque l'action gagne péniblement 5 % depuis le début de l'année.
Sur le très long terme, sa configuration demeure néanmoins positive au-dessus du support des 45 euros, sur lequel elle avait construit une figure graphique en double bottom entre décembre 2004 et avril 2005. Sur le moyen terme, la phase de correction actuelle reste active au-dessous de la résistance de 52-53 euros.
On pourra effectuer une prise de position à l'achat en deux temps. Une première moitié sera prise autour du support long terme de 45 euros. La position sera complétée au-dessus de 52-53 euros. On visera dans ce scénario un objectif de cours compris entre 58 et 60,50 euros.
Au-dessous de 45 euros, la valeur s'engagerait dans la correction de tout le cycle haussier initié en avril 1997 avec 35 euros comme objectif.
(DC : 48,76 ; MM 50 : 50,80 ; MM 150 : 51,16 ; code : UG ; Comp A, SRD)
Si le secteur de la distribution repartait à la hausse, Casino ferait très certainement partie des grandes valeurs bénéficiaires du mouvement.
Plombée depuis novembre 1999, elle construit depuis huit mois une figure d'accumulation entre les bornes étroites de 54 euros et 60,50 euros. La sortie par le haut de cette figure constituerait un signal très positif qui autorisera une prise de position haussière.
A la différence de Carrefour, on attendra la rupture de la première résistance pour investir car les moyennes mobiles à 50 et 150 jours sont encore toutes deux négatives.
Les deux premiers objectifs dans ce scénario seraient fixés sur 69 euros et 82 euros, soit un potentiel haussier rapide compris entre 23 et 50 % par rapport au cours actuel.
A contrario, au-dessous de 54 euros, le cycle baissier de fond reprendrait le dessus avec en toile de fond un probable retour sur le plus bas de mars 2003 autour de 47,80 euros, voire sur le support très long terme majeur de 35 euros.
(DC : 56,10 ; MM 50 : 59,20 ; MM 150 : 63,10 ; code : CO ; Comp. A, SRD)
En configuration moyen terme positive depuis le début du mois de décembre, Rhodia revient pour la sixième fois depuis janvier 2005 tester la résistance majeure de 1,90 euro.
La rupture par le haut de cette figure graphique validerait définitivement la sortie du cycle baissier long terme qui sévit depuis janvier 2000.
A l'époque, la valeur culminait à plus de 15 euros.
On initiera une position haussière au-dessus du support moyen terme de 1,65 euro que l'on renforcera au dessus de 1,90 euro.
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mareva
voili voilou
Le premier objectif dans ce scénario serait fixé autour du retracement de 50 % du cycle baissier précédent soit autour de 2,50 euros. L'ampleur du potentiel haussier s'établit à près de 40 %. Dans une configuration aussi volatile, on initiera une position réduite par rapport aux prises de position habituelles.
(DC : 1,77 ; MM 50 : 1,65 ; MM 150 : 1,63 ; code : RHA ; Comp. B ; SRD)
(NDRL : Au niveau fondamental, Le Journal des Finances est réservé sur ce titre très risqué.)
Malgré une progression fulgurante de 900% enregistrée entre mars 2003 et octobre 2005, cette valeur parapétrolière reste très éloignée de son plus haut historique de 191 euros atteint en septembre 1990.
Depuis octobre, la valeur s'est engagée dans une phase corrective qui, au plus bas de novembre, lui aura fait perdre plus de 25 % de sa valeur.
Le soutien des 73 euros pourrait servir de base au redémarrage à la hausse de la valeur.
On pourra initier une position haussière pour viser un retour dans un premier temps sur 90 euros puis en cas de rupture, une extension haussière avec les plus hauts de mai 1998 autour de 150 euros en point de mire.
Au-dessous des 73 euros, on se mettra à l'écart en attendant qu'une nouvelle configuration potentiellement positive se mette en place. Le risque dans ce scénario baissier de voir la valeur glisser vers 67 euros puis vers 50 euros, soit le retracement de 50 % de tout le cycle haussier, est très élevé.
(DC : 75,20 ; MM 50 : 77,40 ; MM 150 : 74,60 ; code : GA ; Comp. B ; SRD)
En progression constante depuis mars 2003, l'action Total dispose encore d'une confortable marge de progression. Ses résistances long terme se situent autour de 240/250 puis de 320 euros.
Depuis la fin du mois de novembre, elle construit une figure prometteuse d'accumulation au-dessus du support de 210 euros.
Ce niveau, renforcé par la présence de la moyenne mobile à 150 jours, pourrait servir de point de départ à une nouvelle tendance haussière de forte amplitude. Evidemment liée à l'évolution du prix du pétrole, la configuration moyen terme de la valeur s'inverserait rapidement en cas de rupture de 56 dollars le baril. Au-dessus de 210 euros sur l'action Total et de 56 dollars le baril, on se positionnera à l'achat sur la valeur. Au-dessous de 210 euros, l'action entrerait dans une phase de stagnation avec comme principal support le niveau de 200 euros, soit le niveau de retracement de 50 % de la vague de hausse initiée à 170 euros en mai 2005.
(DC : 213,6 ; MM 50 : 213,5 ; MM 150 : 213,3 ; code : FP ; Comp. A SRD)
Alors que des valeurs comme LVMH ou Hermès ont enregistré de fortes progressions en 2005, L'Oréal n'a quasiment pas varié depuis le mois de mars dernier.
Sa configuration à très long terme étudiée en graphique hebdomadaire fait ressortir des signaux positifs.
La valeur a très bien rebondi sur le niveau de 59,50 correspondant au retracement de 50 % de la hausse initiée en octobre 2004 et la forme des moyennes mobiles longues est très positive.
On pourra se positionner à l'achat avec un ordre stop de protection autour de 59 euros pour jouer une hausse rapide sur la résistance moyen terme majeure comprise entre 67 et 70 euros. Au-delà de ce niveau, la tendance long terme passerait franchement positive avec 80, 88 et les plus hauts historiques autour de 95 euros en toile de fond. Au-dessous de 59,50 euros, la tendance moyen terme passerait de positive à neutre, la valeur se maintenant dans le couloir long terme de 50 à 70 euros dans lequel elle évolue depuis janvier 2003.
(DC : 56,10 ; MM 50 : 59,20 ; MM 150 : 63,10 ; code : OR ; Comp. A, SRD).
(NDRL : au niveau fondamental, Le Journal des Finances adopte une recommandation réservée sur ce titre en raison de son manque de visibilité et de sa valorisation élevée.)
De juillet à novembre, Valeo a perdu plus de 20 % de sa valeur. Dans le même temps l'indice CAC 40 progressait de 8 %.
Cette sous-performance pourrait prochainement prendre fin et laisser la place à un mouvement inverse.
Une forte zone de résistance s'est construite entre 32,50 et 33 euros. Elle correspond à un pivot graphique important ainsi qu'aux moyennes mobiles à 50 et 150 périodes.
Sa rupture constituerait un signal acheteur intéressant avec à la clé une progression sur les objectifs de 35 et 38 euros, soit un potentiel compris entre 6 et 15 %.
Sur le long terme, au-delà de 38 euros le potentiel dépasse 50 % avec une zone objectif comprise entre 48,50 et 53 euros.
A la baisse, au-dessous de la borne basse de la zone de fluctuation fixée à 30,50 euros, la valeur repartirait dans son cycle baissier principal avec 27 euros en ligne de mire.
(DC : 31,40 ; MM 50 : 31,5 ; MM 150 : 32,8 ; code : FR ; Comp. A, SRD)
(NDRL : au niveau fondamental, Le Journal des Finances est réservé sur ce titre en raison des difficultés persistantes du secteur automobile :
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mareva
merci mareva