debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
bonjour à tous.Nous constatons tous ces dernières la sous perf. des smalls....bon ca arrive souvent en novembre et décembre , mais j'ai l'impression qu'elles ne seront + à la mode en 2006.
Pourquoi : elles ont très bien performé ces dernières années et font fait notre bonheur.Conséquences , leur valorisation a fortement monté et se retrouve presque au niveau des bigs ( qui elles sont liquides et permettent de se retirer facilement en cas de besoin ).
Elles travaillent beaucoup en france , qui risque de souffrir d'une croissance atone en 2006 , d'ailleurs on constate une croissance en berne sur les industrielles franco francaises.
Autre handicap , pour les franco francaises , elles ne bénéficient pas de la hausse du dollar , voire la subisse.
Et vous quelle votre opinion >
merci d'avance et bon WE
ayrton
debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
tu as résumé l'essentiel. je situe la fin du mouvement au 1er trimestre 2005, j'ai cédé mes dernieres grosses lignes de smalls à ce moment. depuis je ne trouve pas grand chose dans mon tamis mais j'utilise des filtres tres serrés il est vrai
outre les arguments que tu as avancés, on peut ajouter la fin du modèle de gestion "value" car la cote a été archi balayée par les fonds existants ou créés pour exploiter cette mode. or le marché des valeurs décotées n'est pas extensible à l'infini... résultat; les valorisations se sont tendues et à ce niveau hisoriquement élevé, je préfère autant prendre des titres du cac, moins chers et plus liquides. la liquidité est un facteur immportant qu'on ne prend souvent en compte que lorsqu'il est trop tard...
bien sûr, il y a et il y aura toujours des opportunités sur les smalls, n'importe quel commercial en fcp vous le dira. Mais les chausse-trapes sont bien plus nombreux encore sur des valeurs qui ont fait fois 2, fois 4, fois 10... l'exemple de VET est édifiant à cet égard, il y en aura sans doute beaucoup d'autres.
il faudrait un bon krach sanglant ou une croissance du PIB de 3 % pour me faire changer d'opinion. En attendant, ne vous étonnez pas si vous avez le sentiment de manquer de chance ou d'avoir perdu un peu la main ces derniers mois...
debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
Oui, mon portif composé essentiellement de smcaps a pas mal morflé...cependant j'essaie de me concentrer sur 2/3 titres extrèmement illiquides qui ne peuvent pas interesser par définition les FCP mais dont je sais qu'ils sont extrèmement sous valorisés. Comme je me les garde pour mon portif the bull 2006, je préfère ne pas les communiquer
J'ai aussi encore liquidé des positions et je suis plus liquide que jamais.
Cependant d'ici fin décembre on peut toujours miser sur ZCI (potentiel de 100% selon moi).
Il y a de belles valeurs de croissance aussi tel Avenir Numérics ou en retournement tels Net2s ou Reponse. Serma me semble interessante aussi (j'ai recu le rapport pour l'AG). Econocom a des ratios très bas et je pense que c'est une valeur vraiment pas risquée.
On peut également miser sur la formation d'une bulle verte avec un titre comme Théolia qui génère une croissance phénoménale (mais est très cher payé aussi).
A creuser donc...
Francois16
utilisation de la biomasse
Que pensez-vous de Velcan Energy qui produit de l'électricité à partir de la biomasse >
"La biomasse séduit la Bourse à Paris
6 octobre 2005
La Tribune
Cette énergie renouvelable, qui valorise les déchets végétaux, permet de produire électricité et chaleur tout en restant neutre sur le CO2.
Grâce à l'envolée du prix du pétrole, les énergies renouvelables ont la cote en Bourse. La journée d'hier l'a confirmé. L'action du fabricant danois d'éoliennes Vestas a ainsi gagné 8,49 % après avoir remporté une importante commande américaine. À Francfort, cinq jours après le succès d'ErSol, un autre producteur d'énergie photovoltaïque, Q-Cell, s'est apprécié de 26,71 % pour sa première journée de cotation. La demande d'actions Q-Cell, qui est parvenu à lever 242 millions d'euros, a été 25 fois supérieure à l'offre. Il s'agit de la cinquième introduction de sociétés d'énergie solaire à Francfort en attendant deux autres projets à venir avant la fin de l'année.
Et la France n'est pas en reste. Le producteur d'énergie éolienne Theolia, coté sur le marché libre, intéresse investisseurs français et étrangers. Son action a bondi de 116 % en 2005. Demain, un nouvel acteur fera son entrée, également sur le Marché Libre : Velcan Energy. Cette jeune société, spécialisée dans la production d'électricité à partir de la biomasse, développe un modèle de centrale capable d'utiliser les déchets agricoles, ceux du bois et la balle de riz. Le groupe fabrique en Inde ces centrales et les vend dans ce pays et en France. De plus, grâce à sa présence dans un projet indien, il va pouvoir récupérer des crédits carbones négociables dans les pays industrialisés.
Avenir prometteur. La biomasse, déjà à l'honneur à la Bourse de Paris, avec Séchilienne, producteur d'énergie à partir de la bagasse (déchet de canne à sucre), a un avenir prometteur. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), elle représentait déjà en 2002 11 % - sur un total de 14 % pour l'ensemble des énergies renouvelables - de la consommation mondiale d'énergie en 2002, une part qui devrait se maintenir à l'horizon 2030 à 10 %. Il faut cependant distinguer la biomasse traditionnelle, utilisée pour se chauffer et s'alimenter, dont l'importance devrait faiblir avec l'urbanisation croissante, et la biomasse commerciale, à usage industriel. Celle-ci permet de produire électricité et chaleur (cogénération). Selon l'AIE, sa part devrait tripler dans les trente prochaines années.
Aujourd'hui, elle compte pour 1 % à 3 % de la production d'électricité dans les pays de l'OCDE. Et devrait représenter 2 % de la production mondiale en 2030, avec des pointes à 4 % dans les pays européens. Elle a aussi l'avantage de présenter un bilan neutre en terme de CO2, un atout à l'heure du protocole de Kyoto. Le ministère de l'Industrie français va d'ailleurs lancer "un appel d'offres pour la production de 300 mégawatts d'électricité à partir de biomasse", équivalant à un tiers de la production d'une centrale nucléaire.
Romaric Godin et Robert Jules
Velcan Energy, une start-up ambitieuse Si le chiffre d'affaires de Velcan ne devrait pas dépasser 2 millions d'euros en 2005, le groupe vise l'équilibre de ses comptes dès l'an prochain et des ventes de... 177 millions d'euros en 2011. Elle devrait lever 5 à 15 millions d'euros dans les prochaines semaines suivant son inscription directe sur le marché libre. Le groupe, qui a actuellement trois projets signés en France et un en Inde, veut s'implanter sur les marchés espagnol, brésilien et même chinois."
debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
» bonjour à tous.Nous constatons tous ces dernières la sous perf. des
» smalls....bon ca arrive souvent en novembre et décembre , mais j'ai
» l'impression qu'elles ne seront + à la mode en 2006.
» Pourquoi : elles ont très bien performé ces dernières années et font fait
» notre bonheur.Conséquences , leur valorisation a fortement monté et se
» retrouve presque au niveau des bigs ( qui elles sont liquides et
» permettent de se retirer facilement en cas de besoin ).
» Elles travaillent beaucoup en france , qui risque de souffrir d'une
» croissance atone en 2006 , d'ailleurs on constate une croissance en berne
» sur les industrielles franco francaises.
» Autre handicap , pour les franco francaises , elles ne bénéficient pas de
» la hausse du dollar , voire la subisse.
»
» Et vous quelle votre opinion >
» merci d'avance et bon WE
» ayrton
ok pour cette analyse . elle est de surcroit partagée par certains pros fernet richelieu verdickt l'échiquier (ce jour à actionnaria).cpdt tt n'est pas hors de prix et croissance spécifique ou retournement aidant qq valeurs small ou mid méritent leurs reco:
fernet cnim cff(pps) geodis
verdickt itp pps(cff) takkt en allemagne
autre intervenant sbt saveur france et srtt crl.
à mediter.....
OK mais...
Outre la gestion value, l interet des smalls, c est de pouvoir comprendre leurs comptes et que certaines offrent des rendements honorables. Je ne trouve pas cela sur les bigs et celles du CAC... et n est donc plus trop d idees...
Au passage, un petit bonjour du Chili (d ou clavier qwerty et l absence d accent et d apostrophe !)
A +
Tout à fait d'accord
J'aurais beaucoup de mal à reprendre aujourd'hui des "big caps". Et je ne vois pas de sous-perf des smalls aussi flagrante que vous le dites. Je n'ai que des small dans mon portif à une exception près (une mid cap - Delachaux) et globalement, s'il y a eu une poussée de fièvre à la mi-octobre qui est vite retombée, il fait à peu près comme l'indice mid & small 190 (MS190), qui bat largement le CAC 40. Et si on compare ces indices sur les six derniers mois ou les trois derniers mois, aussi bien le MS190 que le CS90 font mieux que le CAC40.
Alors ce n'est pas parce qu'ils font moins bien depuis un mois qu'on peut parler de changement de tendance. Cela me parait prématuré. Par contre c'est effectivement ce qu'on lit dans la presse. Est-ce un voeu des gérants qui souhaitent que ça change>
Je rappelle que l'an dernier, à la même époque, beaucoup prédisaient une stagnation des smalls pour l'année 2005 (Tout est trop cher, pas d'idées, etc...). Des stagnations comme celle-là à plus de 30%, je signe tout de suite pour 2006. Cela ne veut pas dire que ça n'arrivera pas. Je veux seulement dire que ce n'est pas aussi évident.
--
jean-marie
les gérants préfèrent les big... Leurs 7 favorites :
Les sept titres préférés des gérants
13 novembre 2005
Le Monde
Pour la cinquième année consécutive, Le Monde a demandé à des gérants de sicav et de fonds communs de placement (FCP) d'actions françaises de désigner les titres sur lesquels ils conseillent d'investir.
Vivendi Universal. Eric Bleines, gérant chez CCR Actions, qui s'intéresse à la valeur réelle des entreprises recherche avant tout des valeurs décotées. Il recommande ainsi Vivendi Universal. Selon lui, le redressement de Canal+, filiale du groupe de communication, devrait inciter les analystes à mieux valoriser les activités médias de Vivendi. D'autant que la récente offre de l'opérateur Telefonica sur O2 a confirmé la valeur de sa participation dans SFR. Enfin, la réduction de l'endettement devrait entraîner par ricochet une augmentation de la valeur de la holding et du même coup une remontée de l'action.
Ilog. Cet éditeur de logiciel, qui développe des composants utilisés par la plupart des poids lourds du secteur, a les faveurs de Roger Polani, responsable de la gestion collective chez la Société parisienne de conseil et de gestion (SPCG). Ses coûts étant majoritairement fixes, une accélération de ses ventes de licences entraînerait mécaniquement une forte augmentation de sa rentabilité. Au cours actuel, la société est valorisée à seulement 1,5 fois son chiffre d'affaires. A terme, elle fait figure de proie pour un grand éditeur comme l'allemand SAP, ce qui confère au titre un attrait spéculatif.
SR Teleperformance. Romain Burnand, gérant chez Moneta Asset Management, parie sur le numéro deux mondial des centres d'appels, qui profite de la volonté des grandes entreprises de sous-traiter leur service après-vente et leur assistance par téléphone. SR Teleperformance enregistre une croissance de ses ventes de plus de 10 % par an, qu'il complète par des acquisitions ciblées. Il devrait continuer de profiter de la consolidation du marché des centres d'appels.
Bénéteau. Marie-Ange Verdickt, gérante à la Financière de l'échiquier, d'investir dans cette valeur, à condition d'attendre trois ans pour en récolter les fruits. Le premier fabricant mondial de bateaux à voile, dont la capitalisation boursière représente 18 fois les profits attendus pour cette année, devrait enregistrer en 2006 une croissance de 7 % à 8 % de son chiffre d'affaires. Fort d'une trésorerie de 145 millions d'euros, Bénéteau pourrait procéder à des acquisitions pour accélérer son développement sur le marché des bateaux à moteur.
Vinci. Malgré une forte hausse depuis deux ans, le titre du groupe de bâtiment et travaux publics devrait continuer de s'apprécier, estime Gérard Augustin-Normand, président de Richelieu Finance. En prenant le contrôle des Autoroutes du sud de la France (ASF), Vinci - qui en détient déjà 23 % - percevrait la moitié des péages versés en France. Les recettes provenant des concessions représenteraient ainsi 80 % de son activité. Une telle opération ferait de Vinci une valeur incontournable pour les gérants de fonds européens. Toutefois, si le titre paraît cher, sa valorisation est inférieure à celle de ses concurrents espagnols.
France Télécom. Après une année 2005 difficile pour les opérateurs historiques, l'action du groupe français devrait se reprendre en 2006, selon Jean-Charles Mériaux, gérant chez DNCA Finance. France Télécom continue de voir ses parts de marché s'éroder dans la téléphonie fixe, mais ce recul est compensé par l'essor du mobile et de l'ADSL. Son chiffre d'affaires devrait progresser de 2,5 % à 3 % en 2005. " L'excédent de trésorerie dégagé par France Télécom représente 11 % de sa capitalisation boursière, c'est considérable ", souligne M. Mériaux. L'augmentation du dividende, qui passera à 1 euro en 2006, portera le rendement de l'action à un niveau attrayant de 4,5 %.
Air France. Gérant chez Tocqueville Finance, Marc Tournier croit au potentiel de l'action de la compagnie aérienne. Selon lui, la crise de l'énergie va assainir le marché du transport aérien en éliminant les acteurs les plus fragiles. " En outre, l'obsession de la sécurité profite aux grandes compagnies au détriment des petites ", ajoute-t-il. La hausse du kérosène, certes pénalisante, est en partie compensée par la hausse des tarifs. Depuis le rapprochement avec KLM, Air France a régulièrement dépassé ses prévisions. L'Etat ne détenant plus que 18 % du capital, le groupe apparaît désormais comme une compagnie privée, au même titre que British Airways ou Lufthansa. Si sa rentabilité reste inférieure à celle de ces deux rivaux, elle devrait progressivement s'en rapprocher.
les paris billets de loterie du JDF
leon de bruxelles
modérément valorisé, à 11,9 fois le bénéfice attendu en 2006, le titre revêt également une dimension spéculative indéniable. Objectif : 0,60 euro (code : LEON ; Comp. C).
BULL
le groupe va, d'ici à la fin de l'année, regrouper ses actions sur la base d'une nouvelle pour dix anciennes. Objectif : 1 euro (code : BUL ; Comp. B).
micropole univers
la valeur d'entreprise rapportée au chiffre d'affaires ressort à 0,56 fois, contre une moyenne de 0,8 à 1 fois dans le secteur.
Objectif : 2 euros (code : MUN ; Comp. C).
millimages
l'animation et la distribution de films sont des métiers volatils. En conséquence, le placement est risqué, mais mérite d'être tenté.
Premier objectif de cours à 2,10 euros (code : MIL ; Comp. C).
medasys
Medasys est certes risqué, mais l'action dispose d'un fort potentiel. Objectif : 3 euros (code : MED ; Comp. C).
debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
je suis d'accord avec le fait que les mids et small sont maintenant très correctement valorisées (sauf encore quelques cas particuliers)avec probablement un risque plus important de correction en cas de dégradation du marché ou de mauvaises nouvelles ponctuelles sur une société. Ces dernières semaines nous ont offertes des -20% sur une séance pour plusieurs titres qui font froid dans le dos. Les hausses ayant, somme toute été conséquentes depuis 2-3 ans (à juste titre) sur beaucoup de valeurs, la profondeur des prises de bénéfices peuvent être à la hauteur de la hausse.
D'autre part, on lit effectivement de plus en plus deci delà que certaines bigs sont sous-valorisées.
exemple : le cas FTE qui fait l'objet d'un consensus général : wargny :
"Suite avant hier au discours prudent quant à lévolution future de ses marges du groupe Vodafone qui, rappelons le, se bat en particulier avec un marché japonais difficile mais formateur, France Télécom a encore décroché de près de 5% ces deux derniers jours pour atteindre des niveaux de cours qui nous semblent injustifiés et incompréhensibles. Hier en milieu de matinée, à 21 , France Télécom était le moins bien valorisé des opérateurs télécoms européens. Le groupe se payait même le luxe davoir des ratios
inférieurs à ceux de BT qui, comme on le sait, en loupant le train du mobile ne dispose pas du profil le plus sexy :
Le tableau ci-dessus se passe selon nous de commentaires. Nous ne comprenons pas comment un opérateur tel que France Télécom puisse être autant délaissé par le marché alors quil dispose de positions clés sur le mobile et lInternet en France, en Angleterre, en Espagne et en Pologne, quil est le premier à bien avoir compris quil lui fallait rapatrier sa filiale Internet pour mieux réussir la bascule du fixe vers lInternet (56% de part de marché sur les nouveaux abonnés ADSL sur le T3 !) et quil sera un des premiers en Europe à offrir dans un proche avenir une vraie convergence entre le fixe et
le mobile. La mode aujourdhui est de ne plus croire dans les télécoms et en France Télécom en particulier. Il est difficile daller contre les effets de mode, surtout compte tenu de la capitalisation boursière de lopérateur français. Cependant il est fort probable quà un moment ou un autre un déclic se produise et le titre pourrait réaliser une des meilleures performances de lannée 2006 (en ce qui concerne les grosses capitalisations). Reuters/Bloomberg FTE.PA/FTE FP
la "décote" de certaine bigs (on peut citer aussi vivendi) est donc probablement une réalité. Le passage à l'acte est, en tout cas pour moi, plus délicat, m'étant pris des bonnes vestes avec des soit disant valeurs de famille du type michelin dans les années 1999-2000.
Ceci ajouté au fait que les zinzins font le marché ce qui rend l'évolution des cours le plus souvent imprévisible (toujours l'exemple récent de FTE)
Intuitivement, j'ai l'impression qu'il faudra quand même se résoudre à y aller
debat les smalls vont-elles rester à la mode ? perso...
Personnellement, même si on a pu assister à un gros rattrapage de valorisation, je pense que les smalls et midcaps ont encore un bon avenir devant eux. Des excès de survalorisation ont eu lieu ces derniers temps et la correction a été violente en cas de déception : 123 MUL, prismaflex, ginger, vet, gifi ...
Beaucoup de valeurs et surtout de secteurs me semblent très bien valorisés en raison de la conjoncture : automobile, immobiliers ...
Il faut donc chercher les secteurs qui ont ou vont avoir le vent en poupe afin de se rabattre sur sociétés concernées.
Les fonds smalls et midcaps ne disparaitront pas demain et assureront encore l'attrait dans ce secteur en assurant une certaine "liquidité".
Je m'attends à qq arbitages sur cette fin d'année avec de bonnes mais aussi de violentes variations de cours.
Quant aux BIGS aux comptes illisibles fluctuant à coup de upgrade ou downgrade anglosaxons je laisse ça aux autres. Le cas de FT précédemment cité par RV dont un broker s'étonne de la "sous valorisation" ; il ne faut pas oublier qu'il n'y a pas si longtemps que ça alors que la valeur trainait sous les 10 euros toute la place était à vendre ...
ok avec toi JMP
les comptes des small restent beaucoup plus facile a comprendre pour le petit investisseur lambda que je suis.
J'aurais beaucoup de mal à reprendre aujourd'hui des "big caps". Et je ne
» vois pas de sous-perf des smalls aussi flagrante que vous le dites. Je
» n'ai que des small dans mon portif à une exception près (une mid cap -
» Delachaux) et globalement, s'il y a eu une poussée de fièvre à la
» mi-octobre qui est vite retombée, il fait à peu près comme l'indice mid &
» small 190 (MS190), qui bat largement le CAC 40. Et si on compare ces
» indices sur les six derniers mois ou les trois derniers mois, aussi bien
» le MS190 que le CS90 font mieux que le CAC40.
» Alors ce n'est pas parce qu'ils font moins bien depuis un mois qu'on peut
» parler de changement de tendance. Cela me parait prématuré. Par contre
» c'est effectivement ce qu'on lit dans la presse. Est-ce un voeu des
» gérants qui souhaitent que ça change>
» Je rappelle que l'an dernier, à la même époque, beaucoup prédisaient une
» stagnation des smalls pour l'année 2005 (Tout est trop cher, pas d'idées,
» etc...). Des stagnations comme celle-là à plus de 30%, je signe tout de
» suite pour 2006. Cela ne veut pas dire que ça n'arrivera pas. Je veux
» seulement dire que ce n'est pas aussi évident.
Cool on parle de ma boite !
Enfin plutot d'un collegue...
Eric Bleines, gérant chez CCR Actions[/b